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MessagePosté: 19 Mai 2008, 23:50 
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Naissance du célèbre héros chauve-souris à travers sa quête de la justice, des monts enneigés de l'apprentissage aux sombres bas-fonds de Gotham City.

Seulement ma deuxième vision du film depuis l'été 2005 et la claque que ce Batman Begins était sur grand écran. Eh bien, c'est toujours aussi génial et les deux heures sont passées très vite. Un peu trop même, ce qui fait plaisir quelques semaines avant que n'arrive la suite.
Si la première partie reste un poil trop longue à mon goût, ce qui ne l'empêche pas d'être très réussie dans son entreprise de création de mythe, je dois avouer avoir pris un pied intégral tout au long de la suite du film.

L'écriture du scénario ainsi que son déroulement s'articulent à merveille avec les travaux de la mise en scène et de la photographie, tous les deux superbes. Que ce soit dans les scènes d'action radicales et ses cuts véritablement sensationnels ou dans les situations psychologiques et ses dialogues efficaces et abruptes, le rythme ne baisse jamais. Jamais perdue dans les dédales de la ville ou des souterrains, la narration se balade un peu partout sans jamais s'éparpiller, du bureau de la Wayne Company au métro en passant par l'asile ou les ruelles crades du pauvre Gotham, ainsi que les monts enneigés du début.
Formellement, Nolan balance un sens du découpage et de l'espace qui se targuent en plus de servir à la fois l'intrigue et la pure sensation cinématographique. Pas de séquences "je vous montre ce que je sais faire" ni de chi-chi sentimental des champs/contre-champs, Begins joue la carte de l'assurance d'un travail très maîtrisé où les travaux d'écritures forment un tout homogène, caractérisé par une vision noire d'un monde foutu où survivre, c'est se battre contre ses démons et où aimer (sa femme, ses gadgets où son poste de valet) reste primordial, car composant quasi-intégralement ce sentiment d'exister, de participer à la mécanique d'un monde qui a encore quelque chose à sauver (à ce propos, j'espère que le suivant va creuser cela). Survie et amour se partagent dans une ambiance poisseuse et Nolan et son scénariste ont l'heureuse idée de pointer du doigt le pessimisme par des petites touches mordantes d'ironie (notamment des dialogues), ce qui est toujours habile dans un divertissement (et que ne maîtrisent pas forcément certaines récentes adaptations de comic).

D'où la fascination que procure cet énième adaptation de comic à placer dans le très haut du panier. On a à la fois un pur produit de divertissement efficace avec son atmosphère travaillée, ses personnages parfois rapides mais toujours impeccables dans ce qu'ils transmettent à l'image et dans leurs interactions (mention à Bale et Murphy, deux incarnations vivantes de ce principe) et sa narration clairement et habilement développée. Et on a également cette réflexion originelle et bien rendue de la complexité de la dialectique de l'être humain avec lui-même et son influence dans ses rapports avec autrui et la société. Justice, pouvoir et violence tour à tour distribués (vivement le Joker d'ailleurs) dans les mains des différents protagonistes, souvent eux-mêmes confrontés à leur jeux de dupes, physiques ou psychologiques. Il y a ainsi un traitement que j'aime beaucoup dans ce film, c'est celui de la représentation des scènes de violence du Batman, toujours tellement tendues qu'on a plutôt peur pour ses adversaires (et ces plans sur lui défiguré, aaaah).

Bref, 6/6


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MessagePosté: 20 Mai 2008, 00:15 
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Revu récemment et j'ai réalisé à quel point ce fim était parfait... Avant, c'était un tout petit 5/6, ce qui est déjà pas trop mal et puis cette fois je me suis rendu compte à quel point le scénario notamment est vraiment bien foutu.

du 6/6 étonné


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MessagePosté: 07 Juil 2008, 22:59 
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Donc je viens de le revoir, en prévision du second, jeudi.

