Chaud
Prix spéciaux(pour les citer, même s'ils ne font pas le top)
Prix Meilleure comédie : OSS 117, Le Caire nid d´espions (le film dont je connais les répliques par coeur)
Prix Meilleure Trilogie : Lord of the Ring (dans une décennie de trilogie, c'est un beau prix)
Prix Meilleur film de guerre : La Chute du faucon noir (Ridley Scott fait rentrer le film de guerre dans le nouveau siècle)
Prix Comédie Romantique de la décennie : High fidelity (Oui, à choisir entre toutes, je garde John et ses états d'âme face caméra)
Prix Feel-good movie de la décennie : Wonder Boys (Parce que chaque hivers, je me refais ce film, impossible de pas le citer)
Prix Film d’action de la décennie : Bourne Trilogie, spécialement le premier, signé Doug Liman (Parce qu'en sortant du premier, je me suis dit "voilà, c'est le die hard de la décennie, le modèle d'action"), j'avais pas totalement tort, tant les autres films d'actions se sont nourris de Bourne. Mais Matt Damon n'a pas trouvé son égal. Le premier est peut-être le film que j'ai le plus vu de la décennie.
Les 20 films de la décennie(ordre peu défini, en fait, et oui, y en a 24, et j'vous emmerde, je fais ce que je veux)
Million Dollar Baby (Eastwood, 2004)
Le meilleur Eastwood de la décennie, et mon second préféré du réalisateur.
The Hours (Daldry, 2003)
Le torrent de larmes pour une oeuvre qui m'a retourné, et me retourne encore.
L'Etrange histoire de Benjamin Button/Zodiac/Panic room (Fincher, 2009/2007/2002)
Trois films, l'un clôt une époque, les deux autres sont les fers de lance d'un cinéaste devenu plus intimiste, plus personnel, a pris le temps pour faire évoluer son cinéma. Trois films qui me font encore plus admirer l'auteur.
Batman begins / The Dark Knight (Nolan, 2005/2008)
Le rêve devenu réalité. Le grand cinéaste derrière.
Insomnia (Nolan, 2002)
Le film qui m'a scotché la première fois, qui m'a vraiment époustouflé les visions suivantes. L'impression du petit polar qui dit tout...Je voulais n'en garder qu'un, mais entre les batman et celui-là, je pouvais pas choisir.
Incassable (Shyamalan, 2000)
Le film clé de la décennie. Le super-héros par un cinéaste qui aurait pu en placer plus...Mais si je n'en gardais qu'un.
Révélations / Collateral (Mann, 2000, 2004)
Le choix cornélien, je garde les deux. Mann est un des très très grand de la décennie (malheureusement achevé avec une vraie déception)
2046 / In the mood for love (WKW, 2000, 2004)
Deux films de Wong Kar Wai, deux oeuvres monstrueuses, deux films qui se parlent, deux films dont on découvre la complexité avec plusieurs visions.
Lost in translation (Coppola, 2004)
Impossible de ne pas le mettre, la BO, Bill et Scarlett, le Japon, cette immersion mélancolique et inoubliable. Le Sofia Coppola que je garderais.
A.I. Intelligence artificielle (Spielberg, 2001)
Le Spielberg que je garde, même si la guerre des mondes devrait être ici. J'ai fait un choix. En écrivant ces lignes, je me demande pourquoi...
Le Voyage de Chihiro (Miyazaki, 2002)
Mon Miyazaki préféré, le film qui fait naitre en moi le plus d'émotion chez lui, un film comme un voyage.
Yi yi (Yang, 2000)
Encore du cinéma asiatique, le film d'Edward Yang m'a donné l'impression de planer en sortant de la salle. Pas revu depuis 5-6 ans, mais demeure une oeuvre inclassable.
Eternal sunshine of the spotless mind / Adaptation (Gondry, 2004 / Jonze, 2003) 
drôle de mélange. Un scénariste commun, une autre figure énorme de la décennie. Charlie Kaufman. Son oeuvre la plus touchante et son scénario le plus génial. Deux films très très haut dans mon estime, deux cinéastes qui sont allés vers d'autres directions, mais qui ont trouvé chez Charlie leurs meilleurs outils. Et puis meilleurs rôles de Kate Winslet, Jim Carrey, Nicolas Cage, Meryl Streep...
La neige tombait sur les cèdres (Hicks, 2000)
Découvert en retard, en CHS, acheté direct en DVD juste après. Simplement l'un des films les plus beaux qui soient. Chaque image m'achève. Ethan Hawke a une carrière étrange, il arrive régulièrement à caser un chef d'oeuvre au milieu d'oeuvres mineures.
Magnolia (Anderson, 2000)
C'est du lourd. Tout a été dit. A caser à PTA dans la liste, je garde Magnolia, même si There will be blood est un truc énorme aussi.
Master and commander : de l'autre côté du monde (Weir, 2003)
Peter Weir a fait un seul film dans les années 2000. UN. Mais quel putain de film, quel intelligence, quelle beauté, quelle puissance. La simplicité et le génie pur.
Le Nouveau monde (Malick, 2006)
Terrence Malick a fait un seul film dans les années 2000. UN. Mais quel putain de film, quel intelligence, quelle beauté, quelle puissance. Le génie pur.
Toy story 2 (Lasseter, 2000)
Putain, si je devais garder un Pixar, autre acteur clé, je garderais Toy Story 2. Parce que c'est encore mon préféré d'eux, tout simplement.
Connexion
FAQ
Rechercher
