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MessagePosté: 16 Sep 2006, 11:36 
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Blissfully a écrit:
Le Pingouin a écrit:
Tu as reconnu notre amie?


En fait j'ai somnolé juste avant, quelques minutes, j'ouvre totalement les yeux et elle est là. ENORME. J'étais pas au courant.

Le Pingouin a écrit:
On la voie dans la BA déjà,c'est énorme!


Oui j'ai vu ça après...bah elle joue mieux que les autres Isabelle Bouysse à la manque.


tu lui diras!


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MessagePosté: 18 Sep 2006, 11:54 
Blissfully a écrit:
Et au final ça n'est jamais chiant puisque tant de connerie est assez divertissant.

Oui, enfin, Brisseau n'a pas peur du grotesque, donc forcément, ça passe ou ca casse, mais je trouve que parler de "connerie" est un peu abusé.


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MessagePosté: 18 Sep 2006, 12:04 
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Bob Harris a écrit:
Blissfully a écrit:
Et au final ça n'est jamais chiant puisque tant de connerie est assez divertissant.

Oui, enfin, Brisseau n'a pas peur du grotesque, donc forcément, ça passe ou ca casse, mais je trouve que parler de "connerie" est un peu abusé.


Enfin tout de même... Le personnage de Brisseau dans le film! Tellement d'egocentrisme, c'est insupportable.


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MessagePosté: 18 Sep 2006, 13:02 
Noony a écrit:
Enfin tout de même... Le personnage de Brisseau dans le film! Tellement d'egocentrisme, c'est insupportable.

Ce n'est pas Brisseau (le perso s'appelle François, hein), mais on peut dire que c'est sa propre version fantasmée de lui-même, oui. :mrgreen:


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MessagePosté: 18 Sep 2006, 13:15 
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Bob Harris a écrit:
Noony a écrit:
Enfin tout de même... Le personnage de Brisseau dans le film! Tellement d'egocentrisme, c'est insupportable.

Ce n'est pas Brisseau (le perso s'appelle François, hein), mais on peut dire que c'est sa propre version fantasmée de lui-même, oui. :mrgreen:


C'est la propre voix de Brisseau qui fait sa voix off, il se sappe comme lui, il tourne le même film... Et le mec devient un gourou du sexe, parvenant même à séduire les êtres divins envoyés sur terre pour le punir!


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MessagePosté: 18 Sep 2006, 13:28 
Noony a écrit:
Et le mec devient un gourou du sexe, parvenant même à séduire les êtres divins envoyés sur terre pour le punir!

Qui ne rêverait pas de faire ça? :lol:

Comme je suis au boulot et que je suis flemmard, je remets la critique de chronic'art, qui pour une fois, exprime parfaitement ce que je pense du film :

"C'est assez rare de voir un cinéaste à ce point en phase avec son désir, qui ne cherche ni l'épate, ni la séduction, ni l'intelligence, ni le "vouloir dire" (il "dit", tout simplement, sans ce "vouloir" qui plombe jusqu'aux films les plus réussis). Un cinéaste qui filme son âme comme le fait Brisseau, c'est une denrée rare. D'où aussi une réelle naïveté dans le film, même si certain ont tiqué sur le fait que Brisseau s'y livre à une défense et illustration de lui-même relative à "l'affaire" qui a défrayé la chronique il y a peu (Brisseau est le narrateur off, il nous raconte les dessous, fantasmés ou réels, de l'histoire), et qu'en un sens il se dédouane en ne se reprochant que sa "naïveté". Personnellement je m'en fiche, cet aspect là ne m'intéresse pas. Ce qui reste, c'est un film lumineux, jamais dépressif, mais tragique dans lequel les personnages livrent leur être au monde au point de jouer avec le diable et le bon dieu. Il y a une façon très simple chez Brisseau de filmer la transcendance, à la faveur d'un cadre, d'une lumière, d'une alternance entre le hors champ (une magnifique et très hitchcockienne scène de masturbation féminine dans un restaurant) et la visibilité (certaines scènes de sexe sont très frontales). Doit-on reprocher à Brisseau de dresser une sorte d'équivalence (en tout cas chez son personnage) entre l'acte de voir et l'acte de jouer ? Est-ce que le regardant se met tout autant à nu que le regardé ? Pas sûr, mais Brisseau pose la question assez finement à travers le regard de son alter ego et celui de ses héroïnes. Au fond, Brisseau ne juge rien, du moins il m'a semblé, pas même celles qui chercheront à se venger. Il les regarde comme son héros, absolument bouleversé de leur tragique être au monde. Brisseau n'est définitivement pas un cinéaste de la perversion, il voit de la pureté partout jusque dans le pire. La candeur, à l'instar de Southland tales, est la vertu cardinale de ce film et de son héros dont sa grand-mère dit qu'il est un curieux mélange d'intelligence et de sottise."