Je me rappelle encore quand, après avoir vu X-Men, je me suis remis dans les comics (et j’en suis plus jamais sorti en fait) et l’une des premières BD que j’ai choppé était le Batman Year One de Miller. Déjà à l’époque, je voyais Bale dans le rôle. American Psycho était sorti la même année et il n’y avait qu’un pas entre Bateman et Batman (oooooouuuh), ou du moins entre Bateman et Bruce Wayne et plus précisément le Wayne public, le mec qui doit dissimuler la bête derrière une image de riche playboy en costard avec une attitude de connard et pro des affaires.
Bale avait tout le background nécessaire…de l’orphelin d’Empire du Soleil au membre des Jeunesses Hitlériennes de Swing Kids, même Hamlet dans Le Prince de Jutland…et depuis on sait comment il a appris à maîtriser la figure du mec super droit dédié à sa cause, y a qu’à voir Le Règne du Feu ou Equilibrium…et y a qu’à voir The Machinist ou Harsh Times pour voir la profondeur du jeu de ce mec…
Dans Batman, il montre un peu de toutes ses facettes…notamment parce qu’il s’agit du premier Batman qui parvient à cerner les différents aspects du personnage…le Bruce Wayne privé, brisé par la mort de ses parents (cf. ses scènes avec Rachel ou Alfred), le Bruce Wayne public comme cité plus haut (cf. les scènes avec Lucius ou Earle) et évidemment, Batman, le symbole qu’il doit endosser pour « turn fear against those who prey on the fearful »…

Et ça c’est l’un des aspects sur lesquels la mise en scène se révèle vraiment originale et inventive comparée aux autres Batman…tout le baroque de Burton ou Schumacher n’a jamais pleinement saisi cette image-là du justicier…ça passe parfois par de petites choses (le fait qu’on ne voit jamais le costume pleinement, notamment les abdos…alors que dans les 4 autres films, tu les vois bien au moins une ou deux fois) mais ça passe surtout par des parti-pris osés (sa première apparition qui adopte le point de vue de ses adversaires, pour lesquels il EST « The Batman », créature mi-homme mi-animal qui leur fout les jetons, filmé comme dans un film d’horreur, comme un monstre happant ses victimes une à une, ou un monstre pendu à l’envers qui soudain déploie ses ailes) et la Palme va au passage où Falcone le voit au milieu de plusieurs hommes qu’il dézingue, à peine perceptible…

La mise en image joue constamment sur la confusion…comme dans cette scène au début où, non-content de tous les habiller pareil, Nolan flanque Wayne et les autres prisonniers dans la boue, les rendant encore plus similaires pour illustrer le fait qu’à ce stade, Wayne n’est encore qu’un vulgaire criminel, se comportant comme eux.
Ensuite, lors de la fin de son entraînement, la confusion est le but même de l’exercice, avec tous ces ninjas vêtus à l’identique et qui réarrangent leurs rangs pour déstabiliser Wayne…
J’aurai plus de mal à justifier la mise en scène confuse du combat de Wayne contre les hommes de Ra’s dans les cages d’escalier sur la fin…mais j’ai jamais trouvé le reste de l’action illisible, genre dans les combats contre Ra’s.

De toute façon, même dans la BD, Batman ne se prête pas vraiment au film d’action…la précédente franchise avait déjà essayé d’orienter la licence vers le blockbuster conventionnel, notamment avec les Schumacher, purs produits des ‘90s (tandis que les Burton était plus ‘80s, donc moins « cahier des charges » dans l’action). J’avais peur que son approche « réaliste » ne nuise à l’aspect mythique du perso, de l’univers mais le film ne perd rien de son caractère iconique. Et en fin de compte, je trouve l’esthétique de Nolan absolument fabuleuse. Il annonce la couleur dès la séquence du meurtre des parents Wayne où contrairement à beaucoup d’illustrations de ce moment-clé dans la vie du personnage, la scène n’est pas montrée d’un point de vue céleste, en plongée totale, mais parallèle au sol et au niveau du sol justement. On capte tout de suite que l’approche sera terre-à-terre, à hauteur humaine. Et quand la caméra s’envole, ce n’est que rarement et l’effet n’en est que d’autant plus fort (la découverte de la Batcave, Batman qui veille sur la ville depuis une corniche, le dernier plan, etc.).
Je me suis relu récemment les deux mini-séries de Jeph Loeb/Tim Sale, The Long Halloween et Dark Victory (qui se passent durant les années fondatrices du héros et ont comme influence majeure Le Parrain et autres modèles du même calibre), qui sont indéniablement les influences majeures du film, au même titre que Batman Year One, tant dans la forme que dans le fond : le côté « polar/enquête » davantage assumé et exploité (l’un des surnoms de Batman n’est pas The Detective pour rien), son côté très urbain (on s’inspire de Chicago et Hong Kong pour Gotham City et on donne dans l’immense sans jouer l’expressionnisme allemand, les statues géantes et l’architecture pas possible), et sa multitude de personnages…

