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MessagePosté: 23 Juil 2013, 08:28 
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Mr Chow a écrit:
Même un film qui ne va pas très loin comme Dark City


OK........


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MessagePosté: 23 Juil 2013, 08:33 
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Je dis ça parce que c'est un film qui marche beaucoup par de gros éléments symboliques rapidement injectés aussi, avec une narration à marche forcée, et que là aussi ça se transforme souvent en show... Mais je trouve que ça marche mieux.


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MessagePosté: 23 Juil 2013, 08:41 
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Film Freak a écrit:
Citation:
Le matériau dramaturgique, humain, prend une tournure encore une fois un peu plus basique - et je l'entends vraiment au sens littéral, pas péjoratif : élémentaire, iconique, presque pop (ce qui se joue déjà dans le film de super-héros). Del Toro je l'ai pourtant toujours trouvé assez fort là-dedans. Les relations et personnages dans Hellboy étaient ultra-simples, résumables à quelques traits, mais touchaient aussi par-là à une certaine essence qui les faisaient irradier d'une aura primitive : amour paternel, amour romantique, camaraderie, répulsion phobique. Là ça me semble vraiment trop aride pour fonctionner : le trait de personnalité principal de la scientifique, c'est d'être asiatique. Y a des limites.

Il devrait y avoir des limites à la mauvaise foi aussi.
Tu néantises tout ce qui fait le perso de Mako et qui est le coeur du film, tu as dormi durant la scène de son souvenir d'enfance ou...?


C'est quand même pas ouf comme trauma, et même franchement prévisible. Difficile de voir en quoi ça donne de la profondeur à ce perso du coup (que j'ai trouvé par ailleurs très maladroitement interprété - termes gentils).

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MessagePosté: 23 Juil 2013, 08:45 
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Rinko elle a eu la chance d'avoir une nomination aux oscars, mais sinon...


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MessagePosté: 23 Juil 2013, 08:56 
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Alors là, rien à branler ! Comme si ça prouvait quoi que ce soit.

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MessagePosté: 23 Juil 2013, 08:58 
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Pour mener une carrière US / internationale par rapport à toutes les autres actrices japonaises oui


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MessagePosté: 23 Juil 2013, 08:59 
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Tom a écrit:
La plupart des scènes, volontairement illisibles


N'importe quoi.
J'ai pas lu le reste, tu sembles prendre le film totalement à l'envers, n'y ayant visiblement rien compris (et pourtant c'est pas compliqué).

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MessagePosté: 23 Juil 2013, 09:00 
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Mr Chow a écrit:
Pour mener une carrière US / internationale par rapport à toutes les autres actrices japonaises oui


Mais quel rapport avec ce que je dis ?

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MessagePosté: 23 Juil 2013, 09:05 
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Tu dis qu'elle interprète maladroitement son personnage, j'ajoute juste que je trouve que de toute façon c'est une actrice moyenne qui bénéficie dans tous les castings internationaux directs de la présélection de sa nomination à l'oscar (ou alors tu parlais de l'actrice qui la joue gamine et j'ai rien compris?). Pas de quoi t'énerver :o


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MessagePosté: 23 Juil 2013, 09:08 
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Ah, ok...

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MessagePosté: 23 Juil 2013, 09:12 
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David Swinton a écrit:
Film Freak a écrit:
Tu néantises tout ce qui fait le perso de Mako et qui est le coeur du film, tu as dormi durant la scène de son souvenir d'enfance ou...?


Pas moi en tout cas. J'ai trouvé que c'était la meilleure scène du film. Mais ça ne suffit malheureusement pas. Ppourquoi on exploite ce trauma de Mako dans la première partie du film, et qu'ensuite on l'évacue comme si ça n'avait même pas été mentionné. Par exemple, on ne sait même pas comment Mako surmonte son trauma.

Je suis assez d'accord. On nous dit que c'est trop dangereux de confier Gypsy Danger à ce duo, mais une fois qu'ils montent dedans à la fin, tout se passe très bien. On pouvait s'attendre à un beau moment de partage en couille, où le drift se brise une fois de plus, et où les personnages sont obligés de surmonter le trauma, de résoudre un truc qui aurait été implanté avant, pour sauver la situation, mais ça se résume globalement à du fight classique. C'est dommage qu'une idée aussi féconde n'ait pas été exploitée jusqu'au bout.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste
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MessagePosté: 23 Juil 2013, 09:32 
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Art Core a écrit:
Citation:
La plupart des scènes, volontairement illisibles
N'importe quoi.

La moitié des scènes d'action se passent de nuit, dans le noir, sous la pluie, en plans rapprochés, avec une série d'éclairs intermittents, et il y aurait une volonté de lisibilité ? La confusion des éléments qui composent le combat a quand même l'air d'être un des aspects recherchés - après, pour en faire quoi, on peut en discuter.

Art Core a écrit:
J'ai pas lu le reste, tu sembles prendre le film totalement à l'envers, n'y ayant visiblement rien compris (et pourtant c'est pas compliqué).

Élégant. Messieurs, à 20 ans passés, il serait sympathique d'arrêter de croire que quand on aime pas un film, on insulte votre mère.

Film Freak a écrit:
Là, sur ce point, je pense vraiment que tu te méprends complètement.
Tu es en train de tomber dans le piège du mec qui va voir chaque film avec sa petite grille de pensée prête-à-appliquer même si ça colle pas.
Juge l’individualité, un hommage sincère au genre, n'essaie pas de l'intellectualiser vulgairement dans un courant...

Mes quatre dernières séances de ciné ayant été des blockbusters avec autant de points communs, ça influe évidemment sur la vision. J'arrive donc certes avec des choses en tête (comme vous tous, au passage : tu n'es pas venu avec un amour assuré pour Del Toro et la conscience de son rapport au genre, pour ta part ?), même si pour le coup, avec le souvenir ravi d'Hellboy dans le sac, je pensais pas du tout que ça ressemblerait à ça.

Mais enfin à un moment les sensations face au film je les sors pas non plus d'un chapeau magique. Le sentiment de mixer, tu crois que je l'invente pour le plaisir ? J'ai eu l'impression de me faire agresser par l'image et les baffles d'un bout à l'autre de la séance, et y étant allé accompagné de plusieurs personnes (ayant diversement apprécié le film), je peux t'assurer que sur ce point j'étais pas le seul. Je n'ai jamais "pris mon pied", je n'ai jamais eu le sentiment d'un film ample qui me donne de l'air et de l'élan pour partager ses envies de démesure : globalement, je n'ai fait que le subir.

Film Freak a écrit:
Il devrait y avoir des limites à la mauvaise foi aussi.
Tu néantises tout ce qui fait le perso de Mako et qui est le coeur du film, tu as dormi durant la scène de son souvenir d'enfance ou...?
Film Freak a écrit:
C'est pourtant ce que raconte tout le film : collaborons pour surmonter la tragédie. Ca s'articule même jusque dans les persos des scientifiques.
Partageons nos traumas, LITTÉRALEMENT (via le Drift), pour les vaincre.
Chaque "orphelin" retrouve un binôme.

On arrive là à un désaccord de fond, je pense, qui dépasse ce film. C'est à dire une manière qu'on certains réals de poser la thématique sur la table, bien en évidence, bien délimitée et identifiée, comme un sage sujet de dissert, d'en faire discuter explicitement les personnages, de le surligner manière stabylo en trois/quatre scènes uniquement dédiées à la question, et d'en sortir avec l'impression d'avoir traité son objet. Et le spectateur peut aller récupérer le tout, prêt en main. Cette façon (qui me gênait dès les premiers films de super-héros) ne me convainc pas. Pour prendre un élément de comparaison qui peut-être t'agace également, c'est un peu pour moi comme quand Djoumi repère ses éléments mythologiques méticuleusement dispatchés dans un film, et en déduis que le film est réussi.

Car certes le film travaille ce sujet, mais, sans vouloir faire dans l'aphorisme à deux balles, où est-ce que ce sujet travaille le film ? Où est-ce que ça influe réellement ? Qu'est-ce qui, dans le regard, la façon de mettre en scène les combats, pose comme enjeu central le trauma de l'héroïne (qui n'est l'affaire que d'une scène, celle qui encadre le trauma en question), ou le fonctionnement en binôme (passé l'ouverture) ? Je ne vois rien : une réplique appuyée par là, un tuyau d'oxygène qu'on branche, un plan de deux personnages qui font le même mouvement dans leur cockpit... Du saupoudrage au milieu d'un déchaînement intéressé par autre chose. Je réfute l'idée que le film parle de ça.

La scène de Mako ressort évidemment, aussi parce qu'elle a enfin une configuration différente (vu du sol, avec la victime, le détail de la chaussure...). Mais je la vois vraiment arriver avec sa pancarte "séquence-trauma pour donner de la profondeur à l'héroïne", et ça ne suffit pas pour m'impliquer.


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MessagePosté: 23 Juil 2013, 10:03 
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Localisation: In the Oniric Quest of the Unknown Kadath
Tom a écrit:
Art Core a écrit:
J'ai pas lu le reste, tu sembles prendre le film totalement à l'envers, n'y ayant visiblement rien compris (et pourtant c'est pas compliqué).

Élégant. Messieurs, à 20 ans passés, il serait sympathique d'arrêter de croire que quand on aime pas un film, on insulte votre mère.


Non mais tu commences ta critique par reprocher au film son absence d'humain, la relégation du figurant "à un abri bien théorique" (même pas certain de voir ce que tu veux dire). Déjà dès les prémisses tu n'y es pas, tu prends le film à l'envers.
Pourtant le projet du film ne se "comprend" pas, il se ressent. C'est du pur post-modernisme poussé dans ses retranchements. Si tu n'as pas pris ton pied devant le film c'est juste qu'il n'est pas pour toi. Je ne dis pas que tu n'as pas le droit d'en chercher les raisons et de lui reprocher mais du coup tout ça ressemble plus à un procès d'intention lambda à n'importe quel blockbuster qu'à celui là en particulier. On pourrait prendre ton texte et l'appliquer tel quel à Transformers ce serait presque pareil.

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MessagePosté: 23 Juil 2013, 10:31 
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Je voulais revenir sur les comparaisons avec Michael Bay lues un peu partout (pas spécialement ici). Très sincèrement, je ne vois pas comment on peut adorer Pacific Rim tout en détestant Transformers 3. C'est quelque chose qui m'échappe totalement. Les grands adorateurs de Pacific Rim le sont surtout pour les scènes d'action, certes très réussies, mais pas plus à mon avis que la dernière heure de Transformers, qui, dans un tout autre style, tape très fort aussi. La différence est que Del Toro semble vouloir composer des tableaux (c'est le cas du superbe affrontement de Hong-Kong, dont je garde en mémoire essentiellement des instantanés du combat, et que je trouverais presque tout aussi élégant s'il n'était qu'une série de photos), tandis que Bay lui cherche plutôt à exprimer un mouvement. Ca se ressent au niveau des monstres d'ailleurs, assez statiques, lourds et peu véloces dans Pacific Rim, presque hystériques dans Transformers 3 (le robot-foreuse, idée géniale). D'une certaine manière, je trouve Del Toro très bon pour le contenu, et Bay très bon pour le contenant.

Les scènes d'action n'offrent donc pas la même chose mais je pense que toute personne qui vibre devant la scène d'action de Hong-Kong devrait vibrer devant la destruction finale de Transformers 3. Bref, j'ai du mal à voir autre chose qu'une posture intellectuelle dans cette défense aveugle du génie Del Toro au détriment du trisomique Bay. Les thématiques, la direction artistique, ces choses qui à mon sens ne participent pas tellement au pur plaisir cinématographique et qui comblent plutôt une satisfaction intellectuelle, ne suffisent pas selon moi à les opposer radicalement. Il y a aussi cette volonté de "retour à l'enfance", dont on nous parlait plusieurs mois déjà avant la sortie du film, comme si le fait de filmer des robots contre des monstres impliquait nécessairement un retour à l'enfance, comme si l'enfance était quelque chose d'aussi simple, comme si l'enfance était pure et idéale, c'est une enfance fantasmée pour moi (un gosse va adorer les robots de Pacific Rim, mais il aimera tout autant ceux de Transformers ; il se foutra du trauma de Pacific Rim ; il aimera les blagues bouffonnes de Transformers ; il préfèrera le personnage gogol de Shia Lebeouf aux personnages sérieux de Pacific Rim), bref assez artificiel.

L'opposition de Del Toro et Bay me semble donc franchement stérile et tient donc pour moi d'une position idéologique. On est plus dans le cinéma, on est dans la défense de la bonne éducation, des bonnes manières et de la bonne culture face à la bétise, au patriotisme, à l'hypersexualisation, à la violence, etc, alors que ces deux cinémas sont pourtant les deux versants d'une même pièce. Ils ont été financés, réalisés et vendus par les mêmes personnes (pas littéralement, c'est pour l'image), et visent un public globalement assez proche. Il n'y a aucune opposition manifeste entre ces deux cinéma. Tout ceci m'agace un peu donc, j'ai l'impression qu'il suffit de soigner la direction artistique, d'ajouter des thématiques ou du méta (même si pour ça ça concerne plutôt JJ Abrams) pour s'attirer les faveurs de la critique qui s'acharne sur Bay. Rien à voir avec Del Toro qui a sûrement fait son film avec les meilleures intentions du monde, le problème est vraiment dans la tête de certains critiques et spectateurs.

[Sinon, j'ai vraiment bien aimé le film, y compris les moments "émotion" qui ne m'ont pas franchement touché mais que j'ai trouvé assez mignons. Mais je ne m'en souviens déjà plus trop aujourd'hui, une semaine seulement après la vision du film. J'ai trouvé la direction artistique très jolie et les idées thématiques intéressantes, mais pas suffisamment profondes pour m'intéresser réellement et pour voir dans le film autre chose qu'un très bon film d'action, souvent impressionnant. Sans les scènes d'action, j'aurais trouvé le film vain, froid et trop cérébral, comme pour ses précédents films que je n'apprécie pas.]


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MessagePosté: 23 Juil 2013, 10:50 
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Marlo a écrit:
Je voulais revenir sur les comparaisons avec Michael Bay lues un peu partout (pas spécialement ici). Très sincèrement, je ne vois pas comment on peut adorer Pacific Rim tout en détestant Transformers 3. C'est quelque chose qui m'échappe totalement. Les grands adorateurs de Pacific Rim le sont surtout pour les scènes d'action, certes très réussies, mais pas plus à mon avis que la dernière heure de Transformers, qui, dans un tout autre style, tape très fort aussi.


Je ne crois pas une seconde aux robots de Transformer qui se déplacent sans réel poids. J'en ai rien à battre des humains dans Transformers parce qu'ils sont pour la plupart esquissé en quelques traits.
Pacific Rim ne propose pas des Robots mais des humains dans des machines de guerre qui ont une vraie présence physique à l"écran, un poids qui fait trembler le sol et l'écran et des comportements tellement humains qu'on peut presque s'identifier à eux. Et les caractères me semblent mieux esquissé que dans Transformers.
Je dit ça, je n'ai vu que le premier et pas tenu au delà des 5 premières minutes du 2, donc, peut-être que je me trompe, mais pour moi les Transformers sont de jolies coquilles vides, pas PR.


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