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 Sujet du message: Re: Vos dernières lectures
MessagePosté: 28 Mar 2014, 23:18 
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Ouais putain ! Il lit des trucs où ya même pas d'images !
Cela dit je comprends la méprise, ya des dessins rigolos sur les couvertures

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 Sujet du message: Re: Vos dernières lectures
MessagePosté: 29 Mar 2014, 00:01 
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Ptain, je pense que yaurait pas mal de déçus en me voyant dans la vraie vie.


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 Sujet du message: Re: Vos dernières lectures
MessagePosté: 02 Avr 2014, 18:41 
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Prix 2000 du 1er roman étranger

Ca faisait très longtemps que je voulais découvrir cette histoire qui est bien une oeuvre de fiction basée sur quelques faits réels : un chef indien, peut-être Little Wolf, chef des Cheyennes du Nord (il aurait un homonyne chez les Cheyennes du Sud) aurait demandé au président des USA Ulysses Grant, 1000 femmes blanches (contre 1000 chevaux) afin de faciliter l'intégration future de son peuple avec celui des Blancs. Jim Fergus imagine ce qui se serait passé si cette proposition, scandaleuse en son temps, avait été réellement acceptée.
On assiste donc au choix de ces femmes (il n'y en a qu'une trentaine pour la 1ère livraison) aux horizons et motivations divers et à leur acclimatation chez les Indiens. Outre le personnage féminin principal, il y a d'intéressants portraits de femmes (l'ancienne esclave noire, une espèce de Calamity Jane passionnée d'oiseaux et artiste peintre, une authentique dame du Sud tombée en déchéance, une conductrice de convois, etc....) sans parler des Indiens dont on découvre bien sûr les us et coutumes.
On pense beaucoup à Danse avec les loups au cours de la lecture tant il est vrai que l'histoire des Indiens repose sur des codes récurrents : un peuple libre, vivant en accord avec son environnement, aux prises avec l'expansion des Européens, reculant petit à petit à chaque traité non respecté par les Blancs, tentant de résister à l'inéluctable pour finir par s'y résoudre.
Sur certaines sources internet, il est dit que Jim Fergus raconterait dans ce livre l'histoire de son arrière-arrière-grand-mère mais, à la fin du livre, il n'en fait absolument pas mention. La confusion est peut-être venue du fait que le point de départ de l'histoire est relatée par un journaliste à la recherche de son ancêtre partie vivre chez les Indiens.

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 Sujet du message: Re: Vos dernières lectures
MessagePosté: 04 Avr 2014, 21:13 
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L'Homme au balcon (Per Wahlöö et Maj Sjöwall)

L'éditeur est pas très malin, il n'y aucune indication de l'ordre des livres dans les bouquins en question... Sans le vouloir, je suis donc passé du n°1 au n°3, sans que ce ne soit une seule fois gênant à la lecture, cela dit.

J'ai trouvé ça vachement bien. C'est sans doute le fait de déjà connaître les particularité du style, et ainsi de ne pas avoir d'attentes parasites. C'est toujours aussi diablement sobre, simple, ultra-factuel - faut voir la façon couperet dont tombe la fin, enquête terminée et livre immédiatement refermé, plouf, c'est à la fois réjouissant et frustrant. Il reste par-ci par-là deux trois choses qui ont vieilli, ou qui sont en tout cas devenues de tels clichés qu'elles ont un peu perdu de leur force. Mais je crois que je prend goût à cette approche du roman policier : c'est clair et limpide, ça repose le crâne comme une bonne aspirine.



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La Légende de Sleepy Hollow (Washington Irving)

Petite nouvelle qui surprend assez par la façon dont elle a absolument que dalle à voir avec l'adaptation de Burton : le plus gros point commun est le héros ridicule, quoiqu'il est chez Irving assez peu sympathique. La plus grosse différence réside dans l'atmosphère, qui a quelque chose de très généreux dans la nouvelle : les champs abondants, la beauté de la campagne ensoleillée, la chaleur des habitants.

