Castorp a écrit:
Sinon, du Louisa May Alcott par ChatGPT :
"Like most other young matrons, Meg began her married life with the determination to be a model housekeeper. John should find home a paradise, he should always see a smiling face, should fare sumptuously every day, and never know the loss of a button. She brought so much love, energy, and cheerfulness to the work that she could not but succeed, in spite of some obstacles. Her paradise was not a tranquil one, for the little woman fussed, was over-anxious to please, and bustled about like a true Martha, cumbered with many cares. She was too tired, sometimes, even to smile, John grew dyspeptic after a course of dainty dishes and ungratefully demanded plain fare. As for buttons, she soon learned to wonder where they went, to shake her head over the carelessness of men, and to threaten to make him sew them on himself, and see if his work would stand impatient and clumsy fingers any better than hers. "
Comme la plupart des jeunes mères de famille, Meg a commencé sa vie de mariage avec la détermination d'être une maîtresse de maison exemplaire. John devait trouver sa maison un paradis, il devait toujours voir un visage souriant, manger somptueusement chaque jour et ne jamais perdre un bouton. Elle apportait tant d'amour, d'énergie et de gaieté à son travail qu'elle ne pouvait que réussir, malgré quelques obstacles. Son paradis n'était pas tranquille, car la petite femme s'agitait, était trop anxieuse de plaire et s'agita comme une vraie Martha, embarrassée par de nombreux soucis. Parfois, elle était trop fatiguée pour sourire, et John est devenu dyspeptique après un festin de plats raffinés, exigeant ingrate un repas simple. Quant aux boutons, elle a vite appris à se demander où ils allaient, à secouer la tête devant la négligence des hommes et à menacer de lui faire les coudre lui-même, pour voir si son travail résisterait à des doigts impatients et maladroits mieux que les siens.
C'est absolument infâme. Y a aucun style, toute l'ironie a disparu, les enchaînements sont catastrophiques, et on dirait une liste de courses.
Tiens il y a de l'ironie tout d'un coup. Ta lecture disait le contraire, je cite : " Y a aucun sous-texte féministe, c'est du pur premier degré, et la seule émancipation à laquelle la femme a droit chez Alcott, c'est dans le carcan profondément rigide du protestantisme. Il est hors de question qu'elle en dépasse"
Les messages sautent dans le topic mais la recherche reste éloquente.
Sinon, j'ai l'impression que le passage que tu cites passe à la trappe dans les traductions françaises, ce qui est ironique.