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MessagePosté: 05 Déc 2018, 14:59 
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loooool

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MessagePosté: 05 Déc 2018, 22:24 
Sinon Billy Elliot, et la Promesse des Dardenne, peut-etre pour les mêmes raisons. Une représentation lacrymale et stéréotypée de la classe ouvrière, sans la moindre distanciation, dans des intrigues convenues qui veulent se faire le porte-parole non d'une idée particulière, mais de la sociologie, du réel et des mythes oedipiens considérés comme une seule et unique totalité. Finalement ces bons sentiments ont 20 ans plus tard des conséquences politiques catastrophiques. Les ouvriers doivent se défendre dans la réalité du procès en homophobie et en racisme intenté par la fiction que regarde la bourgeoisie. Du coup ils deviennent souvent ce qu'on leur reproche.

A une époque j'etais dans une école normale belge, en milieu populaire et fragile, et on nous sortait un discours pata-bourdieusien sur la classe ouvrière à partir de Billy Elliot.

Il a fallu retour à Reims de Didier Eribon pour que le discours culturel dominant change. Grâce lui soit rendue quand-même.


Finalement le cinéma social chinois à la Zia Jangkhe tombe moins dans ce piège à cons en jouant discrètement la carte du genre rétro. Comme Abyssin j'aime une Pluie sans Fin


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MessagePosté: 05 Déc 2018, 23:00 
Velvet Goldmine
Mon premier rendez-vous avec Tod Haynes fut raté. Ewan McGregor en Iggy Pop.
Le film était tellement froid qu'il m'a rendu étranger à Bowie.
Même la BO était à l'avenant. Du Roxy Music et du Brian Eno chanté et affadi par un super-groupe mené par Tom Yorke.
Le truc etait queer comme l'Airbus A330 est dit à triple commandes de sécurité.


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MessagePosté: 05 Déc 2018, 23:23 
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En 1999, comme "tout le monde", j'attendais Star Wars Episode I : La Menace fantôme.
Pas comme tout le monde, j'ai pris l'Eurostar pour le découvrir avant sa sortie française tardive du 13 octobre.
Je me rappelle encore les frissons et les larmes aux yeux face à la tonitruante apparition du logo sur ce fond étoilé.
À la fin de la séance, je pleurais mais à l'intérieur et pour d'autres raisons.
Je me rappelle encore mon message sur feu le forum Première, ancêtre de celui-ci, sur lequel je venais tout juste de m'inscrire, où je relatais ma déception.

Je me rappelle aussi le témoignage de Brad Cool, qui allait devenir un de mes meilleurs amis et grand frère spirituel, dont l'expérience avait été similaire à la mienne. Lui, c'est d'un séjour à New York qu'il avait profité pour voir le film avant tout le monde mais sa déception avait été effacée par la découverte, presque par surprise, d'un autre film. Un autre blockbuster, sorti presque deux mois auparavant mais toujours à l'affiche : Matrix.

Quelle sublime passage de témoin.
Tandis que la nouvelle escapade tant attendue dans l'univers de Star Wars décevait les spectateurs de plusieurs générations, lui succédait alors "notre" Star Wars. Notre film de science-fiction mêlant influences de la bande-dessinée et de la culture de l'Extrême Orient dans un monomythe pour le nouveau millénaire.

En 1999, c'était un peu RIP George Lucas, longue vie aux Wachowski.

Seulement quatre ans séparaient Matrix de sa suite et pourtant l'attente était presque au même niveau que celle qui avait précédé l'infâme préquelle. À vrai dire, elle était peut-être même supérieure tant la confiance que les frangin(e)s sauraient être à la hauteur. Les bandes-annonces étaient mortelles, putain. Et jusqu'à la dernière minute, alors que nous étions tous chauds comme la braise à cette première séance publique, à 20h le jeudi 15 mai 2003 (à l'UGC Ciné Cité Bercy pour moi...et Brad Cool), nous y croyions.

