Forum de FilmDeCulte

et j'adore comment c'est filmé, comment on a l'impression d'être avec lui en fait. je suis curieux de voir comment ils ont filmé tout ça en fait. c'est assez bien foutu. Puis aussi quand il a plus de lumière et qu'il a l'impression d'avoir quelqu'un derrière lui...flippaaaaaant! plus j'y pense, plus j'apprécie.

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En bon vendu à Boyle, j'ai surkiffé. J'adore son énergie, son punch, son staïle, je kiff sa vibe. Très classique dans le fond, mais classe dans la forme. En effet, je crois que LA scène est édulcorée, dans le sens ou il me semble qu'en réalité,

5/6

j'aime le jour il se plante le couteau comme ça pour voir...puis il rattaqueras quelques jours apres...film qui pour moi vieillit vraiment bien.

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Nan nan je crois qu'il l'a coupé en genre (je dis au pif) 1h, un truc comme ça.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Au temps pour moi. J'ai revu l'interview de 7 à 8, et la façon dont le gars raconte ça laisse à penser qu'il a pu bien s'entamer le bras avant de tomber sur l'os. Finalement ça concorde bien avec le film.

J'aime bien les critiques sur allociné :


Paye tes formules utilisés pour tous les films de survie.



Meuf.



Papys.

Je passe sur les critiques négatives, dans lequel t'as le mot "pub" qui revient dans chaque phrase.

J'ai trouvé le fond du film assez touchant. Quand on est jeune, on est dans une quête d'absolu, belle mais dangereuse. Car dans cette quête on s'isole des autres, on devient égoïste (pas foncièrement égoïste car la quête d'absolu a pour départ une volonté de comprendre le monde, donc une volonté de sortir de soi, mais égoïste par rapport à ses proches).
C'est sur la forme que le film en fait parfois un peu trop, avec effectivement cette esthétique clipesque, amusante au début, agaçante à la longue car plus imposante que ce qu'elle veut vraiment dire. Ceci dit, au final cela colle au sujet et au personnage composé brillamment par James Franco (la scène du faux show télévisé est super drôle).
Dommage que Boyle ressente le besoin de faire tant de pathos sur la fin, ça m'a vraiment plombé.

3.5/6

Assez surpris d'avoir bien aimé malgré la mise en scène lourdingue de Boyle qui m'énerve de plus en plus. Mais là ça passe, parce que justement elle fonctionne parfaitement avec ce que raconte le film. Toute cette énergie canalisée et comme coupée dans son élan, comme un style lui même prisonnier. Après j'avais super peur des flash-backs, de toutes les scènes où il allait sortir de sa grotte en me disant que ce serait probablement un aveu d'échec terrible, or elles sont intégrées et montées avec suffisamment d'intelligence pour que finalement tu ne sortes jamais vraiment de la grotte. Vraiment bien foutu. Et puis le film a l'humilité de ne raconter que cette histoire, de ne pas essayer de l'ériger en parabole, de lui attribuer des symboles ou des ramifications inutiles. Quelle histoire incroyable quand même, moi je sais que j'y aurais laissé ma peau, je serais incapable de m'arracher un ongle, alors me couper le bras, c'est tendax.

4/6

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CroqAnimement votre

Ben c'est assez vrai chez lui quand même.

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On a frôlé la fissure anale...

Je trouve ça réducteur, et ça m'énerve que ce soit montré comme un défaut. Enfin je veux pas relancer le vieux débat de l'esthétique pub/clip.

Le problème c'est que c'est devenu des termes génériques qu'on emploie un peu n'importe comment de façon péjorative sans avoir besoin de se justifier. En l'occurrence, c'est pas parce que le clip ou la pub ont souvent recours à des effets cut ou autre que leur utilisation dans un film est nécessairement néfaste, et ça n'en fait pas non plus des caractéristiques propres à la pub ou au clip (y'a des clips en plan séquence par exemple). Bref, ce sont des arguments de critiques paresseux.

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N'écoutez pas Film Freak

Voilà, merci d'expliciter ma pensée, c'est ça que je voulais dire !

Ben disons que c'est une image plutôt claire et explicite, qui selon moi colle aux films de Boyle.
Cependant, je ne considère pas forcément cela comme négatif et dommageable pour un film.
Mais je vois ce que tu veux dire, ici le critique dont c'est le métier balance ça comme une vérité sans chercher plus loin ou étayer le propos...

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On a frôlé la fissure anale...

Le problème n'est pas l'esthétique pub/clip en soi, mais la façon dont Boyle l'utilise pour masquer le néant de son film.

J'avais bien compris. Et même si c'est vrai (ça l'est surement), je trouve ça pas bien grave et pas très intéressant comme argument critique.

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N'écoutez pas Film Freak