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MessagePosté: 03 Aoû 2023, 12:09 
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Antichrist
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Mais oui, vraie gueule lui. Il était dans le Madame Claude qui a fini sur une plate-forme et qui était un gros projet français.


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MessagePosté: 04 Aoû 2023, 14:09 
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Le premier Dupieux où il y a un vrai personnage les deux pieds dans la réalité. C'est vraiment le gros point fort du film. Ce personnage tellement réaliste de gardien de nuit du 77 qui se révèle petit à petit, à la fois flippant, antipathique, bête et totalement son contraire, attachant et brillant. Encore un rôle en or pour Quenard, c'est fascinant avec ce mec on a pas l'impression qu'il joue des rôles mais que des rôles viennent s'adapter à lui, là encore avec ce phrasé si particulier, ces tournures de phrases bizarrement sophistiquées etc... Il fait vraiment le film avec cette banalité totale (le mec est transparent, ses costumes, même son visage) qui s'évanouit dès qu'il ouvre la bouche.

Pour le reste je retrouve Dupieux en mode paradoxalement moins fainéant (alors que c'est un film tourné en 6 jours) mais toujours aussi inabouti. Il y a plein de moments où ça marche plus vraiment
(comme le dit Arnotte, le public qui réagit pas, qui bouge pas, le mec qui débarque de nulle part avec l'extincteur)
et où on sent que le concept est limite pour tenir une heure. Mais la dernière partie avec le monologue de Marmaï et surtout la représentation vue par le metteur en scène c'est plutôt chouette. Une vraie petite émotion naît sans qu'on sache finalement très bien la situer.

Un de ses bons films, pas énervants de jemenfoutisme comme d'autres mais en même temps j'arrive pas à m'enthousiasmer vraiment.

3-4/6

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MessagePosté: 04 Aoû 2023, 16:03 
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Meilleur démarrage pour un Dupieux, en tous cas. Très joli coup, vu le casting moindre.

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MessagePosté: 05 Aoû 2023, 15:48 
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Robot in Disguise
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Film Freak a écrit:
En France, il y a bien eu des blockbusters US qui sortaient durant l'été (pour citer ceux de mon enfance et adolescence : Speed, Die Hard 3, Judge Dredd, The Rock, Armageddon) mais beaucoup attendaient l'automne (exemple : La Menace fantôme qui est sorti en mai aux States et le 13 octobre ici...cétait le dernier de la saga d'ailleurs). Je dirais que le switch s'est fait progressivement entre 2000 et 2004.
Le shift a réellement commencé en 1995.

En 94 SPEED sort fin août, donc c'est déjà quasiment la rentrée. Y a que THE CROW et MAVERICK, si on veut les compter comme des gros films, qui sortent au coeur de l'été.

Par contre en 95 ça change d'un coup: on a BATMAN FOREVER, LANCELOT et DIE HARD 3. Et le phénomène ira en s'accentuant.

Y a MINORITY REPORT, avec sa sortie en octobre 2002 qui fera figure de dinosaure de cette époque révolue.

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MessagePosté: 05 Aoû 2023, 16:34 
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Pour Maverick, ils ont retenté le coup de L’arme fatale 3, sorti le 12 août 92.

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Cela dit, on peut noter que des films comme Last action Hero ou Double impact sortent au milieu de l’été en France.

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Robot in Disguise
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Cosmo a écrit:
Cela dit, on peut noter que des films comme Last action Hero ou Double impact sortent au milieu de l’été en France.
J'avoue, je connais mal les dates de sortie pré-94. Mais ça restait l'exception bien davantage que la règle.

