Forum de FilmDeCulte

Moi j'appelle ça un McGuffin. Et un heureux hasard de la nature.
Rien de mystique, rien de religieux, rien de divin.

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C'est quoi la différence ?

La taille. Et ça compte.


(Désolé, là, je peux pas faire mieux. j'ai pas envie de me jeter dans une bataille contre des moulins, non plus. Bon courage à Don Quichotte.).

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

En vrai cette conversation c'est un peu de la branlette nan?

Qu'on parle de création pour un etre robotique, je le concois, ce concept existe depuis la nuit des temps, en mode paien ou pas, Golem, Frankenstein, robots etc....

Mais la conscience, et les sentiments eux n'ont rien de divin, c'est évolutif, c'est une histoire de contexte, de hasard, d'un tas de trucs qui menent a ce machin.

Puis bon, "divin" pour parler de Wall-E me parait archi réducteur hein, que ce soit pour la complexité de l'humain/robhumain ou meme pour les légendes similaires qui precedent ce Dieu.

Mec qui traverse l'enfer pour sa meuf, c'est Orphée hein, un sale enculé d'humain poete qui se branle des dieux, badass comme wall-E et tout.

Apres ouais, dans Wall-E, t'as ce délire de terre promise et tout, le seul truc qui peut faire symbole biblique puisque ca parle de crucifixion la (nawak), mais c'est un theme pris et repris par tous les space-opéras quasiment.

Bref, l'amour c'est cool.

Et j'ai failli chialer genre 12 fois pendant les 45 premieres minutes de "Là-Haut"

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Bah c'est toi qui insiste sur le "A" majuscule au mot, comme si d'un coup ça transformait un simple sentiment en désir "d'harmonie, d'unité, donc Dieu".

Mais on va arrêter de parler vu que t'es un fou.

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lol, un heureux hasard de la nature... Donc encore une fois, antithèse du film politique, ou même de film couillu en quelque sens que ce soit. C'est archi-balisé, ça vaut plus pour les moments de poésie, qui sont isolés et inégaux. On en revient donc à ce que j'expliquais il y a quelques pages.

Pardon, hein, je fais que passer... Mais, euh... uh?

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

Euuuh si tu veux...


Moi je trouve pas ça inégal, mais soit.

Encore une fois, je ne conteste que les conneries style "mysticisme, Dieu, mes couilles, etc.", que tu adhères pas au film parce que tu le trouves trop classique, je m'en cogne.

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C'est cool.
Envole-toi.

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Ca va, Freak?

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

Espace branleurs

Il vous reste un peu de ce que vous prenez?

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Baptiste se florestantise.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Mon grand si tu savais réellement ce qu'il y a inconsciemment derrière l'amour je crois que tu te suiciderais.

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N'écoutez pas Film Freak

Bon sorry Baptiste et Izo mais je n’ai pas vu Wall E depuis le ciné donc j’en parle via mes souvenirs.
Déjà Baptiste le fait que ce soit un « hasard » ne prouve en rien la faible portée du film pour un objet de ce genre, mais alors je ne vois vraiment pas en quoi. Tu es du genre à ne rien aimer dès qu’il n’y a pas de coupables bien désignés dans un film… D’autant plus que les coupables sont clairement désignés, et la feuille qui sort de là c’est juste la nature qui combat, ça n’a rien de hasardeux… De plus, même si des connotations religieuses étaient présentes on serait plus dans une structure poétique du récit des mythes, donc plus du côté de la théologie, donc en aucun cas du côté lourd et pesant de la morale chrétienne, rien de tout ça dans le film, c’est difficile à nier étant donné que vous ne pouvez qu’avancer des suppositions, c’est une preuve en soit… Tout ça pour dire que même si cet aspect théologique était là je ne vois pas en quoi il serait un signe négatif à mettre au crédit du film.
Concernant Wall E et le fait qu’il traverse l’univers pas amour (ce qui reste à prouver étant donné que c’est un robot) ; comment relier ça à un conditionnement chrétien qui serait salvateur ? Ca me semble vraiment compliqué vu la structure du film qui écarte cet amour d’un système, qui écarte de l’aliénation à des codes précis ; cette séquence dans l’espace est un moment de digression poétique qui n’a rien à voir avec le mysticisme, c’est une envolée qui fait sortir de la rigidité aliénante qui se trouve dans le vaisseau… On est à l’opposé de quelque chose d’institué, bien au contraire, du coup je vois encore moins ce que dieu vient foutre là dedans… Dieu étant un guide spirituel absent ici étant donné l’aspect libre et créatif (qualité du film qui rend cette séquence belle par sa rupture, on sort vraiment de la rigidité, c’est une émancipation qui est liée au mouvement et non à l’amour) de cette danse. Preuve de plus qui est le départ du récit, l’amour est l’élément qui sort le robot de son travail à la chaine aliénant, il sort de son système, tout simplement, il sort de sa fonction primitive à lui… Du coup je ne vois vraiment pas ce qu’il vient faire là dieu, la simple présence d’une histoire d’amour dans l’espace ne prouve strictement rien, autant d’un point de vu concret que d’un point de vue strictement symbolique…




Oui enfin ceux qui prétendent savoir ça sortent souvent des assertions toutes faites pour définir quelque chose de tant complexe, des affirmations qui font le même effet que celles de sans nom… Je ne sais pas si c’est pour se rassurer ou se sentir supérieur, ou autre, mais généralement c’est le triste effet que ça fait.

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Oui parce que j'arrête là...j'ai maté un Spencer/Hill pour rester dans le même domaine de connerie.

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