Et sincèrement, je n'oublierais jamais, JA-MAIS, ce moment, au bout d'une dizaine de minutes de film, quand Brad Cool, qui était assis au rang devant moi car nous étions un grand groupe d'amis et que nous voulions tous les deux être au milieu, s'est retourné vers moi et m'a fait cette mimique, avec ses yeux et sa bouche, que j'ai compris instantanément : "something's wrong/c'est pas comme avant/la sauce ne prend pas".

Quand on est déçu par un film que l'on attendait énormément, on passe la majorité de sa critique à en lister les défauts, même si on a, en fin de compte, plutôt apprécié le film. Mais bon, le premier est dans mon panthéon all time alors que le second, même à l'époque où j'essayais de me persuader, inconsciemment ou non, ça n'a jamais été plus de 4/6.

Comme Contact et Ali donc, que j'ai maintes fois évoqué sur ce forum comme étant les deux films que j'attendais le plus et qui m'ont déçu mais que je continue de revoir dans l'espoir qu'ils me séduiront enfin pleinement un jour, j'ai plusieurs fois redonné sa chance aux suites de Matrix. Malheureusement, chaque nouvel essai n'a fait qu'entériner mon avis. Pire, je situais un peu plus précisément à chaque fois ce qui était raté.

Comment ces scénaristes qui avaient su rendre digeste l'avalanche d'exposition requis par leur univers au travers de séquences où chaque information passait par le visuel et parfois littéralement dans l'action avaient-ielles pu pondre ce fatras imbitable bavard, lourdingue et redondant à base de "Tu vois cette machine? Je ne sais pas comment elle fonctionne mais je sais pourquoi elle fonctionne. (...) Nous sommes tous ici pour faire ce que nous sommes tous ici pour faire" (et tout ça c'est avant le climax avec l'Architecte)?

C'est impardonnable.

Ma plus grosse désillusion, c'est celle-là.
Je me suis réconcilié avec Contact. Ali a remonté dans mon estime. Alexandre m'avait déçu la première fois mais je suis tombé amoureux du film la 3ème fois, en DVD. La saga Star Wars est plus grande que les erreurs de George Lucas.

Mais avoir chié les suites de Matrix, notre Star Wars (it's like poetry, it rhymes), ça restera LA blessure.

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MessagePosté: 05 Déc 2018, 23:45 
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Film Freak a écrit:
En 1999, comme "tout le monde", j'attendais Star Wars Episode I : La Menace fantôme.
Pas comme tout le monde, j'ai pris l'Eurostar pour le découvrir avant sa sortie française tardive du 13 octobre.
Je me rappelle encore les frissons et les larmes aux yeux face à la tonitruante apparition du logo sur ce fond étoilé.
À la fin de la séance, je pleurais mais à l'intérieur et pour d'autres raisons.

La même mais avec le ferry au lieu de l’Eurostar.

Citation:
"Nous sommes tous ici pour faire ce que nous sommes tous ici pour faire"

Je suis capable d’apprécier ce genre de réplique, il y en a chez Tarantino.


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MessagePosté: 05 Déc 2018, 23:57 
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Déjà-vu a écrit:
Film Freak a écrit:
"Nous sommes tous ici pour faire ce que nous sommes tous ici pour faire"

Je suis capable d’apprécier ce genre de réplique, il y en a chez Tarantino.

Je suis capable aussi quand il est justement question d'un goût du verbe, d'un contexte ludique qui se prête à ce type de verbiage.
Mais on est pas chez Tarantino ou les Coen ici, c'est juste lourdingue.

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MessagePosté: 06 Déc 2018, 00:04 
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Je relance d'un Prometheus et je mise tout sur Spectre.

Mais bon, rien ne vaudra jamais Indy IV.

Je m'en souviens, c'était à Cannes. Freak se prostituait sur la Croisette pour avoir une place, Liam, Boris and co vivaient dans 4 m2 au point que Boris (mon Panda tu me manques), dormait... sur le carrelage de la cuisine.

L'ouverture, géniale, démente... et puis Shia arrive... * grimace* et tout devient de plus en plus mauvais, dans l'écriture des persos, la suite des péripéties. Alors bien sûr la réal assure, il y a des scènes fortes. Mais à la revoyure, je trouve le film d'une non-incarnation totale.


