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Découvertes 2015 (hors 2015) https://forum.plan-sequence.com/decouvertes-2015-hors-2015-t20212.html |
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Auteur: | Massinfect [ 28 Déc 2015, 02:06 ] |
Sujet du message: | Re: Découvertes 2015 (hors 2015) |
T'as pas vu Sorcerer aussi fdp ? |
Auteur: | Film Freak [ 28 Déc 2015, 02:35 ] |
Sujet du message: | Re: Découvertes 2015 (hors 2015) |
C'était l'an dernier, couillon. |
Auteur: | Karloff [ 28 Déc 2015, 09:33 ] |
Sujet du message: | Re: Découvertes 2015 (hors 2015) |
Bel effort. Je ne note pas tous les films que je vois à la télé par hasard, donc ma liste se limitera à mes "festivals" Mon top 10 1. Vénus noire d'Abdellatif Kéchiche 2. Play de Ruben Ostlund 3. Canine de Yorgos Lanthimos 4. Le Soleil d'Alexander Sokourov 5. Policier, adjectif de Corneliu Porumboiu 6. Of Time and the City de Terence Davies 7. Drug War de Johnnie To 8. Submarino de Thomas Vinterberg 9. Pasolini d'Abel Ferrara 10. Le Dernier Voyage de Tanya d'Alekseï Fedortchenko |
Auteur: | Tetsuo [ 28 Déc 2015, 11:07 ] |
Sujet du message: | Re: Découvertes 2015 (hors 2015) |
Vous pouvez pas vous contenter d'un top 10, comme avant. Ça va être interminable là sinon... |
Auteur: | Castorp [ 28 Déc 2015, 11:17 ] |
Sujet du message: | Re: Découvertes 2015 (hors 2015) |
Tom part et tout fout le camp. Surtout que je ne pige absolument rien à la démarche de Karloff. Je devrais encore voir 1 ou 2 films avant la fin de l'année, je ferai mon top à ce moment-là. |
Auteur: | Tetsuo [ 28 Déc 2015, 11:39 ] |
Sujet du message: | Re: Découvertes 2015 (hors 2015) |
Pareil. |
Auteur: | Film Freak [ 28 Déc 2015, 12:30 ] |
Sujet du message: | Re: Découvertes 2015 (hors 2015) |
Tetsuo a écrit: Vous pouvez pas vous contenter d'un top 10, comme avant. Ça va être interminable là sinon... Suffit de ne lire que la fin du message. |
Auteur: | Marlo [ 28 Déc 2015, 12:35 ] |
Sujet du message: | Re: Découvertes 2015 (hors 2015) |
1 - Le Guépard (Luchino Visconti, 1963) C'est aussi une découverte de cinéaste, puisqu'aussi étrange que cela puisse paraitre, ce fut mon premier Visconti. J'attendais de pouvoir le voir sur un grand écran et en haute définition. Grosse claque évidemment, la dernière demi-heure est déchirante. 2 - French Cancan (Jean Renoir, 1954) Je redoutais un peu le côté tagada tsoin tsoin vieille France argotique avec ce p'tit père de Gabin, mais le rythme effréné fait largement passer la pilule et donne même envie de prendre son carte au Parti Pétainiste à la fin. Je me demande si ce n'est pas le classique le plus américain de tous les classiques français. Le sujet est franco-français, la forme et l'écriture, pas du tout. Ca ne préfigure pas la nouvelle vague et c'est bien plus enlevé que l'essentiel des moisissures produites en France dans ces années-là ... Ça répond ici directement au cinéma américain contemporain, à tel point qu'on se dit parfois que le film est réalisé par Minnelli ou Donen. C'est une folle ode au spectacle, au rythme effréné, conduite par le personnage de Gabin, véritable animal ne vivant que pour l'entertainment. Le film se termine par une demi-heure ininterrompue de spectacle enchanteur, entre des chansons de cabaret (truc qui me gave habituellement mais qui là passe tout seul), la chanson "La complainte dans la butte" et bien sûr le spectacle de french cancan. Toute la salle s'emballe, danseuses comme spectateurs, qui se mélangent dans un festival