C'est l'une des beautés du livre : le fantastique noir (qui intervient assez tard) ne vient pas troubler ou remettre en question le monde. On sent bien que ce village est un peu à la bordure de la civilisation, que la nation côtoie encore des bois qui évoquent les contes européens, et cette communauté hollandaise, dont on nous dit qu'elle est comme en retard sur l'avancement du pays, fait une sorte de trait d'union vers le passé archaïque de l'Amérique. En ça, en fait, le livre et le film sont assez proches, même si c'est de deux manières complètement opposées. Ici, la magie (au sens figuré) d'un charmant village rural glisse sans difficultés vers la magie (redoutée) des légendes du coin. Cette cohabitation est très bien gérée.

Ça va de pair, d'ailleurs, avec une méfiance entretenue envers le fantastique (qui, on le comprend, n'est pas advenu ici, la supercherie est sous-entendue) : histoire racontée par un intermédiaire, trous dans le récit. On côtoie le conte sans réellement s'y abandonner, et cette façon de faire de cette nouvelle à la fois un conte et un point de vue sur ceux-ci, dit aussi, à sa façon, la transition que sont entrain de vivre les USA.

Bon, j'étale beaucoup dessus (je dois être entrain de réciter la préface d'ailleurs, me semble l'avoir lue), mais si ça reste charmant, c'est pas un livre exceptionnel. Vous pouvez essayer, le bouquin coute 2 € et se lit en une heure à peine.




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City (Alessandro Baricco)

Je suis très partagé. J'ai failli arrêter le livre après quelques pages, puis failli le balancer à plusieurs reprises ensuite... Je ne suis pas un grand lecteur, et j'ai un peu de mal avec toute écriture qui demanderait un effort assez prononcé pour provoquer une cassure dans l'immersion du récit. Je suppose que c'est ce que je ressentirais face au cinéma moderne si j'étais non-cinéphile, mais c'est donc un peu compliqué de trier entre le grain et l'ivraie quand je bute contre un roman pour ces raisons.

C'est la nature (et la qualité) du livre d'être ultra-foutraque. Mais il y a ici quelque chose qui me semble tout de même relever de facilités exaspérantes, à commencer par les monologues qui parsèment le roman : de longues logorrhées pleines d'approximations (recherchées) de langage parlé, qui s'étalent sur plusieurs pages sans aucun point, que des virgules, parfois même avec des effets de mise en pages moches et inutiles cassant les phrases en plein milieu. Je n'en vois pas l'intérêt : à chaque fois que je tombais dessus, je soupirais et refermais le bouquin pour un temps. C'est une corvée à lire, et tu sens que ce n'est même pas "travaillé", mais juste jeté comme ça sur le papier, comme dans le mouvement d'une supposée inspiration. Il n'y a qu'une fois où ça a vraiment du sens : pour le match de boxe contre Poreda, parce qu'il est normal que tout s'y embrouille (et que les différentes voix qui s'entremêlent forment un canevas plus segmenté - majuscules, minuscules, textes entre parenthèses -, et donc plus lisible).

Il reste que le roman m'a souvent réjoui. Il faut passer la façon dont, via ses personnages, Baricco semble sans cesse s’auto-congratuler de l'originalité de ses idées. Cet éloge du bizarre a quelque chose d'assez immature qui peut vite gonfler. Mais pour le reste, les échanges entre les personnages (un enfant génie vivant seul, sa babysitter folle, ses amis imaginaires, son prof paumé...) sont assez jouissifs, comme si l'on nous mettait dans l'intimité d'un îlot d'humanité sauvegardé au milieu du bordel du monde. Le simple plaisir de ces personnages à être ensemble est pour beaucoup dans le fait qu'on tienne le livre malgré ses énormes défauts. Quelques gros passages (notamment toute la fin du fil rouge Western, exaltante) emportent le morceau.

