Forum de FilmDeCulte

Voire con-penser

Je prendrai le second terme, et te laisserai donc profiter du premier

Un partage qui risque de ne ramener ni l'un ni l'autre à sa juste modestie.

Je vois Jerzy un peu comme le pendant de "gauche" et philo de Juan Asensio. Derrière une écriture qui se veut "élitiste" ou "primesautière", l'impression de lire des fous mégalomanes et paranoïaques.
Ton message plus haut résumé la banalité de ce que tu as dit auparavant. On comprend mal quelles ont été les attentes déçues par Rio Bravo (la réputation de Hawks que tu ne connaissais pas t'avait fait prévoir un film que tu aimerais ?). Ta blague pseudo subtile sur Tanner et Runaway Train : ridicule. Le cinéma téléologique ? Il y a les films qui débouchent sur quelque chose de manière artificielle et les autres qui sont flottants et se terminent dans l'irrésolution. Ce qui expliquerait donc ta déception par rapport à RB. Tu m'expliques l'intérêt ? C'est comme si je te disais que j'étais déçu en voyant Superman car c'est téléologique et pas filmé par Monte Hellman ?


Grande déception de mon adolescence pour moi, L'Impasse de De Palma dont j'avais lu tant de bien et que j'ai trouvé ringard au possible, entre Sean Penn et sa permanente et les scènes dans l'atelier de danse.

A propos Macadam à Deux Voies grosse désillusion.
Que de la gueule, avec des stars périphériques du show business étalées dans un faux vérisme mélancolique.

Je rajouterais l'Ete de Kukujiro, Festen et Notre Musique. Perdu le message où je l'expliquais.
Et les films de Miguel Gomes ou le Bouton de Nacre

Oh tu me sembles en colère et chagrin, du coup, que j'aie pris sur moi pour répondre, cette fois (d'habitude, je laisse pisser) à tes petits sophismes malins (mais malignité n'est pas forcément pertinence) pour t'amuser à dénigrer l'avis de l'un ou l'autre.

Pense ce que tu veux, mais je me permets d'opposer à tes projections divertissantes au moins ceci, et que tu me le concèdes ou non m'indiffère absolument: il y a au moins trois différences entre ce Juan Asensio et moi:

a) je ne suis pas paranoïaque, du moins pas au point d'attaquer les gens en justice et à demander à un public de financer mes procès. D'ailleurs, je ne peux traduire en justice des paranoïaques qui jouissent de leur anonymat pour me harceler, par exemple, sous le prétexte ubuesque que moi je jouirais de mon non-anonymat pour simplement contredire... leurs délires.

b) Je ne suis pas du tout élitiste. Toi, comme Gontrand, bardés de références snobes et d'un vernis de discours analytique pour épater le naïf l'êtes, sans nul doute, élitistes et snobs. Mais moi je ne le suis pas. Au contraire, contrairement à vous, mon principal souci est de me faire comprendre. Le vôtre étant d'impressionner par des pseudo-argumentaires impressionnistes, obscurs, pleins de name-dropping, et fuyant toute démonstration de vos sophismes et paralogismes comme des anguilles. Ne vous reste en dernière instance, quand vous êtes intellectuellement acculés, que l'attaque ad hominem, ad personam, etc. Une fois de plus, ça n'a pas manqué.

c) Ce qui m'amène au point suivant, qui sera la conclusion: autant asensio, gontrand et toi êtes des petits malins qui font dans l'imposture intellectuelle permanente et prétendent parler de ce qu'ils ne connaissent pas réellement, sinon par papillonnage nerveux, je suis réellement philosophe, techniquement (oui, je sais, ça vous rend ivres de colère quand je le dis, c'est pourquoi je le dis) et je ne parle que de trucs que je connais. Je ne me prends pas pour pic de la mirandole, et je suis capable de me taire devant des problématiques qui supposent une compétence que je n'ai pas, y compris en philosophie.


Bonne nuit loulou. Te frappe pas pour si peu, tout se passe très bien.

Ce que je te reproche est moins ta compétence technique en philosophie que celle, passée mais prouvée, en harcèlement (la seconde semblant se renouveler plus facilement que la première), et une tendance bizarre à adosser l'une à l'autre dans un méli-mélo autovictimaire et contagieux d'une mauvaise foi et d'une indécence crasses, dans la plus totale indifférence pour l'impact qu'elle peut avoir sur qui a le malheur de te répondre. Chez moi et par ricochets plusieurs proches, qui servaient d'exhutoire d'un truc qui leur échappait, il a été catastrophique.

Je précise que ce que j'écris à ce sujet est très en-dessous de ma pensée réelle.