Incroyable d’ailleurs de voir comment le scénario parvient à gérer un nombre incroyables de protagonistes importants en 2h15 là où 4 films de 2h n’ont pas réussi à le faire avant…outre Wayne/Batman qui n’a jamais été aussi pleinement et fidèlement exploré à l’écran, on a une flopée de figures paternelles bien plus vivantes que les figurations des épisodes précédents…
Par exemple, Michael Gough en Alfred a toujours été une constante assez correcte dans les Burton comme les Schumacher mais jamais n’a-t-il eu un rôle aussi important que dans le film de Nolan où il incarne les vestiges de la famille Wayne, le nom et l’héritage à respecter pour le jeune Bruce. Jamais n’y a-t-il eu de scènes aussi touchantes dans la saga que celle où Alfred console Bruce enfant.
Pour ce qui est de Gordon, c’est absolument SANS COMPARAISON. Dans les précédents, on a un gros qui sert à rien. Dans celui-ci, on a l’un des rares « partenaires » de Bruce dans son combat contre le crime…et à ce titre, j’ai hâte de voir le trifecta Batman/Gordon/Dent dans The Dark Knight. Je croyais pas du tout en Oldman et finalement j’hallucine devant le caméléonisme de ce mec…
Avoir réussi à inclure dans l’intrigue un personnage obscur comme Henri Ducard, pour en faire le mentor de Wayne, puis son adversaire (Neeson évidemment parfait pour le rôle), c’est couillu…foutre Ra’s Al Ghul ET l’Epouvantail ET Carmine Falcone EN PLUS dans l’histoire, et à rendre le tout cohérent et pertinent, là ça tient du talent…
Ils sont tous parfaitement exploités…utiliser les mafieux de la BD pour autre chose que du vulgaire cartoon contribue vachement à l’aspect polar et ancre les débuts de Batman dans une quête contre une criminalité vérace, qui n’est pas encore celle des freaks (hâte de voir la passation entre la vieille garde et le Joker/Double-Face dans la suite).
Et c’est pas fini…Freeman en Fox, Hauer en Earle, et, oui oui, Holmes en Rachel. Qu’on aime ou pas son interprétation (moi elle me va franchement), on a une Wayne Girl qui sert à quelque chose au moins. Deuxième derrière Catwoman (forcément). Mais largement devant Basinger/Vicki Vale, Kidman/Chase Meridian et Thurman/Poison Ivy ou McPherson/Julie Madison. Ici, Rachel incarne la conscience de Wayne…le rappelant à l’ordre au début avec ses baffes (scène la plus mature des 5 films) ou quand elle surprend le Wayne public faire le con avec ses meufs au resto…

Mais en plus d’un « simple » scénar et d’une grosse galerie de personnages bien traités, le film se permet même une thématique intéressante autour de la peur (comme les deux autres blockbusters de 2005, War of the Worlds et Revenge of the Sith). On nage en plein post-11 septembre : on peut facilement voir Ra’s et la League of Shadows, secte qui veut détruire par la Terreur la mégalopole symbole de la décadence, comme Ben Laden et Al Qaeda, avec le manoir Wayne en lieu et place des Twin Towers à reconstruire ; sans compter sur la peur à retourner contre ceux qui font régner la terreur… Le film n’a pas de “fond” politique mais exploite habilement l’actualité pour illustrer son propos (« You always fear what you don’t understand », « Don’t be afraid », « There’s nothing to fear but fear itself” blablabla)
J’aime beaucoup aussi l’analogie faisant de Thomas Wayne une figure à la JFK, prompt au changement, assassiné par Joe Chill qui à son tour sera tué de manière identique à Lee Harvey Oswald par Ruby (un mafieux, au même titre que Falcone qui fait tuer Chill). Amusant de voir le même JFK cité dans le dernier acte de Superman Returns. Les points de vue de Nolan et Singer ne sont pas si éloignés en fait.