http://www.chronicart.com/cine/cine_ens ... 3?id=10111


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MessagePosté: 18 Sep 2006, 14:28 
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Antichrist
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Chronic'art comme site de vendu, ça se pose là, aussi... Bon, je vais essyaer d'y aller me faire un avis.


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MessagePosté: 18 Sep 2006, 14:41 
Karloff a écrit:
Chronic'art comme site de vendu, ça se pose là, aussi...

Malgré une certaine pose (parfois irritante dans quelques textes), ils sont beaucoup moins vendus qu'on ne l'imagine... En tout cas, pas plus que nous tous. Tessé ou Malausa n'ont pas écrit que des conneries.

Et je crois pas trop que le Brisseau te plaira.


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MessagePosté: 18 Sep 2006, 15:19 
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Antichrist
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n tout cas, pas plus que nous tous.


si si , je t'assure, de loin les plus prévisibles de tout le net.


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MessagePosté: 18 Sep 2006, 19:37 
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C'est tellement mauvais que je n'ai pas tenu jusqu'à la fin...

La scène où la nana lui parle de son mémoire et l'autre il a les livres juste à côté, c'est impardonnable...

Dialogues ineptes, mise en scène anodines, actrices nulles, acteur terriblement inexpressif...

Et Brisseau peut hurler que son film n'a rien à voir, le trip "toi tu nous écoutes tu es différent", ça sent le palluchage atroce...Les actrices "sont toutes des putes pour un rôle", et autres clichés nases...

Faut mieux faire un porno, c'est moins hypocrite et ça se donne moins de mal...


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MessagePosté: 18 Sep 2006, 19:47 
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Matou miteux
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Bob Harris a écrit:
Oui, enfin, Brisseau n'a pas peur du grotesque, donc forcément, ça passe ou ca casse, mais je trouve que parler de "connerie" est un peu abusé.


Je vois mal comment qualifier autrement les dialogues par exemple. Je suis pas venu pour me foutre de la gueule du film *surtout tout seul comme un couillon* mais certaines répliques m'ont donné envie de me cacher derrière mes mains. C'est peut-être ça la candeur...ça m'a rappelé (humblement) des dialogues écrits avec une copine il y a des années mais c'était sur un ton parodique. Là la magie, c'est que quand la mauvaise actrice (ça n'arrange rien) sort des "tu viens on va dans un club sexy j'ai envie d'me dévergonder", c'est du premier degré (c'est pas la scène de strip qui elle, a un peu d'humour pour le coup - enfin je crois).

Ensuite il y a la démonstration d'angélisme autour du réalisateur, la lourdeur de tout ça quand les trois actrices se retrouvent face à lui dans un square à la fin - encore une fois, c'est pas pour faire le cynique malin mais la façon dont c'est amené m'a fait penser à un épisode de mauvaise sitcom avec Thierry Redler qui se fait sermonner par trois filles d'à côté en rang d'oignons. C'est peut-être le manque de moyens qui fait que euh...bah je sais pas.

Je trouve Brisseau très intéressant à écouter, comme chez Daphné l'autre jour. Mais ça reste vraiment de l'intention.