de couleurs. Le spectacle, orgasmique, réconcilie tout le monde et efface les peines d'amour et tracas accumulés tout au long du film. Vraiment splendide. Sur le podium de mes Renoir préférés après Une partie de campagne et Le Fleuve pour le moment, même si j'en ai vu peu. 3 - César et Rosalie (Claude Sautet, 1972) Pas mon Sautet préféré (je préfère Les choses de la vie et Vincent François Paul et les autres) mais c'est tout de même un des plus beaux triangles amoureux que j'ai vu. Peut-être le plus grand rôle de Montand aussi, impressionnant dans le rôle de douchebag au profil psychologique ESFP le plus véridique de toute l'histoire du cinéma. 4 - Ma nuit chez Maud (Eric Rohmer, 1969) Le meilleur film de Noël à propos de Blaise Pascal tourné à Clermont-Ferrand. 5 - Un témoin dans la ville (Edouard Molinaro, 1959) Je ne pensais pas voir un film comme ça dans le cinéma français un jour, surtout signé par l'auteur de La cage aux folles ou Hibernatus. Le pitch : un bourgeois arrogant habitant Neuilly tue sa maîtresse. Le mari de sa maîtresse (Lino Ventura) décide de venger sa femme en le tuant. Il est vu par un chauffeur de taxi et se met donc à le poursuivre pour le tuer lui aussi. Ce n'est ni plus ni moins qu'une cavale meurtrière d'1h25 donc, vraiment sèche, très rythmée, avec des scènes vraiment cash (morts très violentes, dénuées de pathos), comme si c'était la reconstitution d'un fait divers. Lino Ventura, brillant, incarne un homme violent, très froid, antipathique, comme déjà mort, mais qui parvient tout de même à susciter notre pitié. Face à lui, un chauffeur de taxi, qu'on voit avec sa copine dans son petit appartement parisien, ou dans les bureaux de son entreprise. On sent l'envie de Molinaro de représenter le plus fidèlement possible, avec un aspect presque documentaire, ce petit monde des taxis, de décrire de fond en comble son univers. D'une certaine manière, on a droit 20 ans plus tôt aux scènes entre chauffeurs vues dans Taxi Driver ! Le Paris nocturne est superbement filmé, dans ses rues ou son métro (où on y voit une superbe scène de filature), toujours avec un vrai dynamisme et une inventivité constante. Certainement le polar français réaliste le plus dénué de mongoleries, le plus sec, que j'ai vu. Je le recommande à QGJ, Film Freak ou Z, qui devraient trouver ici ce qu'ils ne trouvent pas dans la multitude de polars ou thrillers français actuels qu'ils vont voir ! 6 - De bruit et de fureur (Jean-Claude Brisseau, 1988) Brisseau tente un milliard de choses dans ce film. Il en rate la moitié (toutes les incursions du fantastique, par exemple), mais ce n'est pas grave tant le film est fascinant jusque dans ses ratages. C'est excessif, outrancier, hilarant, hyper violent, et ça ne ressemble à rien d'autre (mélange de film social, de naturalisme à la Pialat bien bourrin, de film de genre à la Charles Bronson, et de fantasmagorie cheap teintée d'érotisme de téléfilm M6). La cité est ici un vrai cauchemar urbain, magnifié par Brisseau. Et puis Bruno Cremer est fantastique en vieux truand anar maniaque des armes. 