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MessagePosté: 05 Aoû 2023, 21:33 
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J'ai trouvé cela assez déprimant. Pour moi c'est un film à thèse, construit autour de l'idée qu'après les attentats de 2015-2016, et le Bataclan en particulier, le rapport des Français à la culture, et la manière dont ils se positionnent comme public, ont changé
Une identité ou une forme de goût formaliste et décalé dans les années 90 (l'imprimante anthropomorphe qui renvoie un peu à Mr Oizo) s'est muée en une forme de populisme et de nostalgie bourgeoise, où l'autre est soit perçu comme une menace, soit comme un objet de compassion, sans possibilité intermédiaire, sans identification possible à lui non plus. J'y ai vu également une forme de métaphore du mépris de classe (mais aussi de l'articulation explicite d'un choix engageant le futur) macronien, ambigüe, car le personnage du vieux spectateur le déborde avec succès mais fort égoïstement par la droite. Yannick a bien un côté Gilet Jaune / François Ruffin et laisse deviner une forme d'homophobie et de xenophobie dans certaines répliques, ce qui est finalement une projection de Dupieux sur le réel politique, ou une interprétation - subjective- de celui-ci. Dans le fond le film déplore sur le même mode l'impossibilité d'être objectif et d'endosser une idéologie politique ou même un idéal moral.
Le problème est que ce constat est décrit sans point de vue, pas plus de la part du réalisateur que de ses personnages. Tout le film vise à amorcer un regard et un discours de justification morale, puis à les dénier aussitôt - les personnage sont à la fois dans la survie et l'ennui d'eux-mêmes (pas si loin du théâtre de Sartre en fait).
Peut-être qu'une mise en scène moins complaisamment formaliste (il n'y a pratiquement que des plans fixes, montés rapidement, alternant parfois beaucoup d'angles, mais souvent en champ/contrechamp, le seul mouvement de caméra est a mi-parcours et amorce le basculement de la violence vers Pio Marmaï) et moins référencées (les souvenirs des sketch des Inconnus, surtout le légendaire Fabienne Fiasco, sur le théâtre et de C'est arrivé près de Chez Vous dominent et étouffent un peu le film) auraient permis plus de franchise.

Sinon sur la musique du film : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Emahoy_ ... %C3%A8brou

Raphaël Quenard ne m'a ni impressionné ni semblé mauvais, mais c'est vraiment le même type de masculinité et de rapport à la parole que Bastien Bouillon dans la Nuit du 12, à la fois taciturne et solitaire et voyant le bien commun comme devant faire l'objet d'une expertise. Les modes et évolutions de la faveur médiatique sont plus marquées par un arrière-fond idéologiques dans le cas des acteurs que lorsqu'il s'agit des réalisateurs.

Il y a malgré cette "droitisation" une continuité avec ce que je connais du cinéma de Dupieux : le dialogue entre Pio Marmaï et Quenard rappelle la manière dont Eric et Ramzy s'embrouillaient sur l'ancien et le nouvel humour dans Steak, et la prise d'otage est filmée comme un rituel initiatique à base de questions-reponses, où la misanthropie est découverte en même temps qu'une forme de passivité fondamentale du réel dans le jeu des battes de base-ball (effectivement). Dans le Daim les jeunes et personnes plus vieilles étaient assassinés de manières différenciées (avec moins de sadisme pour les premiers, mais en installant ainsi un conflit entre génération au sein de la mort subie) et le personnage de Blanche Gardin rappelle celui d'Adèle Haenel (son expertise artistique lui permet d'être moralement neutre, mais aussi de rester intacte et désirable pour le mâle nihiliste et meurtruer)

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Sur un secrétaire, j'avise deux statuettes de chevaux : minuscules petites têtes sur des corps puissants et ballonés de percherons. Sont-ils africains ? Étrusques ?
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MessagePosté: 06 Aoû 2023, 22:27 
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Vieux-Gontrand a écrit:
J'ai trouvé cela assez déprimant. Pour moi c'est un film à thèse, construit autour de l'idée qu'après les attentats de 2015-2016, et le Bataclan en particulier, le rapport des Français à la culture, et la manière dont ils se positionnent comme public, ont changé
Non. Je vois même pas à quel moment tu peux trouver que cette thèse soit développée. Le film a un certain côté politique et social mais lier ça avec les attentats, pourquoi?


Vieux-Gontrand a écrit:
Raphaël Quenard ne m'a ni impressionné ni semblé mauvais, mais c'est vraiment le même type de masculinité et de rapport à la parole que Bastien Bouillon dans la Nuit du 12, à la fois taciturne et solitaire et voyant le bien commun comme devant faire l'objet d'une expertise.
Comprends pas ton "rapport à la parole". Surtout que sur le plan de la parole, Bouillon et Quenard sont vraiment des acteurs opposés. Quenard va être plus exubérant, Bouillon renfermé et leurs dialectiques sont opposées. Sinon Quenard est bon ici mais il est beaucoup moins impressionnant que dans Chiens de la casse ou Sur la branche. Je ne te dirais pas que je suis déçu, mais pour le film où il a LE rôle, j'en attendais un peu plus. Bon je chipote.


