Forum de FilmDeCulte

C'est vachement bien.
Le film qui fait amèrement regretter que Schroeder ne fera pas Mesrine.

Mais comme j'ai envie de dormir right now, je copie-colle ce qu'a écrit Noony, ça m'évite de faire le perroquet :



5/6

J'étais circonspect, mais des amis du milieu judiciaire l'ayant vu à Cannes m'en ont dit le plus garnd bien

Du coup, j'ai hâte

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There is no such thing in life as normal

la b-a est assez excitante, faut le dire...

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Vergès est quand même un sacré personnage de cinéma.

Faut surtout pas hésiter! Très très instructif, et pas seulement sur Vergès. Zad, ça devrait te plaire.

enfin!

paske putain, les films moisis ces derniers jours, ça y va, hein...

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J'ai été dans un bar l'autre soir, et la serveuse était l'assistante réal de Schroeder sur ce film.

Sur l'affiche on sait pas s'il fait genre "mettez moi les menottes" ou s'il fait semblant de recharger un flingue invisible.

Sinon ouais j'ai hâte!

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Ta première hypothèse est quand même plus évidente, hein...

oui mais la 2ème est plus drôle parce que strictement liamesque

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Gnagnagna.

Ben évidemment.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Il faut une suite à ce docu, se consacrant à toutes ces photos, un portrait difficile de la fin d'un Siècle dont je découvre que je ne connais qu'un bout de la surface moisie...Le fruit est indéniablement gâté et le portrait de notre avocat de la terreur, à la fois glaçant (superbe musique, suf certaines pistes) et qui pousse à une forme de respect.

Un leçon d'histoire en acceléré, l'envie d'en savoir plus, beaucoup plus. Parce que si l'Algérie reste compréhensible, la suite ressemble à un gigantesque puzzle de pistes à étudier, de chapitres ouverts non clos. C'est normal, d'un sens, ça va avec la rupture du personnage, mais c'est aussi frustrant. Sur Vergès, deux heure et quelques ne suffisent pas. Point faible d'un objet en tout point, par ailleurs, hautement respectable.

4.5/6

Le film aurait pu aller dans le raccoleur et faire un inventaire des procès médiatisés de Vergès. Schroeder s'intéresse plus à l'homme qu'a la bête publique, aux fondements qui ont amené ce bonhomme à devenir ce qu'il est. Et je trouve ça très bien.

Après, ça deviendrait du "Envoyé Spécial"

Y en a quelques uns où son attitude m'intéresserait, justement. Ces liens avec les dictateurs africains, sa défense de Milosevic, ou même Omar Raddad.