7 - Le Fugitif (Andrew Davis, 1993) Je triche un petit peu car je l'avais déjà vu. Mais c'était à un âge où je ne m'intéressais pas du tout au cinéma. Je ne me souvenais plus que de quelques bribes du film. Eh bien, que le film rend nostalgique sur cette période où les plus gros films américains pouvaient être des polars ! Ici, le gros du budget du film est dédié à une collision entre un train et un bus, à une merveilleuse cascade (la fameuse scène du barrage) et à de longues scènes dans les décors naturels de Chicago. Les petites rues, l'hôpital, la banlieue triste, le défilé de la Saint-Patrick ... Rares sont les films qui investissent aussi fortement le décor urbain. On a en plus de cela droit à un vrai héros auquel on s'attache vite dans sa quête de vérité et surtout à un fantastique "méchant", un vrai chien flic interprété par Tommy Lee Jones dont c'est à mon sens le meilleur rôle. L'intrigue est prenante, pleine de rebondissements et d'idées géniales. Un des meilleurs films policiers de ces 30 dernières années pour moi. 8 - Millennium Mambo (Hou Hsiao-Hsien, 2001) Je n'avais encore jamais rien vu de HHH, étant l'opposé de Karloff sur l'appréciation du cinéma dit contemplatif. Finalement, j'avais tort. Déjà, c'est contemplatif mais jamais creux ou simplement esthétisant, c'est assez rèche et HSS cherche vraiment toujours à rendre son film incarné, habité. Ensuite, malgré la dureté du film, il y a toujours une belle atmosphère nocturne ouatée, pleine de douceur, proche de ce que j'imagine pour les nuits taïwanaises ou hong-kongaises. Le film m'a plongé dans une douce torpeur, sereine et quiète. Je sais que je voudrai maintenant ressentir la même chose dans mes dernières minutes de vie avant mon euthanasie dans une luxueuse clinique suisse proche du Lac Léman. On est bien. 9 - Les guerriers de la nuit (Walter Hill, 1979) J'ai mis du temps avant de le voir, redoutant un film trop marqué par les années 70 et aujourd'hui irregardable. Or non, comme Orange Mécanique, le film puise dans les pires travers esthétiques de son époque pour accoucher d'un univers intemporel (tout en parlant on ne peut mieux de son époque, et plus précisément ici du New-York pré-Giuliani). Très bon. 10 - La nuit américaine (François Truffaut, 1973) Le film m'ennuie quand Truffaut nous balance ses dialogues habituels pas très finauds sur le cinéma ou les femmes. Quand il s'intéresse à sa mise en scène ou à ses acteurs, c'est tout de suite mieux. Grosse alchimie entre Léaud, Jean-François Stévenin, Nathalie Baye (toute mimi ! je ne l'avais même pas reconnue) et Truffaut lui-même, tous excellents. Côté forme, c'est le plus beau film de Truffaut que j'ai vu. Je comprends enfin la passion de Desplechin pour son cinéma d'ailleurs. Même si leurs thématiques et préoccupations sont bien différentes (d'où la passion que j'ai pour Desplechin et que je n'ai pas pour Truffaut), on sent ici une vraie filiation dans la forme. On est dans une sorte de naturalisme maniéré, avec mouvements de caméra (parfois référentiels), ruptures de ton fréquentes, inserts, jeux de montage, ... C'est inventif mais jamais trop voyant ou péteux, c'est toujours au service du récit, de la narration. Le film est dynamique et enlevé, parfois franchement virtuose. Superbe partition de Delerue aussi. Ensuite j'ai vu pas mal de choses bien mais pas suffisamment pour être dans ce top 10 (Chungking Express, Presque Célèbre, WarGames, Prisoners, Le vieux fusil, ...). Quand au pire film découvert cette année : Spinal Tap. Énorme incompréhension. Pourtant, j'aime beaucoup Rob Reiner. Je crois que c'est le combo heavy metal + mockumentary qui m'a tué ... Je n'ai pas esquissé un seul sourire. |
Auteur: | Caribou [ 28 Déc 2015, 12:42 ] |
Sujet du message: | Re: Découvertes 2015 (hors 2015) |
