Forum de FilmDeCulte

"Turn fear against those who prey on the fearful".

C'est tout.

Il veut foutre la trouille à ceux qui la foutent.

Y a pas d'humour. C'est pas censé être drôle.

Je suis radical parce que ce que tu dis, comme d'hab, me paraît absolument insensé. De la bonne vieille masturbation oncletommienne. On a l'habitude maintenant.

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J'avais écrit un pseudo à la place de "un nouveau" à la base puis j'ai changé.
J'ai décidé d'écouter rotary.






Tiens bah non ça sera rotary qui se fera pisser dessus.




Ou pas parce qu'il aura jamais les couilles de venir à un GRF.

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looool
Rotary, t'es obligé de venir maintenant !

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N'écoutez pas Film Freak

J'aime la masturbation oncletommienne. Elle n'est pas stérile, même si parfois contestable.

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N'écoutez pas Film Freak

Nolan fait donc dans la comédie subtile et Burton dans le ratage exprès.

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lol, non ! N'exagère pas !
Juste que ce sont des points de vue qui font réfléchir.

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N'écoutez pas Film Freak

Et t'as pas vu un Batman qui ressemble à ceux qu'il veut combattre ? T'as pas vu un Batman qui se fait avoir par ceux qui l'ont entrainé ? T'as pas vu un type qui se prend pour un surhomme et inflige les mêmes sévices qu'il condamne ?

Et, surtout, TA GUEULE, Filmfreakassiette.

Edit : Pardon, désolé, navré

Là je ne peux plus rien faire

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N'écoutez pas Film Freak

Et c'est...drôle?



Ca c'est drôle.

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Sans doute pas pour toi, OK. Cette scène en particulier a le mérite de refléter ce sentiment de surpuissance que lui, et nous spectateur, tentons d'assimiler. Redondance du geste, voix sérieuse face à une mécanique violente, c'est juste littéralement burlesque. Cela correspond à cet apprentissage de densité. Le Batman n'est clairement pas à ses aises, il s'auto-caricature.

Ou, j'aime beaucoup l'humour.
Tiens :

Mais...mais...mais...en quoi????



Il s'auto-caricature à ses débuts? Dans son premier film?
Y a rien d'établi pour qu'il y ait "caricature".
C'est même pas une caricature de Batman tel qu'il est dans les autres films ou les BD.



Mais encore?

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Il adjuste sa façon d'entreprendre ses actes. Ca commence délibérément par un aller-retour qui confère à l'élasticité plutôt qu'à la rigueur. De la justice impartiale du bushido, Batman passe aux prémices d'une société modérément justiciable. Son premier acte est de démontrer par la force de la densité que l'homme mauvais n'a pas de repère, si ce n'est justement le sol, cette pourriture peu encline à être déclinée comme rapport juste.
Le burlesque a quasiment toujours montré l'homme comme un élastique enclin a assouvir le désir des rapports, souvent injustes, des hommes entre eux et leur environnement.


Ah bah je parle d'une caricature de l'être humain dans ce qu'il a de plus sommaire. Bale, ici, se développe comme connaissant et assimilant l'être humain en général.


C'était ma blague. Rien.

Fais gaffe ça peut laisser du smegma.

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Même si je trouve mon explication très sommaire et surtout peu développée, je te trouve un peu difficile.

Je dois avouer que c'était très puéril et fermeur-de-portes de ma part mais le fait est que je dois m'avouer absolument incompétent.
Il m'est impossible de répondre sérieusement car il m'est impossible de répondre à ce genre d'interprétations.
C'est le mal/cliché connu et reconnu du danger de l'interprétation qui peut faire dire tout et n'importe quoi à un film, une scène, un plan, etc.

Ce que tu vois dans cette scène dépasse tellement l'entendement pour moi que je ne peux y répondre...il m'est évidemment impossible de prouver que le procédé technique employé dans la diégèse par le protagoniste du film ne symbolise pas l'élasticité, le répère/le sol, le rôle que prend Batman, etc...
Tout comme il t'est impossible de le prouver.

Personnellement, je me raccroche généralement à mon bons sens...plutôt qu'à un sens caché que j'essaie à tout prix de déceler dans ce genre de séquence non-porteuse de fond particulier.
Je pense honnêtement qu'il n'y a rien à y voir que ce qui est montré, concrètement, au premier degré, et je pense que c'est à prendre au pied de la lettre.
Je trouve le film riche thématiquement mais à d'autres niveaux, plus dans l'ensemble que dans ce genre de détail spécifique qui se voit conféré un sens une fois passé au travers du prisme d'un cinéphile en manque d'analyse.

Je vais parfois aussi chercher du sens là où il y en a pas forcément (je vois même des trucs dans The Island...ou bien cf. le débat sur A.I. et Minority Report) mais jamais avec telle assurance et surtout, je m'appuie toujours sur plus concret, plus solide.
Les indices doivent être plus évidents.

Et, je le répète, ce que tu vois dans cette scène me paraît absolument INSENSE. Je sais même pas comment on peut commencer à voir un soupçon de ce que tu y vois.

Mais bon...libre à toi d'y voir ce que tu veux et d'aimer le film pour ce que tu y vois.
Pour moi c'est du fantasme. Et c'est assez ridicule.

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