Forum de FilmDeCulte

Et qui boivent des cocktails jaune fluo avec des pailles !

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CroqAnimement votre

Et les avions qui sont encore nickel, après 1000 ans, avec le plein, prêt à voler! AH PUTAIN JE DOIS LE REVOIR.

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Y a un plan avec une vache qui est mythique aussi.

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Normalement, Billy Hayes a encore quelque part cette figurine:

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Il n'y a pas le plan en question mais : http://youtu.be/wM7NvGzyfF0

C'est vraiment monté comme ça ?!

L'interruption à la fin de l'extrait rend le truc encore plus génial.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

ce film, et en plus je dois le revoir sérieusement, pour en refaire une critique pour rire. JE VAIS ME GAVER.

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Même pas en fait. Vercingetorix, tu sens vraiment le manque de fric. Dans l'autre, tu sens le pêtage de plomb total.

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

Et là, ils en ont gros...

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

Dire que dans le bouquin les aliens sont des espèces de grosses crevettes/insectes monstrueux avec des scaphandres et une force surhumaine.

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Il y a un rythme bien à part dans le film et pour ce genre de production, assez lent et attachant, malgré l'horrible perso de Will Smith (on sortira de là dans l'ambiguïté sur ce personnage et quelques trucs scientologues de control freak, même si dans le film père et fils apprennent finalement l'un de l'autre, et que le saut de foi cher à MNS est bien là aussi).

On sent que même avec ce genre de récit, Shyamalan ne peut pas s'empêcher de tout transformer en petites suites de scènes conceptuelles, et quand il dit en interview que ça serait la même chose dans du théâtre en carton pâte qu'à 130 millions on a envie de le croire... La direction artistique est affreuse, et c'est assez prévisible, le film étant assez proche des enjeux de Last Aibender et executant en mode mineur ce que Shyamalan a déjà fait des tas de fois sur la peur. De fait ici m'a manqué en prime l'une de ces bonnes scènes qui prend au tripe quand les personnages arrivent à la fin de leur étape émotionnelle.

Mais il y a une vraie élégance, du cinéma hollywoodien qui a une vraie patte et en dehors des modes. Pour un Smith movie, le réal n'est pas trop broyé. C'est mal vendu et du suicide commercial par contre tellement c'est intimiste, calme...

Lire "il ne se passe pas grand chose".

Ni vraiment déçu (grâce aux échos), ni surpris non plus (malgré les échos) par ce film qui m'a vraiment donné l'impression de voir un Shyamalan encore plus effacé. Formellement, j'aurai bien envie de dire que c'est le numérique et/ou la photo de Suschitsky qui ne parviennent jamais à donner le poids nécessaire aux images mais c'est bien la mise en scène qui est en tort, relativement fonctionnelle passé le premier acte (les grands espaces ne réussissent décidément pas au bonhomme) , où l'on retrouve par moments dans les choix de cadrages la patte du cinéaste (le dîner tendu sans champ-contre-champ, le "transfert quantique" du vaisseau focalisé sur Will Smith).

Mais je ne saurais vraiment blâmer Shyamalan le réalisateur tant il n'est pas aidé par Shyamalan le scénariste.
Je pensais que la co-écriture lui serait salutaire mais malgré les multiples scénaristes passés sur le projet, je retrouve ce même sous-développement thématique qui plombe le cinéma de Shyamalan depuis Phénomènes. La relation père-fils aurait dû composer le cœur de l'ouvrage mais le traitement reste relativement superficiel, de la caractérisation trop archétypale mal servie par les comédiens (Papa fait la gueule, Fiston pleurniche) à l'exposition du trauma (flashbacks clichés) en passant par les noeuds dramatiques (une rapide engueulade et hop).

C'est dommage, parce que le postulat de départ est plutôt malin et que le film n'est pas dénué d'idées.
Le père bloqué qui assiste le fils, l'apprentissage, et tout ce délire autour de la peur comme illusion qui nous paralyse (peut-être que cela parle aux tendances scientologues de Will Smith - auteur de l'histoire originale et producteur - mais ça me paraît surtout s'inscrire dans la continuité de la filmographie de l'auteur, notamment Sixième sens, Signes et Le Village), le souci c'est que ça reste un récit globalement très balisé, où chaque embûche est prévisible et assez facilement résolue.

Après, malgré tout ce que je semble dire de mal là, je trouve le film loin d'être déplaisant.
Ca reste efficace et j'ai plutôt accroché à l'univers et tous ses petits détails (l'Ursa, le costume et ses couleurs, le sabre multi-lames, etc.) mais il est vrai que ça s'apparente davantage à une adaptation d'un roman d'aventures pour "young adults" qu'à une oeuvre touchante venant de l'auteur de films aux rapports filiaux aussi émouvants que Sixième sens et Incassable.

3/6

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Non, juste que c'est si peu blockbuster...

Oui mais c'est plus par défaut que par choix, j'ai l'impression...sinon, ils sont vraiment très très cons, parce que 130M$ de budget pour un film avec deux acteurs et trois bestioles, putain chais pas comment ils ont fait...cela dit, mon souci c'est pas tant l'action que le côté intimiste raté justement.

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