Marlo a écrit: 6 - De bruit et de fureur (Jean-Claude Brisseau, 1988) Brisseau tente un milliard de choses dans ce film. Il en rate la moitié (toutes les incursions du fantastique, par exemple), mais ce n'est pas grave tant le film est fascinant jusque dans ses ratages. C'est excessif, outrancier, hilarant, hyper violent, et ça ne ressemble à rien d'autre (mélange de film social, de naturalisme à la Pialat bien bourrin, de film de genre à la Charles Bronson, et de fantasmagorie cheap teintée d'érotisme de téléfilm M6). La cité est ici un vrai cauchemar urbain, magnifié par Brisseau. Et puis Bruno Cremer est fantastique en vieux truand anar maniaque des armes. ça jure tellement avec ce que le cinéma français produit habituellement et en même temps c'est tellement français. Je me souviens, gros coup de chaud à la vision du film à cause de la prof blonde à qui Brisseau ne fait rien faire de vraiment érotique ou tendancieux. |
Auteur: | Castorp [ 28 Déc 2015, 12:43 ] |
Sujet du message: | Re: Découvertes 2015 (hors 2015) |
Marlo a écrit: 8 - Millennium Mambo (Hou Hsiao-Hsien, 2001) Je n'avais encore jamais rien vu de HHH, étant l'opposé de Karloff sur l'appréciation du cinéma dit contemplatif. Finalement, j'avais tort. Déjà, c'est contemplatif mais jamais creux ou simplement esthétisant, c'est assez rèche et HSS cherche vraiment toujours à rendre son film incarné, habité. Ensuite, malgré la dureté du film, il y a toujours une belle atmosphère nocturne ouatée, pleine de douceur, proche de ce que j'imagine pour les nuits taïwanaises ou hong-kongaises. Le film m'a plongé dans une douce torpeur, sereine et quiète. Je sais que je voudrai maintenant ressentir la même chose dans mes dernières minutes de vie avant mon euthanasie dans une luxueuse clinique suisse proche du Lac Léman. On est bien. Retenté cette année, tiens. C'est vraiment le seul HHH que je supporte pas, alors qu'il est dans mes cinq réalisateurs préférés. Rien à faire, je n'y arrive pas. |
Auteur: | Caribou [ 28 Déc 2015, 13:11 ] |
Sujet du message: | Re: Découvertes 2015 (hors 2015) |
Marlo a écrit: impressionnant dans le rôle de douchebag au profil psychologique ESFP le plus véridique de toute l'histoire du cinéma. Tu sais ce qu'est un douchebag originellement? J'ai appris ça il y a quelques mois, j'ai eu honte de ne pas l'avoir su avant. ESFP, je ne connaissais pas. Je déteste ce vocabulaire "psychologisant", je trouve ça débile et complètement déresponsabilisant, quand je lis des trucs sur ça, je n'ai jamais l'impression que ça ait une quelconque valeur scientifique et ça rend la vie déprimante. |
Auteur: | Tetsuo [ 28 Déc 2015, 14:16 ] |
Sujet du message: | Re: Découvertes 2015 (hors 2015) |
Je comprends pas ce que ça veut dire. |
Auteur: | sponge [ 28 Déc 2015, 15:03 ] |
Sujet du message: | Re: Découvertes 2015 (hors 2015) |
Ah bah je vais pouvoir le faire maintenant que j'ai un joli compte imdb à jour (depuis 2 ans, mais l'année dernière c'était chaud de distinguer mes visions 2014 des autres). Les classiques que je devais rattraper un jour, et dont la liste ne sera jamais satisfaisante : Citizen Kane. Un bon gros 5/6 Some Like It Hot : 4.5/6. J'ai vraiment beaucoup ri, quelques trucs ont pas mal vieillis et surprennent, mais c'est pas la faute du film. Pat Garrett and Billy the Kid : un bon gros 5/6. Cette mélancolie constante, et la musique de Dylan, ça m'a vraiment touché Chinatown : un bon gros 5/6 Princess Bride : 4.5/6. Enfin, "classique". C'était très sympa quand même. Une petite rétro des classiques de l'horreur The Incredible Shrinking Man : un bon gros 5/6. Je l'avais sur mon pc depuis le cinéclub. J'suis con de pas l'avoir vu à ce moment là Them ! 