J’adore ce film, il est d’une richesse débordante. Je pourrais en parler des heures.
J’adore la première heure du film et sa construction qui témoigne de la réappropriation du matériau par l’auteur et qui est une manière originale d’expliquer le parcours de Wayne, sa culpabilité, sa vengeance, son point de vue, en faisant se répondre passé et présent, en illustrant par la même occasion comment son passé hante justement Wayne, « the memory of your loved ones becomes like poison in your veins ». Je le trouve bourré de choix couillus (l’entraînement, les ninjas, les hallus, etc.).
J’adore évidemment tous les cadeaux faits aux geeks au niveau des références ou de la construction du mythe qui arrive à éviter la désacralisation malgré la révélation de tous ses rouages (la fabrication du costume, des gadgets, la Batmobile, etc.).
J’adore qu’il fasse preuve de beaucoup d’humour (les échanges Wayne/Alfred) sans tomber dans le cartoon, restant cohérent dans son univers.
J’adore la musique, à des kilomètres des délires gothicolyriques d’Elfman (inoubliable thème des Burton) ou de Goldenthal (avec son thème sous-estimé pour les Schumacher) qui parvient à se faire nolanienne (on pense beaucoup au score envoûtant de Memento par David Julyan) tout en émanant les sensibilités de ses deux compositeurs, les valses martiales de Zimmer, la mélancolie de Howard, la naissance du thème (que j’espère exploité à fond dans The Dark Knight).
J’adore la dernière scène.
J’adore la dernière réplique.
J’adore le dernier plan.
J’adore.

6/6 évidemment.

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MessagePosté: 07 Juil 2008, 23:24 
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Ahhhhh, comment c'est bon de lire "l'avis que j'aurais pu sortir mot pour mot". je suis d'accord à 100% avec tout ça. Entre ce film, la suite pour bientot et ses précédents films, Nolan c'est vraiment le top of the pop ce gars. D'ailleurs, si j'en ai le courage, faudra que je poste un avis sur le prestige, car à chaque révision, je me prend une mega-claque dans la tronche. Alors qu'en sortant du ciné, j'etais plutot mitigé. Menfin je vais pas empiéter sur ce topic : Batman begins c'est une folie.


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MessagePosté: 07 Juil 2008, 23:27 
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deudtens a écrit:
Ahhhhh, comment c'est bon de lire "l'avis que j'aurais pu sortir mot pour mot". je suis d'accord à 100% avec tout ça. Entre ce film, la suite pour bientot et ses précédents films, Nolan c'est vraiment le top of the pop ce gars. D'ailleurs, si j'en ai le courage, faudra que je poste un avis sur le prestige, car à chaque révision, je me prend une mega-claque dans la tronche. Alors qu'en sortant du ciné, j'etais plutot mitigé. Menfin je vais pas empiéter sur ce topic : Batman begins c'est une folie.


Nolan le seul mec qui avec Fincher accumule les 6/6...

Batman, c'est juste le film que je rêvais de voir sur mon héros de Comics préféré depuis toujours. Les personnages, le ton, l'histoire...C'est parfait et tellement fort de partout...

La suite ne peut être que le même mais en mieux.


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MessagePosté: 07 Juil 2008, 23:48 
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Pas revu depuis sa sortie en salle (alors que j'ai vu les autres Batman au moins 5 fois). Je me le garde avant la sortie du deuxième. Ca me fera patienter jusqu'au putain de 13 août...

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MessagePosté: 07 Juil 2008, 23:48 
Tetsuo a écrit:
Ca me fera patienter jusqu'au putain de 13 août...

Ou bien va à l'UGC Normandie jeudi...


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MessagePosté: 07 Juil 2008, 23:52 
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tape dans ses mains sur La Compagnie créole
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Tetsuo a écrit:
Pas revu depuis sa sortie en salle. Je me le garde avant la sortie du deuxième. Ca me fera patienter...

Pareil. L'heure de la deuxième chance va bientot sonner!

TDK J-16

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MessagePosté: 07 Juil 2008, 23:54 
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Film Freak a écrit:
Par exemple, Michael Gough en Alfred a toujours été une constante assez correcte dans les Burton comme les Schumacher mais jamais n’a-t-il eu un rôle aussi important que dans le film de Nolan


T'es ouf ! Dans la 4 il tombe malade (limite il va y passer même) et sa nièce c'est Batgirl !

Film Freak a écrit:
Pour ce qui est de Gordon, c’est absolument SANS COMPARAISON. Dans les précédents, on a un gros qui sert à rien.


lol
Le truc aberrant.

Film Freak a écrit:
Je croyais pas du tout en Oldman et finalement j’hallucine devant le caméléonisme de ce mec…


Moi, pour le coup, c'était le seul dont j'étais convaincu avant de voir le film.

