Forum de FilmDeCulte

Lol on peut tuer Film Freak avec La Jeune fille et l'araignée.

Les messages de Gontrand ont déjà commencé le travail.

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UBERLINKS toujours dispo sur OCS et MyCanal!

Première fois que je le trouve complètement à côté de la plaque, enfermé dans ses contradictions et sa mauvaise foi.

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I think we're gonna need a helmet.

Oui toujours un plaisir de l’écouter mais pour le coup, même si je savais qu’il n’allait pas aimer, je n’ai pas été très convaincu par ses idées et tout son argumentaire “marketing” là…

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Je suis peut-être mal placé, mais il y a un truc qui m'échappe : si l'on n'aime pas un film, pourquoi lui consacrer une critique pratiquement aussi longue que lui en le prenant de surcroît pour un "cas" sur un ton très pince-merde ?

C'est un peu comme un mec qui écrirait un livre de 1000 pages pour dire qu'il n'aime pas la Montagne Magique, et qu'il l'aurait écrite autrement.

Et il n'y a même pas de dialogue avec l'autre intervenant qui sert juste de comparse et d'instrument rhétorique complaisant. C'est une appréciation plutôt qu'une analyse qui est en jeu.

Et en plus il confond réalisme et naturalisme...

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

Pour se faire mousser ? Pour passer pour plus intelligent que les autres ? Pour créer une polémique à deux balles ?

Dans ce cas précis, clairement non. Il le dit lui-même d'ailleurs, il a renoncé à parler du Genou d'Ahed parce qu'il n'a pas aimé le film. Là je pense qu'il juge qu'il y a des choses intéressantes à dire sur le film, comme objet cinéma représentatif de quelque chose. Et je suis d'accord avec lui sur pas mal de points même si en effet cette histoire de "marketing" paraît un peu à côté de la plaque.

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CroqAnimement votre

Mais oui elle est con la question de Gontrand. Qu'il ait aimé le film ou pas, il en parle car il a des choses à en dire.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Ca me paraît quand-même une forme d'inflation volontaire (et publicitaire) particulièrement poussée de sa propre parole.

Surtout que les arguments mobilisés sont extrêmement pauvres et relèvent du procès d'intention : les tours Olympiades sont graphiques et esthétiques, donc c'est antinomique avec une forme de sincérité dans le point de vue social ou politique. Le truc peut disqualifier à peu près tout film dès lors qu'il a un aspect social, dans la mesure où le critique possèdera toujours la possibitité d'être politiquement plus radical que le film, du moins dans ses propos.
S'il est conséquent, François Bégaudeau doit alors abhorrer la philosophie de Jacques Rancière, pour lequel l’esthétique est un terrain pratique plus accessible au "peuple-spectateur" que le jeu politique réel où les logiques de pouvoir et de classes sociales sont déjà constituées.

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

Oui enfin dans ce cas là on n'écrit plus non plus de critiques sur les films qu'on n'aime pas. Je vois pas trop le problème en fait.

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CroqAnimement votre

Disons qu'il y a un seuil, un peu comme la médecine (quand tout va bien), la critique ne se réduit pas à la prescription.

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

Il y a un seuil du nombre d'edits à un post aussi, à ton avis ?

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Oui, un peu comme les blagues antisémites pour me lécher le cul.

P.S. Ne cherche pas un Naphta en moi, tu risquerais de trouver autre chose

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Mais peut-être la nécessité accrue de faire confiance incite-t-elle à la mériter davantage

Erving Goffman

Le prochain sera sur Memoria, hâte de l'écouter, parce que pour l'instant tout ce que j'ai lu ne m'a pas convaincu plus que le film lui-même.

Lohmann le blasé