Forum de FilmDeCulte

Après quand on bosse chez Paris Match, c'est un peu le film qu'on est obligé d'aimer. Par contre, quand il s'agit de protester parce qu'on met un cardinal noir en couverture, là ça rue dans les brancards.

Euh, je n'aime pas le film, hein.

C'est clair.

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Netflix les gars, Netflix.

Pour le 3 quand ils ont pris Cornillac pas sûr qu'il était plus bankable que Gadebois...

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CroqAnimement votre

Pour Astérix. Y avait encore Depardieu.

Gadebois, je claironne depuis un moment, c'est l'évidence. Ménochet j'y avais pensé aussi mais Gadebois dégage quelque chose de plus innocent.

Astérix est plus dur à caster d'ailleurs. Je verrais bien Niney. Pour l'énergie, la malice.

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Vu qu'ils aiment bien l'univers de la télé, ils auraient pu prendre Laurence Boccolini pour jouer Obélix

Beaucoup beaucoup plus. Brice ça date de 2005. En 2008, Cornillac était bien populaire et n'avait pas encore soulé le grand public.

Mouais vite fait. Alex Lutz, cité avant, c'est parfait.

Susan Boyle dans le remake tourné par la BBC.

Remarque, ils ont pris Edouard Baer en Astérix, aussi.

En vrai, Clavier, c'était pas si mal (dans le 2).

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Oui il avait la bonne énergie. D'ailleurs je trouve que son doublage dans le dernier Astier/Clichy est une super bonne idée.

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Netflix les gars, Netflix.

Pas forcément (placer ici l'anecdote des Laurel et Hardy, que j'ai cité 50 fois).

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
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Film absolument lamentable. Sans forcément égaler la purge du 3, ce cinquième épisode fait à peine mieux, présentant non seulement un scénario qui ne sert strictement à rien (concrètement, pourquoi aller chercher les gaulois ? A quoi servent Asterix et Obelix dans l'intrigue ? Pourquoi n'emmènent-ils pas Panoramix avec eux, afin que celui-ci prépare une potion magique pour les armées chinoises envahies par César ?), mais en plus des (rares) gags construits n'importe comment. Ici, c'est simple, c'est le gag qui construit le rebondissement (et parfois même la présence de l'acteur qui construit le gag). On veut placer la réplique (gratuite) "Antivirus tu perds ton sang froid", alors on imagine une scène où Zlatan (Antivirus) balance une mandale à José Garcia. On a Pierre Richard en guest ? Alors on imagine un gag tiré de La chèvre et introduit ici de façon totalement artificiel (les sables mouvants - qui n'ont strictement aucune conséquences sur la suite) et donc une scène où Obelix et Panoramix s'éloignent sur un sentier pour discuter, scène évidément totalement inutile. Avant même de se demander s'il y a du talent derrière le film (et je ne suis pas un détracteur de Canet cinéaste, qui n'est pas absent à ce niveau - juste à la ramasse), on peut acter qu'il n'y a en tout cas pas le moindre talent comique. Ces gens-là n'ont pas pigé ce qu'étaient un gag, comment l'amener, comment le justifier... Putain, c'est quand même pas à moi de leur expliquer ça !! Alors ça donne un pigeon qui vibre ou dont la batterie se décharge, ou encore un "tchitcha" en voix off totalement incompréhensible quand quelqu'un dit "empruntons un autre canal".
Puis comment pardonner cette incapacité totale à rebondir sur des pistes lancées au hasard, comme ça, parce qu'à un moment on a une idée qu'on croit géniale ? La princesse répète un mouvement de défense en nettoyant son linge (en mode Karaté Kid) ? Pourquoi ne pas l'utiliser par la suite lors d'un combat ? Non, c'est parasité par des répliques à la con de Canet / Cohen, et on passe à autre chose. Ce film, c'est l'incompréhension totale, franchement. Je ne pige pas comment on en arrive là. Comment on peut à ce point passer à côté non seulement de la BD, mais aussi de la notion de comédie, de construction, de cinéma... On pourrait juste trouver ça raté, et passer au suivant. Après tout, foirer un film, ça arrive. Mais Canet et son film "dont les entrées sont surveillées par la profession", Seydoux et ses "critiques qui ne servent à rien, on fait ça pour le public", je leur chie dessus, parce que c'est exactement ce qu'ils font dans leurs discours. Je leur souhaite de perdre un pognon de dingues, tout simplement, et tant pis pour le cinéma français si c'est tout ce qu'il a à nous proposer.
0/6

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Le "tchitcha" j'avais oublié, ce malaise... Comme cet autre moment dans la voix off où Darmon commence à raconter l'histoire et tente un truc un peu méta en disant "c'est un flash back quoi", waouh écriture de génie.
Et le "gag" de La chèvre c'est genre dans la troisième minute du film et tu sens déjà que ça va être une souffrance. Je comprends même pas l'idée, c'est posé là sans rien en faire juste parce que Pierre Richard.

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CroqAnimement votre

Merci pour la critique Cosmo ! Même si je te plains :/

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Netflix les gars, Netflix.