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MessagePosté: 18 Sep 2006, 20:36 
Je suis un peu surpris que tu parles uniquement (enfin presque...) de premier degré. Même s'il ne s'agit pas d'une parodie, le film sait souvent se moquer de lui-même. Parce qu'en jouant à fond l'incongruité des situations, en ne donnant pas de réponses précises sur les motivations des personnages, Brisseau réalise un film ouvertement ambigu, et se met constamment en danger, parce qu'il filme avec une sincérité désarmante, sans chercher à savoir précisément ce qu'il veut exprimer. Il est obsédé par le mystère du plaisir féminin comme si c'était une énigme insoluble. C'est évidemment pour cela que le film est toujours proche du grotesque, mais c'est ce qui le rend si beau. Brisseau est tout de même loin d'être con pour se rendre compte si c'est ridicule ou pas. Il n'a pas l'ambition de faire un film qui afficherait sa supériorité intellectuelle, car selon lui, il y a de la vérité dans le ridicule. Et c'est cela que Brisseau parvient si bien à filmer. Je sais pas si tu as vu Noce Blanche , mais la relation entre Cremer et Paradis est aussi "vraie" qu'elle peut sembler "ridicule" avec toutes ces situations improbables. C'est bien facile de ne s'arrêter que sur l'aspect ridicule des films de Brisseau, c'est comme si on ne voulait pas essayer d'entrer dans son cinéma. Dans tous ses films, on retrouve cette même puissance qui ne semble pas "contrôlée". Comme si faire un film était un besoin urgent.

Pour te donner un exemple, la scène du casting, au-dela de sa cocasserie, est plus profonde que ça : parce que chaque femme a un comportement différent. On ne sait pas ce qu'elles veulent. Où se situe la frontière entre vouloir jouer un rôle et vouloir jouir?

Quand Kubrick filme Tom Cruise en train d'imaginer sa femme se taper un officier naval, personne n'ose dire que c'est ridicule parce que c'est Kubrick.... Je n'ai pas vu Choses secrètes, mais il paraît que les Cahiers y ont trouvé un rapprochement avec Eyes Wide Shut, et ça ne m'étonne pas tellement.

Merde, y a quand même mille fois plus d'audace et de culot dans "Les anges exterminateurs" que dans 95% de la production cinématographique en France, et vous mettez 0/6. Ca me déprime un peu, oui.


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MessagePosté: 18 Sep 2006, 21:10 
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Matou miteux
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Localisation: From a little shell, at the bottom of the sea
Bob Harris a écrit:
Je suis un peu surpris que tu parles uniquement (enfin presque...) de premier degré.


Ben tout simplement les dialogues dont je parle (et c'est une grosse partie de ce qui fait le film) me semblent pas à prendre au 3e degré, et la scène dont je parle non plus...


Bob Harris a écrit:
Même s'il ne s'agit pas d'une parodie, le film sait souvent se moquer de lui-même. Parce qu'en jouant à fond l'incongruité des situations, en ne donnant pas de réponses précises sur les motivations des personnages, Brisseau réalise un film ouvertement ambigu, et se met constamment en danger, parce qu'il filme avec une sincérité désarmante, sans chercher à savoir précisément ce qu'il veut exprimer. Il est obsédé par le mystère féminin comme si c'était une énigme insoluble.


Oui mais c'est un peu vain du coup non? Pour moi à la fin le film ne débouche que sur son affaire à lui, le topo sur le mystère du désir féminin ça me passe au-dessus de ma petite tête dans ces conditions - surtout quand on te sort des énormités sur "on est toutes des putes" avec des dialogues de série rose...elle a vilaine allure l'exploration du désir féminin.


Bob Harris a écrit:
C'est évidemment pour cela que le film est toujours proche du grotesque, mais c'est ce qui le rend si beau. Brisseau est tout de même loin d'être con pour se rendre compte si c'est ridicule ou pas.


Bah écoute...je trouve les 2/3 des dialogues ridicules, et pareil pour pas mal de situations (mais pour moi tout est gangrené, même la musique de certaines séquences façon compositions du beau frère de Candeloro pour ses programmes est horrible à mes oreilles). Je dis pas que Brisseau est trop con pour s'en rendre compte, je dis juste que je trouve plein de choses très cons. Et puis Brisseau essaie de faire plus ou moins avaler la pilule du truc qui n'a rien ou presque à voir avec lui donc bon, je ne sais pas s'il y a lucidité sur ces choses là, bonne foi ou non.