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MessagePosté: 07 Juil 2008, 23:56 
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Jericho Cane a écrit:
Tetsuo a écrit:
Ca me fera patienter jusqu'au putain de 13 août...

Ou bien va à l'UGC Normandie jeudi...


Aaarrgghhh !
Tous le monde me harcèle avec cette projo. Je ne peux pas venir, et c'est une vraie torture !

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MessagePosté: 07 Juil 2008, 23:57 
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Arnotte a écrit:
TDK J-16


Je vais arrêter de venir ici jusqu'au 13 août je crois :(

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MessagePosté: 07 Juil 2008, 23:59 
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Tetsuo a écrit:
T'es ouf ! Dans la 4 il tombe malade (limite il va y passer même) et sa nièce c'est Batgirl !


Aaaah les rares passages sérieux/émotion de B&R...
"I love you, old man..."
On y croit pas une seconde, c'est grave.
Et Clooney pourtant parfait sur le papier.

Citation:
Film Freak a écrit:
Pour ce qui est de Gordon, c’est absolument SANS COMPARAISON. Dans les précédents, on a un gros qui sert à rien.


lol
Le truc aberrant.


Laisse tomber...c'est un figurant mal casté en plus...il sert à faire acte de présence, tantôt à côté du maire, tantôt à côté du Bat-signal, et c'est tout.
Ah si, dans le 4, Poison Ivy l'ennivre et il lui passe les clés du Bat-signal.
Represent.

Citation:
Moi, pour le coup, c'était le seul dont j'étais convaincu avant de voir le film.


Moi plus ça allait et plus je commençait à me poser des questions sur ce cast à 85% britannique...notamment pour Falcone et Gordon.
Et au final, je les trouve impecc...leurs voix, leurs mimiques, leur jeu quoi, fait tout. Pardon d'avoir douté, Messieurs Wilkinson et Oldman.

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MessagePosté: 08 Juil 2008, 00:15 
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Film Freak a écrit:
Aaaah les rares passages sérieux/émotion de B&R...
"I love you, old man..."
On y croit pas une seconde, c'est grave.
Et Clooney pourtant parfait sur le papier.


En même temps, comment ils ont pu croire une seule seconde qu'on allait être ému par ça alors que la scène suivante t'a Schwarzy en robe de chambre qui fume un cigare congelé avec des chaussons ours polaire. Incompréhensible.
Et Clooney en Batman, c'est juste un des plus gros gachis de l'histoire.

Citation:
Laisse tomber...c'est un figurant mal casté en plus...il sert à faire acte de présence, tantôt à côté du maire, tantôt à côté du Bat-signal, et c'est tout.
Ah si, dans le 4, Poison Ivy l'ennivre et il lui passe les clés du Bat-signal.
Represent.


Je crois que t'as même une scène dans le 3 où tu le vois genre débarquer en pyjama avec son chapeau sur le toit du commissariat où il surprend Kilmer et Kidman en train de discuter. Nawac.

Citation:
Pardon d'avoir douté, Messieurs Wilkinson et Oldman.


T'inquiète pas, moi je doutais de Bale :oops:

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MessagePosté: 08 Juil 2008, 00:18 
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Bon je viens de mater les 6 courts animés Batman - Gotham Knight qui viennent de sortir en DVD et supposés constituer un pont entre Batman Begins et The Dark Knight.

Les épisodes sont réalisés par des animateurs japonais (aucun de réellement connu à part le mec derrière Tsubasa Chronicle) et écrits par des scénaristes de comics (Azzarrello, Rucka, Goyer, etc.).

Bon, comme tant d'autres compléments animés direct-to-video (la plupart des Animatrix, The Chronicles of Riddick - Dark Fury, Van Helsing - The London Assignment), c'est assez faible et EVIDEMMENT totalement dispensable (pont entre les deux films, mon cul).

L'animation est sympa la plupart du temps mais pour les histoires, ça vaut même pas la série animée des '90s.


Bon, je vais mater les émissions de débat politique Gotham Tonight.

Peace out.

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MessagePosté: 08 Juil 2008, 00:25 
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Film Freak a écrit:
Les épisodes sont réalisés par des animateurs japonais (aucun de réellement connu à part le mec derrière Tsubasa Chronicle)

Ah y'a quand même Yoshiaki Kawajiri qui a réalisé Ninja Scroll et Nishimi Shôjirô qui a travaillé sur Amer Béton et Mind Game. Bon, je ne doute cependant pas du peu de potentiel de ces anime.


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