Je trouve quand même ça super perfectible et bancal, sous couvert d'être un roman-chaos. Il me semblait que ça avait une petite réputation Baricco.


Dernière édition par Tom le 05 Avr 2014, 09:17, édité 1 fois.

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 Sujet du message: Re: Vos dernières lectures
MessagePosté: 04 Avr 2014, 22:04 
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Tom a écrit:

La Légende de Sleepy Hollow (Washington Irving)

Petite nouvelle qui surprend assez par la façon dont elle a absolument que dalle à voir avec l'adaptation de Burton


Bien au contraire ! Le Burton inverse la trame de l'histoire pour arriver à la même conclusion.
Au lieu d'un personnage croyant face à des événements normaux, on a un personnage sceptique face a des événements fantastique. Et le héros trop sûr de lui voit ses certitudes balayées.
Si Burton avait adapté la nouvelles telles quelles, le film aurait duré 20 minutes. L'inversion pour le film est une idée de génie.


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 Sujet du message: Re: Vos dernières lectures
MessagePosté: 05 Avr 2014, 08:41 
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 Sujet du message: Re: Vos dernières lectures
MessagePosté: 05 Avr 2014, 09:14 
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Juan a écrit:
Bien au contraire ! Le Burton inverse la trame de l'histoire pour arriver à la même conclusion.
Au lieu d'un personnage croyant face à des événements normaux, on a un personnage sceptique face a des événements fantastique. Et le héros trop sûr de lui voit ses certitudes balayées.
Si Burton avait adapté la nouvelles telles quelles, le film aurait duré 20 minutes. L'inversion pour le film est une idée de génie.

Oui, l'idée est bonne, mais je parlais ici du traitement, qui est vraiment à l'opposé : le livre est assez lumineux, plutôt joyeux et diurne, quand Burton a fait un film d'horreur nocturne.


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 Sujet du message: Re: Vos dernières lectures
MessagePosté: 05 Avr 2014, 09:30 
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Le Burton est aussi - et surtout - un hommage à la Hammer...

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 Sujet du message: Re: Vos dernières lectures
MessagePosté: 05 Avr 2014, 09:32 
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Euh oui je sais, mais qu'est-ce que ça change à l'idée ?


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 Sujet du message: Re: Vos dernières lectures
MessagePosté: 05 Avr 2014, 09:44 
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Ca en fait un "film d'horreur nocturne", je veux dire.

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 Sujet du message: Re: Vos dernières lectures
MessagePosté: 05 Avr 2014, 13:43 
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Baptiste a écrit:
Il a le projet de faire aboutir l'humanité en tant que civilisation, paradoxalement à partir d'un déclin, et la démonstration est convaincante.

moi qui pensait qu'Asimov était un représentant de la hard science-fiction

il est clairement un partisan de la science atomique qui dans Fondation est le socle du progrès technologique.

Asimov a des années après, à la demande de l'éditeur, prolongé par deux derniers tomes qui me semblent dispensables - mais je les lirai un jour. Sponge, Mass, vous les aimez les derniers?

- La trame générale de la trilogie est largement empruntée à l'Histoire (Empire romain essentiellement), et ce, de façon à ce que le lecteur en ait conscience. On reconnaît des situations historiques. Ca contribue à la crédibilité de l'intrigue.
- Un récit de hard science ne peut pas se dérouler dans un futur lointain. Ca va à l'encontre de la définition du genre. Asimov n'a jamais écrit de Hard Science. Il préférait sans doute écrire avec moins de contraintes technologiques.
- l'usage de l'énergie atomique dans le récit vient de ce que c'était l'innovation technologique qui occupait le devant la scène durant son écriture. On date facilement la plupart des romans SF de cette façon. Ce qui peut paraître paradoxal mais qui s'explique en fait facilement.
- contrairement à toi, j'ai trouvé assez attachant le personnage principal de chaque crise Seldon. De plus, la trilogie est écrite avec un sens de la chute assez rare. Ces deux qualités expliquent à mon avis pourquoi cette trilogie est encore considérée, 60 ans après sa parution, comme un (voire Le) chef d'oeuvre du genre. Une longévité unique en SF.
- Dans la communauté des lecteurs de SF, les autres tomes (1981 et ultérieurs) sont unanimement considérés comme très inférieurs. Les commentaires vont de "passable" à "foutage de gueule". J'estime que la vérité est quelque part entre les deux.

