Forum de FilmDeCulte

Avec ce fillm, Brad Bird signe un des derniers chefs d'oeuvres de l'animation 2-D. Avec un sens du rythme tout droit sorti de l'école Simpsons, des persos très travaillés et un arrière plan réaliste, il arrive à transcender une histoire toute simple, et signe un classique instantané.

La dernière séquence, absolument sublime, distille une émotion toute particulière, digne du dernier plan de Monsters Inc.

Quand je pense que c'est un film que je ne voulais pas voir...
Je l''ai manqué en salle (je l'ai même évité), après je l'ai acheté en DVD et j'ai dû mettre un ou deux an pour le regarder...

Et putain, c'est un CHEF D'OEUVRE !!

J'ai pris ma claque, j'ai adoré, et si je m'en souviens bien, j'ai même dû avoir les larmes aux yeux à la fin...

5/6

Le 6/6 c'est pour quoi ? Le jour où tu verras la Vierge ?

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I think we're gonna need a helmet.

LOL.

Clair. PUTAIN. "chef-d'oeuvre" = "6/6"... non?

Bref. Depuis The Incredibles (6/6 et chef-d'oeuvre), je rêve de voir ce film.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Ben je ne l'ai vu qu'une seule fois...
J'ai sur-adoré en le voyant, mais là, comme ça, j'ai pas plus envie de le revoir. le 6/6 c'est pour les films que je peux voir et revoir sans problème.
The Incredibles c'est 6/6.
Sinon tu mets 6/6 à tort et à travers et ça veut plus rien dire...

Mais si un jours je vois la Vierge je mets 6/6 bien-sûr

Merci Hal5 pour cette critique, à laquelle j'adhère à 100%! Longue vie à Brad Bird.

J'ai déjà envie de le revoir.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

C'est bien ça le problème. Je deteste les films qui me font pleurer!
Apres, c'est sur qu'objectivement, c'est pas mal...

Ce sont ceux que je préfère...

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Ah bah y a plus d'image.



Voilà.

Bon, c'est toujours un peu chaud de découvrir un film avec une telle réputation, et encore plus d'essayer de pas prendre en compte le statut mastodonte de "dernier grand film US en 2D" - ce qui reste encore une vérité aujourd'hui. Perso, c'était surtout l'occasion de vérifier que Brad Bird valait plus que les deux semi-déceptions (entre 36 guillemets) que constituent pour moi Les indestructibles un peu, et Ratatouille beaucoup. Et c'est gagné : tout le côté affamé et épileptique des deux Pixars, surdécoupage hystérique pour l'un et plan-séquences patinage pour l'autre, cette façon de jamais savoir se poser un peu pour profiter de la scène, d'essayer d'en extraire jusqu'à la dernière goutte utile, tout ça n'existe pas (encore) ici. Il reste donc le meilleur : une réalisation excellente, inventive et pourtant sobre, qui dame le pion à pas mal de Disneys de la même époque, ainsi que ce talent évident pour peindre les relations et échanges dans toute leur énergie et leur rugosité. Le gamin, dont l'animation est un pur joyau, me rappelle le meilleur des Indestructibles, sa première partie familiale, ses petits drames intimes à qui la mise en scène donnait une exceptionnelle ampleur.

Et il en faut, de l'ampleur, pour injecter de la fraicheur à un canevas aussi balisé (certes peut-être d'autant plus après dix ans supplémentaires de dessins animés - on peut penser à Dragons, d'ailleurs). C'est peut-être parce que Bird débute, c'est peut-être aussi les dogmes de l'époque qui sont écrasants, mais entre la musique omniprésente et le risque sans cesse frôlé d'une certaine niaiserie, j'ai l'impression que le film se prépare une sorte de constant filet de sécurité, des gros chaussons de codes vus et revus ("niaiserie" c'est un peu fort, disons plutôt qu'il y a des facilités pas très charismatiques, des excès de sentimentalisme et une tendance à en faire toujours un poil trop en ce sens : tout le trip Superman, "tu es ce que tu choisis", la morale planplan sur les armes, etc...), alors que Bird sait très bien faire naître l'émotion tout seul, par la qualité de son écriture, de sa mise en scène et de son rythme, et qu'il pourrait juste tout miser là-dessus sans cette surcouche inutile. C'est dommage. Alors on peut dire que c'est vraiment chercher des poux à un DA qui se lève cent coudées au-dessus de la production, mais la qualité du film pousse à être un peu exigeant avec lui.

Sinon je sais pas à quel point c'est autobiographique (le récit se déroule l'année de la naissance de Bird), mais j'aime beaucoup la peinture assez intime qu'il y a là des années 50 aux USA, où le domestique d'une bourgade rurale et de ses paysages nationaux emblématiques se mêlent avec une évidence étrange à toute une imagerie de la ferraille, de la paranoïa, des interrogatoires, de la bombe en filigrane... Tout cette atmosphère fait du géant une sorte d'image poétique, détournée, réappropriée de la guerre froide vue à hauteur de gamin, comme l'arrière-plan constant d'une enfance qui n'en saisirait pas réellement la nature, qui en ferait une part naturelle de ses angoisses et de ses jeux. Ce côté là reste discret, mais ça participe aussi à donner un film un cachet particulier et précieux qui le sort un peu de son ultra-classicisme.

5/6

Je lui ai redonné sa chance après une première vision décevante il y a une dizaine d'années et je reste sur la même impression de film mignon mais assez basique.

J'aime bien l'univers et le postulat de départ mais je trouve l'écriture franchement simplette.
Pendant près d'une heure, il ne se passe quasiment rien. On alterne entre scènes d'amitié enfant/robot et séquences montages/remplissages de l'enquête et le moindre noeud dramatique est toujours réglé très vite.

Je trouve ça bien trop court (1h10 à peine) pour développer tout ça correctement (je pense à des films comme E.T. ou Dragons, bien plus réussis concernant la relation centrale ou la menace extérieure). On voit qu'il s'agit à la base d'un livre pour enfants de 59 pages.

La réa est classe et les 10 dernières minutes tuent cela dit, mais j'aurai trouvé ça plus fort si le récit allait au-delà du B.A.BA.

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T'es un bidong.

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Netflix les gars, Netflix.

C'est ce film qui est bidong.

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Oui, c'est apparemment ce que tout le monde en pense.
T'ES TOUT SEUL

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Netflix les gars, Netflix.

Il préfère star trek.

La monnaie de ma pièce


Je cherche la vanne.

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