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MessagePosté: 06 Déc 2018, 00:11 
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Film Freak a écrit:
Je suis capable aussi quand il est justement question d'un goût du verbe, d'un contexte ludique qui se prête à ce type de verbiage.
Mais on est pas chez Tarantino ou les Coen ici, c'est juste lourdingue.

Agreed.


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MessagePosté: 06 Déc 2018, 00:16 
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Antichrist
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J'ai relu le topic d'Indy 4.... surpris que l'accueil soit finalement assez positif.


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MessagePosté: 06 Déc 2018, 00:42 
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Karloff a écrit:
Je relance d'un Prometheus et je mise tout sur Spectre.

Prometheus gagne à être revu tandis que Spectre a très vite mal vieilli.

Citation:
Mais bon, rien ne vaudra jamais Indy IV.

Je m'en souviens, c'était à Cannes. Freak se prostituait sur la Croisette pour avoir une place, Liam, Boris and co vivaient dans 4 m2 au point que Boris (mon Panda tu me manques), dormait... sur le carrelage de la cuisine.

Nan ça c'était moi.

Citation:
L'ouverture, géniale, démente... et puis Shia arrive... * grimace* et tout devient de plus en plus mauvais, dans l'écriture des persos, la suite des péripéties. Alors bien sûr la réal assure, il y a des scènes fortes. Mais à la revoyure, je trouve le film d'une non-incarnation totale.

Si le 5 voit le jour, je me demande vraiment ce que ça va donner. Le film, l'accueil...

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MessagePosté: 06 Déc 2018, 00:50 
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Film Freak a écrit:
Si le 5 voit le jour, je me demande vraiment ce que ça va donner. Le film, l'accueil...

Dans un monde où La Dernière croisade est surestimé, tout est possible. #dossier


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MessagePosté: 06 Déc 2018, 00:53 
Festen. Je suis d'accord avec Godard. Dans les Idiots de Lars von Trier il y avait un truc intéressant, à la fois, viscéralement charnel et moraliste. Puis arrive le second film du dogme, un tragie-comedie avec ube exploitation racoleuse ee l'inceste, entre Bergman et Amélie Nothomb. Le Dogme était mort-né.

Notre Musique. Je suis plutôt preneur des Godard récents. Je le crois honnête politiquement. Sur le coup le film m'avait ebloui, j'avais l'impression que le sens secret de l'histoire était exhibé et révélé comme un secret magique quasi-alchimique (que Godard identifie au cinéma lui-même, avec une sincérité admirable car elle se justifie jusqu'au bout et alors produit parfois de la vérité, il faut le reconnaître). Avec le recul je me dis qu'il racontait avec ce film pas mal de conneries essentialisantes sur le conflit israélo-palestinien et en faisait un abcès de fixation, alors qu'il a depuis été dépassé en intensité par d'autres conflits régionaux qui n'ont rien à voir avec la circulation et la compensation de la culpabilité et de la souffrance de la Shoah, qui n'est peut-être pas la clé qu'en fait Godard (peut-être plus l'héritage colonial et les accords Sykes-Picot, mais Godard est maintenant trop nationaliste pour les critiquer).
Godard n'est peut-être pas très fort pour parler des guerres actuelles (For Ever Mozart c'est pas terrible non plus, finalement Eau Argentée de Mohamed et Bedirxsan que les Spectres et un journaliste de Trafic ont défoncé est formellement plus juste).

Récemment , le Bouton de Nacre et Manchester by the Sea (putain l'adagio d'Albinoni sur oes gamines mortes et le pathos de la culpabilité moisie) et la Region Sauvage m'ont déçu.

Et Mother d'Aronfsky et Contact de Villeneuve.

Tiens les Lars von Trier d'après les Idiots m'ont rarement paru intéressants. Ils brodent souvent sur le pathos des Dreyer que les Idiots transféraient dans une forme de faux documentaire pour le cacher. Dancer in the Dark était une désillusion.


Dernière édition par Gontrand le 06 Déc 2018, 01:16, édité 5 fois.

