Forum de FilmDeCulte

« Les risques environnementaux sont devenus pleinement perceptibles. Ils se sont manifestés à travers des catastrophes tangibles et brutales comme Bhopal en Inde, en 1984, Tchernobyl en URSS, en 1986, ou Fukushima au Japon, en 2011, mais aussi de manière plus insidieuse avec la disparition progressive des espèces naturelles (les populations des vertébrés, poissons, oiseaux, mammifères, amphibiens et reptiles ont chuté de 58 % entre 1970 et 2012), par le réchauffement climatique, par les transformations des paysages, les famines, sécheresses et autres catastrophes naturelles que des régions entières subissent.
Ces risques environnementaux sont la conséquence directe et indirecte des comportements humains. Et cela ira croissant. Le risque environnemental conduit et conduira de plus en plus à des déséquilibres, à des guerres ; les populations chercheront à conquérir d’autres espaces. Et ces migrations viendront nous toucher directement. »

« Nous sommes en train de vivre un stade final du capitalisme mondial qui, par ses excès, manifeste son incapacité à durer véritablement. Les excès de la financiarisation, les inégalités, la destruction environnementale, l’augmentation inexorable de la population mondiale, les migrations géopolitiques et environnementales croissantes, la transformation numérique : ce sont là les éléments d’un grand bouleversement qui nous impose de réagir. Sans doute n’avons-nous pas vécu période comparable depuis l’invention de l’imprimerie et la découverte du continent américain. Ce sont de tels basculements qui ont précisément conduit la Renaissance en Occident, comme une réinvention des organisations sociales, politiques, imaginaires et artistiques. Alors que nous aurions pu disparaître. »

« Les risques environnementaux sont devenus pleinement perceptibles. Ils se sont manifestés à travers des catastrophes tangibles et brutales comme Bhopal en Inde, en 1984, Tchernobyl en URSS, en 1986, ou Fukushima au Japon, en 2011, mais aussi de manière plus insidieuse avec la disparition progressive des espèces naturelles (les populations des vertébrés, poissons, oiseaux, mammifères, amphibiens et reptiles ont chuté de 58 % entre 1970 et 2012), par le réchauffement climatique, par les transformations des paysages, les famines, sécheresses et autres catastrophes naturelles que des régions entières subissent.
Ces risques environnementaux sont la conséquence directe et indirecte des comportements humains. Et cela ira croissant. Le risque environnemental conduit et conduira de plus en plus à des déséquilibres, à des guerres ; les populations chercheront à conquérir d’autres espaces. Et ces migrations viendront nous toucher directement. »

. Le côté catastrophique m'a fais penser à toi.

Pour te restituer le contexte, c'est dans un chapitre intitulé "La grande transformation" donc c'est volontairement synthétique et peu développé vie que l'écologie n'est qu'une facette. Le côté catastrophique m'a fais penser à toi.

Il faut montrer qu’il faut que ce jeune homme soit tempéré dans ses folies par la main avisée d’un sage qui connaît de quel côté est le bonheur du peuple