Personne, autant que moi, dans toute la francophonie forumienne, ne s'est jamais autant justifié, en permanence, du harcèlement caractérisé d'un individu qui, perpétuellement, justifie ce dernier par l'inversion accusatoire que c'est moi qui le harcèle.
A ce tissu de calembredaines perverses, j'ai répondu environ 500 fois dans le détail, et c'est sans doute en dessous du chiffre réel.
Il y a bien une deuxième personne qui a souhaité me nuire personnellement, et même physiquement. Cela fait donc deux personnes.
En plus ou moins 15 années de forums, où je me suis investi dans des polémiques, controverses, intellectuelles, politiques, etc, souvent saignantes.

J'estime que c'est un bilan tout à fait honorable.

Un jour prochain, qu'à dieu ne plaise, nous en parlerons autour d'un verre (un coca pour moi, je ne supporte pas l'alcool), et nous en rirons. Enfin, je veux dire, si un mot du docteur atteste que les sorties sont autorisées et que c'est "sans danger", comme disait Laurence Olivier dans marathon man, of course.

De toutes les prises de becs auxquelles j'ai assisté sur Internet, les tiennes sont les seules que j'ai vues "agrémentées" (j'insiste sur les guillemets) de montages photo renforçant l'attaque ad hominem, jusqu'à en être vexatoire et insultant. Ce qui suppose une dimension de provocation (sans rien d'artistique, malgré le recours à l'image) et un travail conséquent de préparation et de conception en amont, difficile à imputer au seul désœuvrement ou désir de riposter à une attaque ou même à une humeur, ni même au fait de subir un conflit qui dérape. Et dont tu ne rends d'ailleurs jamais compte, comme si tu étais certain d'une forme d'impunité.

J'ai parfois l'impression de les avoir rêvées.
D'où ma question. Nies-tu l'existence de ces montages ? Où les situer dans ce "bilan honorable" que tu te gratifies à toi-même ?

Non mais ce que tu écris n'est pas le plus inintéressant même si c'est discutable, ce qui n'est pas grave, mais dit d'un ton qui n'admet pas la discussion, ce qui l'est d'avantage.
Cette façon de s'illusionner est fascinante je trouve et une source d'émerveillement, ainsi que de fatigue, sans fin pour moi.
Je veux bien croire que tu n'es pas le plus mauvais des profs de philosophie, il n'empêche que le ton que tu adoptes sur Internet, en forme d'exutoire, se passe de commentaires.
Mais il est vrai que tes petits circuits neuronaux hermétiques à la moindre logique conceptuelle, tout juste bonne à convoquer de sacrosaintes références comme des phares dans la nuit noire d'un cerveau encombré de casuistique précieuse et d'arguties qui se dérobent comme autant de portes dans un manoir hanté, sont incapables (des circuits neuronaux) de faire sans biais de confirmation et arguments d'autorité, qui sont comme des molles tentacules qui ne sauraient atteindre la relevance de mon argumentation.

C'est faux et c'est prouvé.
Il n'y a jamais eu de montage photo.
J'ai placé des bulles de bande dessinée autour d'un visage de zombie, et ça consistait en un dialogue comique entre ce zombie et un policier à qui il déposait plainte. Ce zombie se nommait tony le mort (c'est ton ancien pseudo) se plaignait d'être harcelé par qqun dont le nom réel était cité (moi), et ça ne concernait en rien la PERSONNE.
Je l'ai posté ici même: cela a fait rire parce que c'était drôle et que ça résumait toutes tes accusations ubuesques de harcèlement alors que c'est toi qui m'as harcelé par téléphone. Puis un administrateur a décidé de le virer parce qu'un nom et un numéro étaient cités: le mien, en l'occurrence. Je reprécise pour la nième fois.
Cette confusion étant levée, moi je suis parfaitement disposer à reposter cette archive. Que ça mette enfin un terme à tes mensonges répétés à ce sujet.

Voilà qui donne envie de relire Le Système du docteur Goudron et du professeur Plume.

Accusations décousues, inversées, courroucées et somme toute émouvantes d'un homme ivre de rage, s'essayant à mettre ventre-à-terre une bête immonde surgie de ses abysses (à lui). Et qui rêve debout. C'est beau, qui le contestera?

En attendant, il a été répondu au nœud de son sophisme principal (au sujet de l'hypersignifiance), malgré ses tentatives louables pour tout faire oublier dans un naufrage tentaculaire et noyer l'enfant, le poisson, toute la smala avec l'eau du bain.

Qui a communiqué ce numéro avec les photos ? Je ne me souviens plus très bien. Toi ou moi ?