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 Sujet du message: Re: Vos dernières lectures
MessagePosté: 05 Avr 2014, 18:51 
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Tom a écrit:
Juan a écrit:
Bien au contraire ! Le Burton inverse la trame de l'histoire pour arriver à la même conclusion.
Au lieu d'un personnage croyant face à des événements normaux, on a un personnage sceptique face a des événements fantastique. Et le héros trop sûr de lui voit ses certitudes balayées.
Si Burton avait adapté la nouvelles telles quelles, le film aurait duré 20 minutes. L'inversion pour le film est une idée de génie.

Oui, l'idée est bonne, mais je parlais ici du traitement, qui est vraiment à l'opposé : le livre est assez lumineux, plutôt joyeux et diurne, quand Burton a fait un film d'horreur nocturne.


Ben justement. Le traitement du film rejoins l'inversion du traitement de l'histoire. Perso je trouve ça énorme comme une adaptation peut trahir totalement, d'un bout à l'autre, la nouvelle d'origine pour finalement dire la même chose. C'est un exercice de style énorme.


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 Sujet du message: Re: Vos dernières lectures
MessagePosté: 25 Mai 2014, 19:26 
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J'ai vu que Laurent Gaudé a déjà été évoqué sur ce topic; simplement, j'ai un petit coup de coeur pour cet auteur, ce qui ne m'était plus arrivé depuis longtemps.
Je viens de finir La porte des Enfers qui est, des 3 livres lus, finalement, celui que j'ai le moins aimé. Le début et la fin sont pas mal mais, ensuite, j'ai eu l'impression de tomber sur une mauvaise version de l'Enfer de Dante. Au sujet de la mort et du deuil, je préfère largement Le temps d'un soupir d'Anne Philipe.
Le 1er livre lu était Ouragan que j'avais pris au hasard parce qu'il avait pour cadre celui qui a dévasté la Nouvelle-Orléans en 2005 (je me suis d'ailleurs fait la réflexion que le cinéma, si prompt à s'emparer de l'actualité susceptible de faire un sujet attractif pour un film [ :arrow: tiens, le film sur DSK par exemple; ça n'a pas traîné !! ] n'a pas encore traité du sujet). J'ai aimé de suite l'écriture, la manière d'aborder l'histoire, les personnages; un vrai plaisir.
J'ai enchaîné avec Le soleil des Scorta et, là, ça a presque été de l'osmose parce que, étant d'origine italienne par ma mère, c'était comme si elle me racontait l'histoire de la famille, de ces familles italiennes misérables, besogneuses, du siècle dernier et tellement fières et exclusives.

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 Sujet du message: Re: Vos dernières lectures
MessagePosté: 25 Mai 2014, 22:55 
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Ah tiesn, Chloé me dit de lire les Scorta depuis trois siècles... Ça devrait être mon prochain.


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 Sujet du message: Re: Vos dernières lectures
MessagePosté: 26 Mai 2014, 13:34 
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Vaut mieux l'avoir en journal
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Messages: 22322
Localisation: Paris
Je confirme pour les Scorta. Et Ouragan est vraiment surprenant.

Sinon, je profite de mon premier passage dans la section depuis longtemps pour vous conseiller absolument Réparer les vivants, de Maylis De Kerangal, un mur sur lequel on se fracasse, obligé de stopper la lecture toutes les 4 pages tant c'est émouvant.

_________________
Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
Commande | Site perso


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