Jerzy Pericolosospore a écrit:
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Oui, bonne nuit. Et à ta place, je serais éthiquement honteux de m'allier à un pervers paradigmatique avéré pour régler tes comptes à l'immonde jerzy qui t'a mouché au delà de ton seuil de tolérance habituel.
Attends attends, c'est toi qui a pris la mouche pour ce qui n'était au départ qu'une simple question sémantique qui avait pour but que tu explicites ton propos. Pardonne-moi de ne pas être convaincu par des explications qui, sous couvert de références savantes (et quand même bien pratiques tant l'emploi en est vague), semblent provenir d'une approche initiale complètement absurde (c'est ce que j'ai résumé par ma boutade sur Monte Hellmann). Compare des choses comparables pour commencer. Exemple RB et son remake, Assault, ce que tu fais de manière plutôt intéressante.
Bien sûr, comme tu ne souffres pas la discussion, tu es parti dans tes délires, mêlant attaques ad hominem et complexe de supériorité. À la limite, que tu trouves ce que je dis débile, mon discours décousu, émaillé de références inutiles et obscures (là on tend vers le procès d'intention et l'argument populiste mais bon, passons), ok mais ta manière de répondre est complètement disproportionnée et confine souvent à une sorte de délire - je sais je me répète - mégalomaniaque. Me souviens ces moments où tu rediriges les gens vers ton blog où, au hasard, Pauline Kael sera définitivement déboulonnée, ou untel expliqué dans les grandes largeurs. Ça me fait marrer. C'en est, comme je l'ai dit, risible et fascinant.
Pour Gontrand, il est vrai qu'il n'a eu de cesse de tendre le bâton pour se faire battre, en remettant toujours le sujet sur le tapis, dans un espoir probablement jamais éteint de pacification à mon avis illusoire, alors que tu avais bien pris soin de l'ignorer à part quelques piques de temps en temps car bon, on ne se refait pas. Comme je dois être le seul à avoir prêté attention, quoique vaguement à cette querelle, je me demande si mon comportement n'est pas aussi pathologique que le vôtre. La preuve, notre présence en cette heure tardive. Come to mama, jerzy.
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