Forum de FilmDeCulte

Bah c'est plutôt clair, c'est le mec qui cite son influence filmique principale, et c'est le perso qui mate aussi un film qui l'inspire...

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Bah si c'est ça, c'est con en effet. J'imaginais que ça pouvait être quelque chose de plus freaky genre "ouais je sais que vous allez comparer mon film à Heat, donc je cale une référence pour mettre les pieds dedans et clore le sujet".... Non jdois être un peu con en fait.

Captain obvious. C'est un meme quand quelqu'un dit un truc d'ultra logique et évident.
Du genre :



J'en ai de la culture nerd, hein !

Mais que t'es couillon.

Fais chier, j'y faisais une petite référence dans mon scénar, faut que je l'enlève (mon script n'est PAS inspiré de Heat).

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I think we're gonna need a helmet.

Le citer dans un film qui n'en est pas inspiré c'est une chose.

Mettre un extrait dans un film à la trame similaire, c'en est une autre.


J'avais fait ça sur mon 2e court, Big Boys, où un mec mate Uma Thurman sniffer de la coke au moment où il en sniffe aussi.

J'avais 15 ans.

cela dit moi y avait un sens vu que la thématique du film c'était "des petits qui, inspirés par le ciné, se prennent pour des grands"

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Ah non moi aussi y a un sens, et puis ça fait référence à une vraie anecdote : un pote a été arrêté pour vol et s'est retrouvé interrogé dans le bureau d'un flic. Derrière son bureau, il y avait un gigantesque poster du film. Mon pote n'arrivait pas à se concentrer sur ses explications. Le flic a remarqué qu'il fixait l'affiche, et du coup ils ont parlé de Michael Mann pendant 15 minutes ! A la fin, il l'a relâché en lui collant un rappel à la loi.

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I think we're gonna need a helmet.

Bah voilà c'est génial ça (personne ne te croira mais bon).

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J'ai adouci l'anecdote, effectivement.

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Long et mou. Le scénario est ULTRA basique, je me demande encore comment on peut se prendre de passion pour cette histoire et avoir envie de la mettre en images. Visuellement c'est également basique, on n'est jamais face au grand polar urbain auquel on aurait pu s'attendre. Les personnages sont sans intérêt, basiques également, voir même carrément absents (en gros, il ne sait pas trop quoi faire de ses deux autres complices, seul Renner l'intéresse - là où Mann faisait exister tous les mecs de la bande dans Heat), et la ville n'a finalement aucune importance.
2/6

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Anthony Sitruk - Bien sûr, nous eûmes des orages
(168 pages, 14.00€)
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classique, mais c'est tout bon.
Heat à Boston, mais c'est tout bon.

à part un ou deux trucs qui n'ont dérangé comme le fait de ne porter que des vestes "Boston" pour bien dire qu'on est "bostonais"...mais sinon génial.

5/6

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Film que j'ai aimé rattraper en blu-ray mais qui va être revendu rapidement. Sans que ce soit jamais mauvais, j'ai trouvé ça d'une banalité assez folle, sur le modèle d'un Eastwood mineur que je n'arrive pas à détester mais dont je ne me souviendrais pas longtemps. Il n'y a rien de neuf dans The Town, ni rien de vraiment émouvant. La comparaison médiatique avec Heat me fait doucement rigoler. C'esr assez convenu, pas vraiment ambitieux, et j'ai l'impression qu'on a essayé d'en faire un grand polar, ce qu'il n'est pas du tout. Heureusement qu'il y a Renner, Rebecca Hall, et Jon Hamm, pour donner une patine spéciale au film. Sinon ce serait l'encéphalogramme plat.

Un 4/6 parce que je suis d'humeur, mais franchement j'y repense et ça peut valoir moins

Tiens j'avais raté ce message. Abusé en effet. Les mecs incapables de relire leurs propres scripts !

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CroqAnimement votre

Oui mais c'est à relativiser : ce n'est que sur la version longue je crois.

Bonne surprise, hier soir.
J'avais commencé à regarder sans enthousiasme Burn after reading et sur le programme TV, je vois The Town sur HD1.
J'ai zappé, pour voir, et je suis restée.
Ben Affleck, l'acteur, ne m'a jamais plus interpellée que ça; le réalisateur me paraît très honnête. Il a concocté un film qui ne brille peut-être pas par son originalité mais qui remplit son contrat. J'ai bien aimé le fait qu'il écorne quelque peu son image de Mr Right pour camper ce malfrat ambivalent, tatoué jusqu"aux oreilles (super sexy, son dos pendant la scène d'amour ).
Jeremy Renner est très très bon dans le rôle de son meilleur ami, électron libre incontrôlable.
Y'a que le flic qui me gêne, enfin l'acteur qui l'incarne, il est trop ou pas assez et ça tient aussi bien au physique qu'à son jeu : trop clean, trop rigide, trop irréprochable; bon flic, je n'en disconviens pas mais il n'attire pas la sympathie. J'ai pas eu envie une seule seconde qu'il réussisse son enquête. A côté de lui, le perso de Renner était presque empathique malgré sa violence exacerbée.
Ah et puis, oui, les vues aériennes de Boston : très chouettes !

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"Le cinéma, c'est le sang, les larmes, la violence, la haine, la mort et l'amour"
Douglas Sirk