Forum de FilmDeCulte

Bomcaaaast...

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

J’oubliais, il y aussi un peu de Terminator.

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There is no such thing in life as normal

Ah ouiiiiii c'était bon ça!

C'était pas 2001 le finaliste, justement?

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

TAXI DRIVER vs. BLADE RUNNER. Je me rappelle plus quand 2001 a dégagé...

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Y a eu 2 coupes du monde, non.?

La deuxième finale c'était CITIZEN KANE contre LE TOMBEAU DES LUCIOLES.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Cette aberration...

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N'écoutez pas Film Freak

En demi-finales.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

revu aussi à l'occasion de la sortie de la suite pour laquelle j'hésite à me déplacer. Le film tient quand même dans une espèce d'équilibre fragile, distillant les éléments de son histoire dans une économie de dialogue qui sait laisser suffisamment de place à l'imagination du spectateur. Je pense qu'il est difficile de faire aujourd'hui un film de sf à gros budget tel que celui ci dans lesquels dialogue/histoire/personnages ne sont pas aussi cadrées, les intentions explicitées. Scott fait confiance à son pouvoir d'évocation et agit par touches impressionnistes. Il nous fait du même coup confiance pour investir son univers. C'est casse-gueule, tout peut dégringoler à tout moment mais le film s'en tire par miracle. Je ne crois pas qu'il se la joue chef d’œuvre conscient, un peu fermé sur lui même malgré une vraie générosité dans la richesse des détails...c'est ça qui le rend beau je crois et peut être un peu "fuyant" pour la plupart des spectateurs.

Je le redis mais ce que j'ai aimé dans cette nouvelle vision c'est par quelle économie de moyens l'univers de Blade Runner nous apparait immense et puissamment romantique. On ne nous montrera jamais les autres planètes mais du simple regret du personnage de Sebastian de ne pas pouvoir quitter cette vieille épave en perdition qu'est devenu la terre, on songe avec lui aux promesses de ces nouveaux mondes colonisés. De même on ne passe pas 5 ans à t'expliquer les rebondissements de l'enquête, à coup de révélations fracassantes. Tout est résolu mécaniquement par Deckard et on entre en commisération avec les replicants sans que le film ne choisisse la facilité.

C'est incroyable, je crois que je n'y parviendrai jamais. J'ai du essayer une dizaine de fois, je n'ai jamais réussi à le regarder d'une traite, ça m'assomme à chaque fois, et je me laisse m'endormir dans un sommeil mou et confortable. Je l'ai toujours regardé par morceaux du coup, en le fantasmant à moitié car y'a un moment où j'arrive plus à savoir si je regarde le film ou si je le rêve. Chaque vision est différente au moins...

Film que j'avais maté en DviX la première fois, dont j'attendais certainement trop, le pote avec qui j'étais ne tarissant pas d'éloges à son sujet. À son grand désarroi, je n'avais pas du tout aimé, je trouvais le film surcoté, je ne comprenais pas pourquoi c'était un classique du cinéma de science fiction, je le trouvais assez moche et j'aimais pas le scénario ni la mise en scène.

Je l'ai revu lors de sa dernière diffusion sur Arte, et j'ai été totalement scotchée : je crois que c'est un des plus beaux films que j'ai pu voir, surtout vu sa manière de ne pas avoir pris de rides, ou presque. Dédrapée de ma mauvaise foi, je dois donc reconnaître la pure merveille qu'à engendré Ridley Scott d'un point de vue esthétique et son apport pour le cinéma. Les décors canons et inventifs, la photographie qui n'a rien à envier à certains films actuels, et finalement une excellente mise en scène. J'avais oublié les séquences d'intérieur finales avec ces jeux de lumière clair-obscur a la Caravage, qui m'ont donné envie de mieux décortiquer la mise en scène.
Si je ne suis toujours pas fan du look des antagonistes et spécialement des maquillages et costumes de la vilaine robote, c'est tellement anecdotique devant la superbe générale de l'image que j'ai envie de gifler la moi d'il y a quelques années pour être passée totalement à côté. Le scénario me convainc moins, certainement parceque précurseur de toute une mouvance dans le film de SF à venir dont certains vus avant, aussi parceque je ne suis pas une grande cliente du genre. Également parceque je connaissais déjà la particularité du personnage de Ford, donc la révélation ne m'a pas saisie comme elle le devrait.

Très envie de le revoir, je lirai sûrement le bouquin avant, et j'essaierai de le voir si possible en salle obscure pour apprécier toutes les subtilités m'ayant encore échappé. Chef d'oeuvre, l'appellation n'est pas usurpée !

Revu non pas cette version final cut mais la version avec la voix off et l" happy end" pour le faire découvrir à mon gosse car je la trouve plus facilement compréhensible par un gamin et j'aime aussi beaucoup cette version.

En prison.

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Prison pour celle qui médit du film ou celui qui aime bien la version ciné ? Les deux ?

Allez, c'est parti pour un top des 7 versions du film.

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING