Forum de FilmDeCulte

Ah ?

Marrant, dans en aparté j'ai revu la scène où le grand père dit à la petite fille qu'elle n'est pas une "loser", et ça m'a remémoré le film et à quel point j'avais aimé, en fait...Alan Arkin est génial

Cette scène est une tuerie. Cette petite qui pleure de manière terriblement naturelle, (undakota style), en demandant "am I pretty ?", moi ça me brise d'un coup.

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Ben moi j'ai presque chialé devant ma télé...

Alors elle est dispo sur Allociné pour ceux qui veulent se faire du mal.

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Oui, c'est vrai, pour le coup cette scène est vraiment prodigieuse, d'habitude les gamins aux USA ont un jeu un peu trop adulte (on sent les coachs...) mais là dans ce film, chapeau.
Comment y arrivent-ils d'ailleurs ? Dans quelle mesure le jeu est "travaillé" par la petite fille ? En France, souvent le jeu des enfants sonne faux. Il me semble.

Le problème en France vient souvent des dialogues, trop compliqués ou trop élaborés.
Après il a quand même une part de naturel importante. Je me rappelle que la petite du film avec "Girafe" dedans, je ne sais plus, avec Claude Rich, avait des moments de grâce, par exemple.

Pour ce qui est de diriger les gamins, ça dépend beaucoup... de leur maturité...
Il y a un truc à ce sujet je crois dans le making-of de The Hours, avec le fils du personnage de Julianne Moore qui doit pleurer, et à qui Daldry (qui vient du théâtre et dont la direction d'acteurs est peut-être le point fort) racontait quelque chose qui n'avait rien à voir avec l'action, je ne sais plus quoi précisément, mais quelque chose de plus simple qui serait à même d'émouvoir le petit de manière sincère et directe. C'est un moment "volé".
C'est vrai que ce genre de démarche peut paraître un peu cruelle vis-à-vis d'un enfant mais en fait non, je ne crois pas...

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Oui mais en même temps, s'ils sont trop matures, alors leur jeu ne fait plus du tout enfant (cf. Dakota machin)... Et s'ils ne le sont pas assez, ils jouent de façon peut-être moins naturelle...


Je l'ai, je regarderai!



C'est peut-être une solution, en effet, il faudrait quand même se poser la question des éventuels traumatismes que ça peut engendrer ...

- ta mère est morte, petit
- ouinnnnnnn
- coupez ! non rassure-toi, gamin, c'était une blague, tiens un bonbon

héhé ça me rappelle l'épisode de Friends avec Joey qui joue un mourant et un gamin qui doit pleurer et n'y arrive pas...

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Janet

Exactement ce que j'en attendais donc pas de grande surprise même si je n'aurai rien à reprocher au film, si ce n'est quelques passages un peu trop démonstratifs, trop écrits, dans le propos et une mise en scène plus à l'aise dans la compo de cadres fixes que dans le filmage à l'épaule.
Au-delà de ça, malgré tout ce que ça comporte de stéréotypes et d'archétypes du cinéma indépendant, ça reste ce qu'il a à nous offrir de meilleur. Big up également aux acteurs, notamment Steve Carrell et bien entendu Abigail Breslin, qui était déjà la gamine que je rêvais d'avoir dans Signs.

4/6

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UBERLINKS toujours dispo sur OCS et MyCanal!

Entre ca et ta signature ca peut paraitre douteux...

pareil à bercy...

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La BO de Michael Andrews pour toi, moi... est excellente...Un vrai trip perso, j'ai acheté le cd dès la sortie de la salle...Alors que je n'aime pas trop le film.

c'est vraiment un très beau film. J'aime beaucoup cette idée qu'il y a quelque chose d'autres que le rêve américain.

C'est une belle gallerie de personnages interprétés par des acteurs remarquables. La petite fille est impressionante.

Quant à Steve Carrel, ce grand monsieur qui surprend de jours en jours, il fait une belle performance, à mille lieux de The Office.

Très joli film.

5/6

Je l'ai pris exactement comme toi... Je ne vois pas de pervers là dedans qui s'exstasie devant le strip d'une petite de 7 ans, juste un gars qui voit un de ses "rêves" se réaliser, foutre le bordel à cette putain d'élection. D'ailleurs il ne se lève pas pendant la représentation d'Olive en même temps que ses parents, mais à la fin une fois que ces derniers ont foutu le bordel. Ce n'est donc clairement pas la performance en elle même qu'il applaudi, mais le bordel embiant qu'elle a engendré.

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