Forum de FilmDeCulte

Deux poids deux mesures.
Sioniste.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Allez les enfants on se calme là, deux pages d'insultes par jour c'est suffisant...

Tu sais que leitmotif est un mot du langage courant, qui n'implique nulle référence et encore moins comparaison avec un opéra de Wagner ? Bon, je crois que tu n'as vraiment pas fini le lycée et qu'il faut être indulgent avec toi, mais arrête maintenant.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

1-Ne me fais pas dire des choses que je n'aurais jamais dites en créant des liens que je n'ai jamais faits, ça donne l'impression de parler à un demeuré.
2-

3-Reviens vers moi quand tu auras des choses du même tonneau (comprendre tout aussi passionnantes) à me dire.

Et où ai-je, dans le message cité, comparé le film à un opéra wagnerien, espèce de résidus de balais à chiottes, de fragment de cerveau de babouin, de chiure de perroquet attardé mental ?

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

C'est leitmotiv qu'on dit

Non.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Le truc que tu n'arrives pas à comprendre, c'est que l'un n'empêche pas l'autre. Les circonstances, par exemple, auraient pu être différentes.

C'est plus beau leitmotiv

Bien content d'avoir rattrapé le film. Ce qui cartonne, en plus de la forme, c'est le contraste entre cette Écosse réelle, documentaire, ces acteurs non-professionnels fabuleusement naturels, et la présence fantomatique de Johansson au milieu, comme une authentique extraterrestre débarquée directement d'Hollywood à Glasgow. Ça fonctionne très bien.

La première partie est fabuleuse, elle te hante. Y a de ces images, de ces plans, de ces scènes... Respect. Je suis moins fan de la deuxième partie plus tardive et "convenue" (toutes proportions gardées). En tout cas je craignais quelque chose de stérile et poseur et j'ai été plutôt conquis.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Comme tout le monde j'ai largement préféré la première partie.
Cette façon très sèche, graphique, de mettre en scène les évènements avec le minimum de dialogue m'a impressionné, d'autant que le mystère entretenu sur l'identité / la fonction de madame tient en haleine, sans donner de réponses vraiment, et c'est bon. Avec ce scénario hyper mince, une exposition moins adroite, plus explicite (par un Nolan version inception par exemple) m'aurait vite gonflé. Mais ça doit être une affaire de goût.
J'ai aimé, donc, apprendre peu à peu sur elle des choses importantes à travers de petits riens très techniques
L'eau noire aussi, très joli et glaçant, surtout quand on voit dessous.

J'ai parcouru les pages précédentes, et la scène qui m'a le plus marqué y est peu évoquée :

Evidemment, la découverte de l'humanité n'est pas aussi bien traitée que dans les ailes du désir, et là où ce café chaud que boit l'ange déchu provoquait l'empathie et l'envie, le coup du gâteau au chocolat coupe plutôt l'appétit. Mais ici le sujet n'est pas le même, et la Johansson n'est pas équipée pour le bonheur et le plaisir. C'est sa malédiction, en plus de trimballer une enveloppe qui attire les bûcherons.

J'ai aussi lu sur ces pages les échanges Caribou - Scythe machin, et je me demande encore qui est le roi. C'est de toute beauté.

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-I failed.
-Good. Now go fail again.