Forum de FilmDeCulte

totalement inadaptable, le saut de foi me parait difficile à concevoir

La normalisation de cette expression sur ce forum est la preuve qu'un jour, Film Freak dominera le monde.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Expression normalisée depuis longtemps et pas que sur ce forum.

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UBERLINKS toujours dispo sur OCS et MyCanal!

Hum non. Leap of faith s'est toujours traduit par "acte de foi", pas "saut de foi".

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Oui ce serait compliqué en effet mais il y a des images tellement géniales que j'adorerais les voir sur un écran. Mais c'est clair que le

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CroqAnimement votre

Jamais entendu/lu.

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UBERLINKS toujours dispo sur OCS et MyCanal!

Pareil. "Saut de foi" me semble totalement intégré dans le langage courant.

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CroqAnimement votre

J'ai déjà entendu "Acte de foi" mais uniquement dans un contexte religieux.

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

Ca fait plaisir tous ces gens qui découvrent ce bouquin, j'en avais entendu parler pendant des années et avais souvent tourné autour sans oser le lire, et ça a été chose faite en 2015.

C'est fou comme la SF d'antan était libre et se permettait avec une facilité déconcertante de ne ressembler à rien d'autre.

Malgré la difficulté à comprendre toutes les règles du jeu de ce monde inédit mêlant nombre de concepts pratiques comme théoriques, Priest réussit à rendre ça tangible sans se perdre lui même ce qui est le plus important. Gros character driven avec un Sense of Wonder frappant à quasi chaque page, je me suis vraiment régalé et j'ai déjà envie de le relire, je me laisse encore quelques mois de vieillissement avant de me relancer.

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Ca fait plaisir tous ces gens qui découvrent ce bouquin, j'en avais entendu parler pendant des années et avais souvent tourné autour sans oser le lire, et ça a été chose faite en 2015.

C'est fou comme la SF d'antan était libre et se permettait avec une facilité déconcertante de ne ressembler à rien d'autre.

Malgré la difficulté à comprendre toutes les règles du jeu de ce monde inédit mêlant nombre de concepts pratiques comme théoriques, Priest réussit à rendre ça tangible sans se perdre lui même ce qui est le plus important. Gros character driven avec un Sense of Wonder frappant à quasi chaque page, je me suis vraiment régalé et j'ai déjà envie de le relire, je me laisse encore quelques mois de vieillissement avant de me relancer.

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Oui c'est vrai initialement ça vient de ton top, merci. Comme quoi les tops ça sert à quelque chose.



Castorp va faire un AVC .

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CroqAnimement votre

Tu tapes saut de foi dans google, tu tombes que sur des sites de gaming et apparentés.
C'est du langage Internet complètement calqué sur l'anglais. Et c'est récent.



Tu utilises ça en dehors de la génération Internet anglophone, prêt à parier que personne ne comprend.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Mais non, je ne traduis pas les mots.

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Quelques lectures récentes (je lis beaucoup plus cette année pour me sortir de cette atmosphère fétide):

- Le problème Spinoza - Irvin Yalom: étant adepte du philosophe, j'ai bien aimé cette tentative de reconstruction de la vie de Spinoza dont on ne sait pas grand-chose, à partir de ses écrits philosophiques. En bon psychanalyste, l'auteur invente un partenaire de conversation à Spinoza. La recréation de la personnalité de Spinoza est un peu plus gênante, pas blâmable en soi mais pas très convaincante avec toute cette candeur distillée à longueur de bouquin. Là où j'ai été déçu aussi c'est sur le parallèle avec le dignitaire nazi, je pensais qu'il y allait avoir une vraie confrontation des idées et finalement l'auteur se contente de juxtaposer la haine des religions en tant qu'endoctrineurs de masse par Spinoza, avec la haine des juifs par Rosenberg. On comprend l'idée mais ce n'est pas tout à fait abouti. Bouquin agréable et intéressant cependant, à conseiller à ceux qui n'auraient pas lu le grand penseur.

- L'Etranger - Albert Camus: il est facile de gratter la surface du classique indéboulonnable pour y trouver le livre coup de poing, bouleversant dans sa simplicité qu'il était à sa sortie. L'écriture est prodigieuse. Il a été adoré par plein de connaissances qui ne lisent pas donc il faut croire que l'oeuvre a un pouvoir de séduction spécial.

- Madame Bovary - Gustave Flaubert: là aussi, l'écriture vive, expressive et subtilement mordante de Flaubert ressuscite éternellement ce jalon de l'histoire littéraire. On dit qu'il ne s'y passe pas grand chose mais entre les événements à proprement parler et ce qu'il faut interpréter des troubles intérieurs des personnages, je ne me suis jamais ennuyé.

- La Moustache - Emmanuel Carrère: j'aime bien son écriture précise centrée sur le quotidien et les objets, cela donne d'autant plus de force et de surprise à ce glissement progressif vers le drame. Curieux de voir le film.

C'est clair, et au vu de tes choix, ya de quoi se marrer dis donc !

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Netflix les gars, Netflix.