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MessagePosté: 18 Mai 2010, 22:25 
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Successful superfucker
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Un monastère perché dans les montagnes du Maghreb, dans les années 1990. Huit moines chrétiens français vivent en harmonie avec leurs frères musulmans. Quand une équipe de travailleurs étrangers est massacrée par un groupe islamiste, la terreur s’installe dans la région. L'armée propose une protection aux moines, mais ceux-ci refusent. Doivent-ils partir ? Malgré les menaces grandissantes qui les entourent, la décision des moines de rester coûte que coûte, se concrétise jour après jour…

Le meilleur film de Xavier Beauvois, huit clos sur la foi à l'épreuve du réel et sur le sens de l'engagement porté par un casting au diapason, avec notamment un Lonsdale incroyable, d'une mise en scène apaisée qui aborde tranquilou la question du terrorisme et de la post-colonisation. Rythmé par les chants religieux et les déchirements intérieurs, le film est d'une simplicité biblique, attaché aux visages et aux rencontres, et bouleverse comme rarement particulièrement lors d'une scène où ils se réunissent tous et sont émus aux larmes par la musique du lac des cygnes.
5/6


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MessagePosté: 18 Mai 2010, 22:34 
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MessagePosté: 19 Mai 2010, 13:43 
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Antichrist
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Un choc et une évidence. Déjà auteur de longs métrages remarquables par le passé (Selon Mathieu, Le petit Lieutenant), le cinéaste français Xavier Beauvois entre dans la cour des grands avec Des hommes et des Dieux, un film magnifique sur le sacrifice et la liberté. Ce qui s’est réellement passé lors de la nuit du 26 au 27 mars 1996, quand sept moines trappistes du monastère de Tibéhirine, en Algérie ont été enlevés par des hommes armées avant d’être retrouvés mort deux mois plus tard n’intéresse pas le réalisateur de N’oublie pas que tu vas mourir, prix du jury à Cannes en 1995. Des hommes et des Dieux n’est pas un film réservé à l’ancienne émission des Dossiers de l’écran, une enquête édifiante sur les commanditaires du massacre. Xavier Beauvois filme le destin de ces hommes de foi qui ont choisi la vie en communauté en Algérie, alors en pleine guerre civile. Malgré les menaces des uns, en dépit des injonctions des autres, les religieux choisissent de ne pas céder à la peur et au chantage. Dussent-t-ils en mourir un jour, ils acceptent les conséquences de leur combat quotidien pour faire triompher le Bien sur le Mal, l’humanité sur la barbarie.
Le plus bel hommage

Le réalisateur a l’intelligence de nous installer au cœur de la communauté des moines, de nous faire partager les psaumes, les travaux quotidiens et les prières. Musulmans ou Chrétiens, cela n’a pas d’importance pour ces hommes de bien, pleinement intégrés à la population locale dont ils sont les protecteurs, comme le souligne le chef du village. Magnifiée par la photographie sublime de Caroline Champetier, l’Algérie échappe à tous les clichés, avec ces paysages rudes mais verdoyants et ce climat parfois hostile qui sévit sur les monts de l’Atlas. Il est toujours difficile au cinéma de filmer la foi et le phénomène religieux. Que l’on soit athée ou pratiquant, on ne peut qu’être ému par la force de conviction des moines auxquels le film rend le plus bel hommage qui soit. Difficile de ne pas être ému aux larmes quand Xavier Beauvois filme le dernier repas et les larmes impossibles à retenir… Malgré les tempêtes intérieures, les moines gardent la sérénité des hommes guidés par la foi. La peur est là, bien sûr, omniprésente, mais ils restent finalement unis dans l’adversité, font corps devant le danger qui les guette. Après une magnifique séquence de Cène collective, le discours final – un appel à la tolérance au-delà des questions religieuses –n’en a que plus de force. Il ne faut pas que le sacrifice de ces moines reste vain. Le film de Xavier Beauvois, digne et lumineux, permet à Dom Christian, à Frère Luc et à leurs amis de propager le message d’espérance et de Bien qu’ils auraient certainement souhaité. Tim Burton et son jury ne devraient pas rester insensible à ce témoignage essentiel et précieux, mis en scène par un cinéaste touché par la Grâce.

6/6


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MessagePosté: 19 Mai 2010, 13:53 
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Je suis content. Beauvois ne m'a jamais déçu pour le moment. Je n'ai pas encore de 6/6 dans sa filmo cependant. Je croise les doigts.

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MessagePosté: 19 Mai 2010, 13:55 
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Z a écrit:
Je suis content. Beauvois ne m'a jamais déçu pour le moment. Je n'ai pas encore de 6/6 dans sa filmo cependant. Je croise les doigts.