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MessagePosté: 06 Déc 2018, 00:55 
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Déjà-vu a écrit:
Film Freak a écrit:
Si le 5 voit le jour, je me demande vraiment ce que ça va donner. Le film, l'accueil...

Dans un monde où La Dernière croisade est surestimé, tout est possible. #dossier

Mais suce mes couilles, traquiste.

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MessagePosté: 06 Déc 2018, 10:08 
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Je n'ai pas encore fait le compte de toutes mes désillusions, mais la première qui me vient, la plus énorme, la plus marquante, je crois que ça restera à jamais LE CINQUIÈME ÉLÉMENT.
Le contexte: je suis ado, je rêve de faire du ciné, je ne connais Besson qu'à travers Léon que j'ai adoré à l'époque. Le mec est français et on clame partout qu'il s'est fait plaisir, qu'il a fait un film de SF en FRANCE, avec BRUCE WILLIS. La bande-annonce est chouette, elle est colorée, bourrée d'effets à la Star Wars (que je n'ai toujours pas vu).
Je suis à la première séance du mercredi, avec une bonne dizaine de potes, dans une salle comble. Chaud comme la braise. Et dès les premières minutes, c'est tendu: on me présente Luke Perry (hum) et une race d'extra-terrestre sensée être supérieure mais qui se déplace à deux à l'heure dans des costumes absolument hideux. Ok. Je me dis (vraiment hein): "ok, c'est TELLEMENT nul que le reste du film va être énorme." Et en gros, ce sentiment ne me quittera pas. Toutes les 10 minutes, après chaque séquence qui me cloue à mon siège tellement je trouve ça NAZE, je me dis "ok, ce que tu viens de voir était tellement à chier que CE QUI SUIT va être mythique". La définition-même de l'espoir. Et puis vient une course-poursuite anémique montée sur du Raï (pire. idée. ever.); Puis le cinquième élément du film, péniblement incarné par une mannequin anorexique que j'ai envie de baffer à chaque plan. Puis des monstres tout pourris, qui ressemblent à ce que Jackson avait fait SEUL dans Bad Taste. Puis cet humour de merde qui parcourt le film, jusqu'à ce non-climax avec une cantatrice dont le maquillage me fait penser à un schtroupmf affublé de câbles EDF. Putain, MÊME la VF de Bruce Willis n'est pas la bonne, Besson ayant cru bon de dégager Patrick Poivey qu'il n'aimait pas. Et même lorsque je pressens le climax arriver, je me dis, plein d'entrain (mais vraiment hein) "ok, c'était tellement merdique jusqu'à maintenant que le combat final va être le MEILLEUR TRUC DU MONDE". Et évidemment, ce n'est pas le cas. Je suis atterré tout le long, c'est la pire chose que j'ai jamais vue.
Générique de fin, la salle (et mes potes) applaudissent. Je m'enfonce littéralement dans mon siège, dans ma tête c'est "bordel, je n'ai rien compris, ça y est, je ne suis plus en phase avec le monde qui m'entoure". C'est la grosse grosse claque dans ma gueule.
Depuis, j'ai revu le film, avec le même sentiment. Celui d'un film écrit et réalisé par un gamin de 8 ans complètement débile. Mais cette séance, je m'en souviendrai toujours.

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MessagePosté: 06 Déc 2018, 10:55 
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Tiens, j'aurais pu citer Le 5ème élément, effectivement. A l'époque, Léon m'avait déçu mais j'adorais Nikita, Subway, Le dernier combat, et j'avais même de l'estime pour Le Grand bleu et Atlantis. Mais là, j'avais l'impression que l'on me crachait à la gueule, que pour la première fois le mec était tellement sûr de faire l'événement qu'il n'avait plus besoin de bosser. A la fin, je suis sorti de la salle et des mecs dans la file d'attente m'ont alpagué pour me demander comment c'était. J'ai répondu "nul" en tirant la gueule. Ils ont ri, pensant à une blague et j'ai du répéter "non mais c'était vraiment nul, catastrophique, je ne plaisante pas".

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)


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