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MessagePosté: 06 Aoû 2023, 23:17 
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Abyssin a écrit:
Vieux-Gontrand a écrit:
J'ai trouvé cela assez déprimant. Pour moi c'est un film à thèse, construit autour de l'idée qu'après les attentats de 2015-2016, et le Bataclan en particulier, le rapport des Français à la culture, et la manière dont ils se positionnent comme public, ont changé
Non. Je vois même pas à quel moment tu peux trouver que cette thèse soit développée. Le film a un certain côté politique et social mais lier ça avec les attentats, pourquoi?




Ben quand-même c'est transparent : une prise d'otage dans un lieu de spectacle parisien, la BRI qui débarque à la fin, rappelant les images du 7 janvier, de plus pendant le Bataclan je crois que les terroristes avaient aussi par sadisme questionné certaines victimes avant de les abattre, ou désigné certains otages pour effectuer des négociations avec la police...
La situation rappelle également la prise d'otage du théâtre Doubrovka en 2002...
Les même scènes n'auraient pas eu la même résonance en 1999.

Mais surtout les personnages du public intègrent ce contexte dans leur attitude : s'ils ont peur, ils ne sont pas totalement surpris non plus, et prennent soin de ne pas contredire le personnage, de le maintenir dans la logique apparente qu'il veut instaurer par la force, ce qui est manière aussi de diminuer l'intimidation qu'ils subissent en forçant de leur côté aussi une relation avec le preneur d'otage. Ce paradoxe et leur passivité sont finalement des facteurs ancrant le film dans une forme de réalisme plus prononcée qu'à l'accoutumée chez Dupieux.

Ce n'est pas pour rien non plus que le seul spectateur qui se soustrait à la prise d'otage est un vieux qui évoque le notable RPR ou UDF hautain et jouisseur à la fois, symboliquement et culturellement rattaché au monde d'avant.

Par ailleurs le théâtre Déjazet où le film a été tourné est proche du Bataclan, il est à un trottoir du 11ème et du 10ème, et a l'air d'être historiquement moins lié au boulevard que que d'autres salles comme la Gaîté Montparnasse, la Michodière, le Théâtre Marigny ou les Bouffes Parisiens qui sont situées dans d'autres quartiers. Il propose apparemment plutôt du stand up et des concerts de chanson à texte, la salle était liée à la Fédération Anarchiste dans les années 80, d'où des concerts de Léo Ferré et Julos Beaucarne.

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MessagePosté: 07 Aoû 2023, 08:54 
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Vieux-Gontrand a écrit:
Par ailleurs le théâtre Déjazet où le film a été tourné est proche du Bataclan, il est à un trottoir du 11ème et du 10ème, et a l'air d'être historiquement moins lié au boulevard que que d'autres salles comme la Gaîté Montparnasse, la Michodière, le Théâtre Marigny ou les Bouffes Parisien


Le film se passe aux Bouffes Parisiens, il y a un plan de l'extérieur avec le nom du théâtre.

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MessagePosté: 07 Aoû 2023, 09:16 
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L'intérieur, les couloirs avec la statue et la salle ont l'air d'être malgré tout issus du Déjazet (les Bouffes Parisiens ont l'air d'avoir une salle en hémicycle, plus grande). Le Déjazet était sans doute plus difficile à filmer de l'extérieur car il est surélevé par rapport à la voirie.

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MessagePosté: 07 Aoû 2023, 09:51 
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Art Core a écrit:
Vieux-Gontrand a écrit:
Par ailleurs le théâtre Déjazet où le film a été tourné est proche du Bataclan, il est à un trottoir du 11ème et du 10ème, et a l'air d'être historiquement moins lié au boulevard que que d'autres salles comme la Gaîté Montparnasse, la Michodière, le Théâtre Marigny ou les Bouffes Parisien


Le film se passe aux Bouffes Parisiens, il y a un plan de l'extérieur avec le nom du théâtre.

Alors que sur l’affiche ils jouent au théâtre Hebertraux.


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MessagePosté: 07 Aoû 2023, 10:00 
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Sur la fausse affiche de la pièce tu veux dire ? Pas fait gaffe.

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MessagePosté: 07 Aoû 2023, 10:02 
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Art Core a écrit:
Sur la fausse affiche de la pièce tu veux dire ? Pas fait gaffe.

Oui sur l’affiche qui apparaît dans le film.


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