Il faudrait que je vois Nord, dont j'ai le DVD depuis des années. Le reste tient à mes yeux du sans faute pour le moment, même si mon préféré reste à ce jour N'oublie pas que tu vas mourir.

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MessagePosté: 19 Mai 2010, 14:07 
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Cosmo a écrit:
Il faudrait que je vois Nord, dont j'ai le DVD depuis des années. Le reste tient à mes yeux du sans faute pour le moment, même si mon préféré reste à ce jour N'oublie pas que tu vas mourir.


Découvert en même temps que le Rochant, et j'étais scotché. Le film fait 3 ou 4 virages imprévisibles à 90°, et parfaitement réussis. Un film immensément casse-gueule, mais très touchant, très chouette. Roschdy Zem est génialissime, un grand comédien. Le mec que j'aime toujours un peu plus (suis-je le seul fan des films de Siegfried Louise (Take 2) et Sansa d'ailleurs ?). Je veux revoir Selon Matthieu du coup, parce que je ne me souviens pas très bien, en dépit du fait que j'avais aimé. Pas vu Nord.

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MessagePosté: 19 Mai 2010, 14:16 
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J'avais vu Louise (take 2) à Cannes, j'avais trouvé ça pas mal.

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MessagePosté: 19 Mai 2010, 14:30 
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J'ai rien vu de Beauvois, on m'a toujours vendu "Le petit lieutenant" comme un téléfilm.
Mais bon ça venait de mecs qui ne juraient que par Matière Focale, alors bon ...


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MessagePosté: 19 Mai 2010, 14:39 
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C'est bien Le Petit lieutenant (et je suis pas un fan de Beauvois, outre LPL, je n'ai vu que Selon Mathieu et j'aime pas).

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MessagePosté: 19 Mai 2010, 14:41 
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Z a écrit:
(suis-je le seul fan des films de Siegfried Louise (Take 2) et Sansa d'ailleurs ?).


5/6 à Sansa.

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MessagePosté: 19 Mai 2010, 15:33 
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Marlo a écrit:
J'ai rien vu de Beauvois, on m'a toujours vendu "Le petit lieutenant" comme un téléfilm.
Mais bon ça venait de mecs qui ne juraient que par Matière Focale, alors bon ...


Ah Matière Focale!

Sacré eux.


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MessagePosté: 19 Mai 2010, 15:43 
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Noony a écrit:
Ah Matière Focale!

Sacré eux.


Ouais j'ai cru comprendre qu'ils n'avaient pas beaucoup d'amis ici (à part peut être celui qui postait souvent des commentaires sous le pseudo GUILLAUME MASSART)

Franchement j'étais un gros fidèle à Matière Focale il y a quelques années, quand je commencais à m'intéresser au ciné. Le site a eu une grosse influence pour moi pour le meilleur (j'ai compris l'interêt de la mise en scène et du montage) et pour le pire (à un certain moment je ne regardais les films que pour ça, je n'arrivais même plus à rentrer dans l'histoire et à m'intéresser aux personnages)
Aujourd'hui je lis toujours le blog, maintenant que Devo poste moins l'approche est moins technique, mais à la place on se tape des mecs qui critiquent les films en se croyant dans "Fight Club". Tous les articles se finissent par un laïus du genre :
"Les lumières se rallument, tu vas retrouver ta femme, tes gosses et ton job pourri, la société est sans avenir, bref, le film est excellent"
Lol.


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MessagePosté: 28 Mai 2010, 13:16 
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Je n'attendais pas du tout Xavier Beauvois sur ce sujet. Ce fut donc une vraie surprise. Ce que j'aime avec Cannes, c'est que l'on va voir les films sans aucune idée préconçue, n'ayant rien vu des films, rien lu sur eux et le plus souvent même, vu aucune image. Cette primeur de spectateur aujourd'hui extrêmement rare a été absolument salutaire à ma découverte de ce film. En effet je ne savais pas que c'était l'adaptation d'un vrai fait divers (le film a la bonne idée d'éviter le carton « inspiré de faits réels » au début). Et j'ai vraiment découvert peu à peu le quotidien de ces hommes de foi perdu dans un village de l'Atlas. Il faut dire que je suis particulièrement fasciné par la vie monastique et que j'avais adoré un documentaire récent sur le sujet des moins chartreux, Le Grand Silence de Philip Gröning. Et ici j'y ai retrouvé cette même description d'une vie réduite à sa plus simple expression entre foi et épure. La mise-en-scène de Beauvois épouse parfaitement le rythme apaisé et indolent de ces vies limpides. Et quand peu à peu arrive la violence et le trouble, le vacillement de ces moines n'en est que plus douloureux et terrible. Et c'est à ce moment là que se déploie l'humanité absolue de ces gens, leur foi totale et indéfectible en l'homme, à la possibilité d'une fraternité réelle et durable malgré tout. Et c'est juste bouleversant. Interrompus pendant une prière par un hélicoptère menaçant au dessus de leur monastère, on les voit se lever, se serrer les uns aux autres, une certaine peur dans leurs regards mais également un courage extraordinaire de rester debout là, côte à côte et de ne pas s'enfuir. Le film touche vraiment quelque chose de finalement très basique mais parvient à le toucher dans son noyau quintessentiel, Les acteurs sont tous admirables bien évidemment (un prix de groupe n'aurait pas été volé), dominé par la sobriété de Lambert Wilson et par l'immense bonhommie râleuse de Lonsdale (je veux un César pour lui). Une vraie merveille, lumineuse et pleine d'espoir malgré le tragique de ce qu'elle raconte et un film qui porte en lui la racine de quelques héros magnifiques. 5/6