Bob Harris a écrit:
Il n'a pas l'ambition de faire un film qui afficherait sa supériorité intellectuelle, car selon lui, il y a de la vérité dans le ridicule. Et c'est cela que Brisseau parvient si bien à filmer. Je sais pas si tu as vu Noce Blanche , mais la relation entre Cremer et Paradis est aussi "vraie" qu'elle peut sembler "ridicule" avec toutes ces situations improbables.


Je m'en souviens plus du tout malheureusement...

Bob Harris a écrit:
C'est bien facile de ne s'arrêter que sur l'aspect ridicule des films de Brisseau, c'est comme si on ne voulait pas essayer d'entrer dans son cinéma.


Je trouve ça un peu facile. Trouver le film ridicule, c'est pas seulement refuser d'entrer dans son cinéma. Ca fait un peu excuse cheap. Pour moi c'est juste une barrière trop haute, et je n'ai rien contre les cinéastes qui flirtent avec le grotesque. La nana qui appelle le réal bourrée en disant qu'elle est dans un camion avec des mecs qui l'ont ramassée...l'exécution de tout ça est trop énorme, je peux pas passer par dessus. :!:

Bob Harris a écrit:
Pour te donner un exemple, la scène du casting, au-dela de sa cocasserie, est plus profonde que ça : parce que chaque femme a un comportement différent. On ne sait pas ce qu'elles veulent.


Mais elle est complètement anodine cette scène non? Le casting avec les différentes nanas qui disent 3 mots, ça a tant de sens que ça?

Bob Harris a écrit:
Où se situe la frontière entre vouloir jouer un rôle et vouloir jouir?


Bui...

Bob Harris a écrit:
Quand Kubrick filme Tom Cruise en train d'imaginer sa femme se taper un officier naval, personne n'ose dire que c'est ridicule parce que c'est Kubrick....


Moi je vois les choses assez simplement, on a des images de fantasme cliché avec Kidman et un marin, vu par son mari, avec une mise en scène qui correspond au cliché de la chose. C'est pas ça tout le long du film et je vois pas bien le rapport avec le Brisseau...et si je trouve ça ridicule, je le dirai.

Bob Harris a écrit:
Merde, y a quand même mille fois plus d'audace et de culot dans "Les anges exterminateurs" que dans 95% de la production cinématographique en France, et vous mettez 0/6. Ca me déprime un peu, oui.


Ben plus d'audace et de culot que chez Les Bronzés 3 à qui je mets 0/6 également, oui. Mais ça n'empêche pas à mes yeux d'être un des trucs les plus navrants que j'ai vu au ciné cette année. Le fond méga maladroit, les dialogues de fou, les actrices ignobles et la mise en scène fantôme, ça pèse plus lourd que des intentions que, comme dit plus haut, je trouve plus intéressantes que le résultat...

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MessagePosté: 18 Sep 2006, 21:19 
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Antichrist
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Citation:
Quand Kubrick filme Tom Cruise en train d'imaginer sa femme se taper un officier naval, personne n'ose dire que c'est ridicule parce que c'est Kubrick....


Ah si si... je pense même que Kubrick vivant n'aurait pas laissé passer une telle scène au montage.


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MessagePosté: 18 Sep 2006, 21:42 
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Bob Harris a écrit:
Brisseau réalise un film ouvertement ambigu, et se met constamment en danger, parce qu'il filme avec une sincérité désarmante, sans chercher à savoir précisément ce qu'il veut exprimer.


Ce qui est un comble tu en conviendras.

Citation:
C'est évidemment pour cela que le film est toujours proche du grotesque, mais c'est ce qui le rend si beau.


En quoi?

Je suis désolé Bob, mais je comprends pas. Les scènes objectivement pourries au niveau de la mise en scène, de l'écriture et de l'acting, comment ça peut être beau?


Citation:
Merde, y a quand même mille fois plus d'audace et de culot dans "Les anges exterminateurs" que dans 95% de la production cinématographique en France


D'une, c'est faux (ce serait nier toute la production expérimentale).

De deux, quand bien même le film serait audacieux et culotté (je le trouve personnellement nombriliste et moche), et comme le dit Bliss, il est très loin d'être à la hauteur de ses ambitions. A tous les moments de la discussion, tu parles des ambitions de Brisseau. On parle de film là, pas de dossier de presse. Ce qui est à l'écran est assez affligeant.


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