Forum de FilmDeCulte

vu pour la première fois ( même pas honte) en blue ray ya quelques semaines. Pris une baffe, trois tour dans le slip sans toucher l'élastique. Je suis pas forcément fan de l'intro préhistorique. mais tout le reste, tout le reste. gros regret de pas l'avoir vu avant.

Quoi, tu n'aimes pas l'intro? (en plus c'est pas une intro c'est la première partie, super importante)

Je déc, je dirais même que t'es précoce, l'aimer dès la première vision relève de l'exploit

Je déc, je dirais même que t'es précoce, l'aimer dès la première vision relève de l'exploit

vu pour la première fois ( même pas honte) en blue ray ya quelques semaines.

Ah bon, moi ma première vision m'a complétement subjugué, je n'avais qu'une hâte c'était de le voir une deuxième fois...
Sinon c'est quoi le trip exact avec Echoes ? Faut la commencer à quel moment exactement ?

Tout simplement génial avec 'Echoes', que je préfère d'ailleurs à la musique du film dans ce passage. Et le silence qui retombe quand il sort du pod, c'est un vrai plaisir de se finir le film sans son.

Tu dois pas avoir la chanson en entier, elle dure pile poil jusqu'au générique.

"Premiere Cut", soit le montage de la première du film. Il a été raccourci juste après par Kubrick pour aboutir au montage de la version que nous connaissons actuellement.

Je pense que personne ne l'a vu a part les gens qui étaient là ce soir là.

2001 est très certainement l’objet cinématographique qui, avec Citizen Kane, a été le plus étudié, le plus disséqué, le plus discuté. L’abondante littérature, qu’elle soit experte ou amatrice, n’a fait jusqu’ici que corroborer les propos de Kubrick lorsque celui-ci disait que le spectateur était libre de spéculer autant qu’il le souhaitait sur sa signification. Il ne saurait être question ici d’ajouter une analyse aux centaines déjà existantes et qui, pour certaines d’entre elles, sont fort brillantes.

Le film est divisé en quatre parties. L’aube de l’humanité tout d’abord (4 millions d’années avant J.-C.); 1999 ensuite pour une visite du professeur Floyd sur la Lune suite à une découverte importante; dix-huit mois plus tard - en 2001 donc - la mission Jupiter connaît des problème avec l’ordinateur de bord (HAL 9000); enfin, le survivant de la mission (je sais ça semblera assez décousu pour ceux qui ne l’on pas vu mais l’exercice est particulièrement difficile), l’astronaute Dave Bowman, effectue un voyage dans l’espace-temps (le fameux ultimate trip) pour se retrouver dans une pièce de style Louis XVI. Dans chacun de ces “chapitres”, un monolithe noir fait son apparition provoquant, chez les personnages comme chez les spectateurs, quantité d’interrogations.

2001 est un film majeur de Kubrick et du cinéma en général. Philosophiquement ardu, il n’en demeure pas moins passionnant de bout en bout. Impossible à résumer sans entrer dans des spéculations sans fin, il possède une force hypnotique et poétique impressionnante qui ne peut laisser personne indifférent, pas même les détracteurs du réalisateur (citons Godard au hasard). Et moi-même de terminer bien modestement sur une question: le monolithe ne serait-il pas, au final, le miroir de la compléxité humaine ?

Quoi, tu n'aimes pas l'intro? (en plus c'est pas une intro c'est la première partie, super importante)

pas même les détracteurs du réalisateur (citons Godard au hasard)

Stanley Kubrick doit continuer à filmer des personnages qui existent, et non idées qui n'existent plus que dans les tiroirs de vieux scénaristes croyant que le cinéma, c'est le septième art.

comme quoi meme les plus grands ont la capacite a etre con...