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CroqAnimement votre


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MessagePosté: 23 Aoû 2010, 15:46 
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tape dans ses mains sur La Compagnie créole
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La bande-annonce, vue en salles hier, m'a fait une très forte impression. Je suis chaud bouillant, attente +20

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MessagePosté: 08 Sep 2010, 12:40 
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Foutredieu de bordel de merde, c'est puissant !

Le film fait d'abord un peu peur dans son ascetisme, semblant dérouler tranquillement et sans grande ambition le programme prévu en mode "film posé à recul éthique", ou quelque chose du genre. Il est difficile du coup de cerner ce qui dans le découpage travaille malgré tout le spectateur, tant la mise en scène est discrète et opaque, mais force est de constater que derrière le déroulement pépère des journées au monastère, quelque chose est au travail.

Parce que ça prend très vite un charisme impressionant, et il n'est pas rare, dans le déroulé tranquille des scènes, de soudain voir doucement émerger de la simplicité des situations quelques plans en état de pure extase : le semage régulier d'une terre labourée, un travelling sur le cheptel en marche, une prière solitaire sous les rayons du matin, quelques échanges de regards bienveillants.

Ce qui donne sa force au film, ce qui est son moteur et son aura, c'est un humanisme désarmant. Au sens propre : il désarme. Il prévient toute sensation de colère, de révolte, d'angoisse, de calcul. Le monastère ne devient rapidement plus le lieu-anomalie, où le choix de rester serait une sorte d'évènement, mais une zone d'humanité simple autour delaquelle le monde en mouvement semble bizarrement vain et mécanique, en roue libre ; un peu comme ces villages tranquilles et pacifiés des westerns classiques, auxquels le film semble souvent faire référence d'ailleurs. Le renversement opéré, notamment par le biais du plus beau personnage (le jeune moine, donc j'ai oublié le nom), renversement qui fait passer le choix de rester d'une décision hardie à une sorte d'évidence paisible et non négociable, est sans doutes la réussite la plus éclatante du film.

Parfois, peut-être une fois par bobine, Beauvois amène une scène qui se permet modestement de s'extraire un brin de la construction très équilibrée et égalitaire : l'hélicopère, la cassette audio, des scènes qui concentrent l'esprit du film de manière un peu plus revendiquée, plus flamboyante (enfin flamboyante, tout est relatif, ca reste très sobre...). Mais ca ne choque pas, notamment parce que pour faire continuité et bloc il y a un groupe d'acteurs juste exceptionnels, tous, vraiment, un concentré des meilleurs comédiens français actuels. Et puis au sommet il y a Lonsdale, l'empereur, l'essence humaniste du film, rieuse et rassurante, qui s'impose définitivement comme le meilleur acteur français de ces 10 dernières années. Son "Laissez passer l'homme libre" a fait sourire toute une salle bizarrement émue, c'était exceptionnel.

J'opposerai peut-être à cet ensemble assez parfait une prudence parfois un peu bloquante (je pense que le film aurait pu voir encore plus grand, que la photo de Champetier, très classe au demeurant, aurait pu risquer un peu plus), et une dernière partie moins bien rythmée (à partir du moment où le choix de rester devient une évidence acceptée de tous, le film se retrouve un peu à court d'enjeux et perd en épure). Mais c'est du détail.

Le palmarès cannois de cette année a de la gueule en tout cas. Les deux premiers prix sont tout bêtement les deux meilleurs films de l'année pour l'instant.

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Et Beauvois, que je regarde de loin depuis longtemps mais dont c'est le premier film que je vois, nous rappelle qu'il y a en France de vrais cinéastes dont on a pas à rougir. Sa mise en scène adulte, intelligente sans faire étalage de ses capacités, fait un bien fou.


Un bon gros 5/6


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