4.5/6. Quelques trucs relous, ou drôles, mais le sous-texte est toujours aussi cool Phase IV : c'est pas vraiment un classique, mais il y aussi des fourmis tueuses. Bien aimé même si un peu trop lent. 4/6 Creature From The Black Lagoon : 4/6. Bon j'ai pas trouvé ça incroyable. Tout au plus sympa. Beaucoup aimé la scène de plongée en bikini. The Hound of the Baskervilles : 4.5/6. C'était cool de voir le Grand Moff Tarkin en mec gentil. The Wicker Man : 5.5/6. La grosse claque. J'en avais parlé sur le topic Frankenstein (1931) : un bon gros 5/6 The Thing From Another World : 4/6. J'ai beaucoup aimé le début. Et la "science" de l'alien. Mais la fin avec la monstre dans les couloirs, c'est plus possible Forbidden Planet : un bon gros 5/6. Très surpris par le film et le scénario The Burbs : 4/6. J'aime bien Joe Dante, et j'aime bien Tom Hanks. J'ai bien aimé ce petit film légèrement subversif Rétrospective Carpenter Y'en avait plusieurs que j'avais pas vu. Grosse claque sur Prince of Darkness (le combo étudiants en sciences + satanisme, c'est parfait pour moi) et Mouth of Madness. Bien amusé devant They Live. Rétrospective SF Mimic : 4.5/6. Encore une fois le combo sciences + paranormal, c'est gagnant. Westworld : 4.5/6. Concept sympa, série B fun. Fantastic Voyage : 4/6. Impressionnant techniquement. Acteurs chiants. Scénario ultra prévisible Bill & Ted's Excellent Adventure : 4/6. Ouais, c'est rigolo. The Andromeda Strain : un bon gros 5/6. Une idée/concept génial pour l'alien. Décors aseptisés parfaits pour l'ambiance. Bien angoissant comme il faut Logan's Run : 4/6 gentil. C'est cucul et très kitsch. Mais ça a ses bons moments et de bonnes idées Timecop : 2/6. Lol. Silent Running : 5/6. J'ai kiffé ma race The Running Man : 2/6. Loool. The Black Hole 3/6 pour le côté nanar de luxe Comédies Wet Hot American Summer : 4.5/6. J'ai presque compris toute la hype et le culte du film. Presque. La série vaut le coup ? Rushmore : 4.5/6. Wes Anderson origins. When Harry Met Sally : 4.5/6. Très sympa Animal House : 3/6. Pas beaucoup ri (et pourtant je suis client des "films de facs"). Ca pas mal vieilli. Mallrats : 4/6. C'est cool Point Break : 4/6. Oui, c'est une comédie Swingers : 4/6. Sympathique Stranger than fiction : 4/6. sympathique comédie high concept avec Will Ferell et Maggie Gillenhaall The Brothers Bloom : 5/6. L'épisode VII ça va tuer Office Space : 4.5/6. Le mini-culte est mérité. Dumb and Dumber Two out of Six Le reste : 13th Warrior : 5/6. Agréablement surpris Conan the Destroyer : 2/6 Fury : 4.5/6. Pas mal The Witches of Eastwick : 4/6 : rigolo et gentiment subversif |
Auteur: | TeLeTuBiieS [ 28 Déc 2015, 23:36 ] |
Sujet du message: | Re: Découvertes 2015 (hors 2015) |
Bon j'ai vu plus de 300 films hors 2015 cette année. parmi lesquels (je note évidemment que le positif) Donnant le top 10 suivant : 10 - Détruisez-vous, Serge Bard (1968) 9 - Le Sacrifice, Andreï Tarkovski (1986) 7 - L'Important c'est d'aimer, Andrzej Zulawski (1975) 6 - Une Histoire d'eau, François Truffaut et Jean Luc Godard (1958) 5 - Deep End, Jerzy Skolimowski (1971) 4 - Sayat Nova - La Couleur de la grenade, Serguei Paradjanov (1969) 3 - Le Sang des Bêtes, Georges Franju (1947) 2 - Le lit de la vierge, Philippe Garrel (1969) 1 - Chronique d'Anna Magdalena Bach, Jean Marie Straub et Danielle Huillet (1968) |
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