Forum de FilmDeCulte

aka Single White Female



Une femme fait paraître une annonce pour trouver une nouvelle colocataire, avant de constater que celle qui emménage présente un comportement très étrange.

Mais c'est de la merde?!

Enfin je sais pas trop pourquoi j'ai cru qu'il avait une réputation correcte et le pitch fleurait clairement le "téléfilm" tel que j'en donnais la définition dans ma critique de La Main sur le berceau mais j'attendais tout de même un produit plus bêtement efficace de la part de Schroeder dont j'aime bien les autres films des années 90 mais là ça m'a juste barbé.

Le décor improbable (immeuble qui a l'air hanté, appartement gigantesque) était propice à la tension, le casting était parfait (vraiment, elles se ressemblent) avec ces fausses jumelles mais les rapports entre les personnages sont déjà peu crédibles quand il ne se passe encore rien de trop chelou et ça ne fait qu'empirer, avec de grosses facilités (le conduit d'aération qui permet de tout enteeennndre) et devenir de plus en plus vulgos et grossier (la boîte à chaussures avec les coupures de journaux révélatrices de backstoryyyy) au fur et à mesure que ça bascule dans le thriller, en plus d'être interminable, jusqu'à une fin ridicule où on est quasiment dans Predator. A moins de le regarder au 36e degré, vraiment, je ne vois comment on peut trouver un semblant d'intérêt à cette connerie qui en plus ne raconte rien sur rien.

Ça aurait pu être un film trouble et pervers sur la notion de double, de complémentarité et d'émulation, du rapport de dominant à dominé, mais quedalle. C'est juste une gentille fille indépendante des années 90 aux prises avec une folle. Bad Influence, à côté, c'est un traité philosophique.

JulienLepers, viens tout de suite expliquer ton trois étoiles et demi.
Et Lohmann, même la moyenne c'est trop!

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J’imagine que l’avoir vu à l’époque, vers 13/14 ans donc, et pas revu depuis, peut jouer dans la note - j’ai un souvenir de 4/6, mais en réalité strictement aucun de la moindre scène.

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There is no such thing in life as normal

Première scène de fellation que j'aie vu de ma vie avec un twist en plus.
6/6

Voilà cela doit dépendre de l'âge auquel tu l'as découvert. Je trouvais les actrices très douées et Jennifer Jason Leigh me faisait un effet de ouf. J'ai dû découvrir le film à la même époque que la chair et le sang. Oui c'est vulgaire et cela ne vaut pas mieux qu'un Mary Higgins Clark en littérature.
. Je mets la moyenne sans plus 2.5 voir 3/5 pour le cul. Je l'avais revu à la baisse quand je l'avais revu pour un quiz ici.

Et moi qui croyait que tu faisais une vanne pour le titre VO. Mais non c'est le vrai...

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

BILANS CINEMA : 2023 I 2024

Ouais globalement plus ca avance et moins ca va, avec cette fin inter-minable dans le sous-sol là. J'ai dû faire un effort pour me rappeler un peu du film alors que je l'ai vu y'a genre 2 ans (comme quoi l'oubli, ça a ses avantages)

À peu près mon opinion au lancement du générique de fin, j'ai presque tout oublié d'ailleurs. Le culte qu'il avait dans les années 80/90 ne se vérifie pas avec le temps.

Film sur lequel j'ai fantasmé pendant des années.
Peut-être pour le potentiel saphique mais surtout par les campagnes promo de la VHS. L'impression que ça apparaissait dans la moitié des BA de location, plus les pubs pour la vente et sûrement "chez votre marchand de journaux". Et calculer que c'est un Schroeder qui faisait, et a continué, de faire des trucs sympas.
Vu style sur M6 ou RTL9. Mon seul souvenir, c'est la déception.

Film que je mélange dans ma tête avec LA MAIN SUR LE BERCEAU, alors que j'ai vu ni l'un ni l'autre.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Pareil, mais la raison est simple : il me semble qu’ils passaient au cinéma au même moment (et même de les avoir vus à quelques jours d’intervalle à l’UGC Normandie.

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There is no such thing in life as normal