Forum de FilmDeCulte

Je suis d'accord. On va évidemment passer pour les bouffons connards, mais je trouve que c'est une indulgence vis-à-vis d'un copain cinéaste. Je reprécise quand même que je trouve le film très correct dans l'ensemble.
Par ailleurs, le coup du saxo n'est pas un si bon exemple, car je trouve que le premier plan (saxo en arrière-plan) suffit et que le second appuie un peu trop la touche "exotique". Limite, le coup du parcmètre aurait peut-être trouvé sa place là.

Pour moi ça n'aurait pas marché non plus, on comprend tout de suite que


Mais je suis d'accord pour dire qu'il manque un peu un tragique, une flamboyance à la fin.

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CroqAnimement votre

La repartie qui s'autocommente. J'avoue je peux pas test. Non mais les commentaires de potes qui ont fait un caméo, ont une affection particulière pour le film et le réalisateur je peux comprendre, même s'ils ne sont que ça. Un discours de mariage est plus incisif dans le même style. Mais le truc qui consiste à faire des montagnes de détails "sympas" me donne envie de vous inviter à écrire un manuel :"Comment faire un film sympa et qui sorte de l'ordinaire".
En fait ce topic, et Massinfect en est le dernier responsable, renseigne de manière intéressante sur le nivellement par le bas qui peut s'opérer au nom des liens amicaux et d'un éventuel chauvinisme ("film d'action français").
Mais pour le prochain film il aura un dialoguiste américain (Karloff), plus de fric (tout le monde), et un xylophone dans le coin d'un plan. Tout va bien.

Ou une plus grande légéreté au début, et notamment à travers Lino.

Oui. En fait, le plan de fin de la baston avec Lalanne, ce hors-champ en travelling arrière, effleure un peu cette idée de tragique. C'est pourquoi j'ai été bien déçu par la découverte du "champ", à la fin de la séquence, qui désamorce ça. Je vois bien la pirouette, mais bon, bof.
Par contre, la scène de Duvauchelle marche plutôt pas mal en elle-même, une tragédie personnelle qui se joue, mais c'est furtif et assez isolé.

Mais j'étais peut-être distrait et je me répète



Il y a pas une sorte d'ambiguïté ?

Non.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Ne serait-ce pas la base?

Tu sais, j'aurais pu te répondre très sérieusement et avoir, pourquoi pas, un vrai dialogue avec toi sur le sujet (pour le coup assez pertinent de la réception d'un film de la part de potes (et aussi de non-potes - dont les réactions ne sont pas moins symptomatiques)), mais le sarcasme pas drôle, la moquerie facile et la déformation de propos mal compris me saoulent considérablement d'emblée et me confortent dans l'idée que j'en ai rien à foutre de ce que tu penses. J'ai passé l'âge de ce genre de connerie mec, et ça serait bien que tu grandisses un peu toi aussi...

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N'écoutez pas Film Freak

Vos discussions sur le film sont passionnantes à lire, vraiment. Et vous le savez, je ne suis pas du tout hermétique à la critique, bien au contraire. Et j'ai envie de croire que mes quelques potes ici (ou ceux qui m'aiment bien) ont justement fait le maximum pour être objectifs, en essayant de laisser leur indulgence de côté pour être constructifs. Par exemple les avis de Art Core, Z, Castorp et autres, sont (parfois très) mitigés. Ils ne se privent pas de m'en faire part, et je les remercie mille fois pour ça... Et c'est le même tarif pour ceux qui ne sont pas mes "potes" : qu'ils adorent ou détestent le film, je reçois leurs avis avec le même plaisir.

Et du coup c'est dommage que certains ici (ou sur Twitter) se sentent obligés de venir surcompenser les nombreux avis positifs avec des arguments bidons : "chauvinisme", "Le réal avait tout le Film Twitter dans la poche", "Ses potes en font des caisses pour dire du bien du film", etc... Rendez-vous service, tenez vous-en à votre avis sans chercher à recontextualiser celui des autres ou leur trouver une justification moisie. Vous avez des arguments pour parler du film, alors faites-vous confiance au lieu de perdre toute crédibilité en rajoutant une couche d'aigreur qui n'a pas lieu d'être. N'essayez pas d'exister à tout prix, et n'essayez pas de faire croire qu'il y a un délire collectif autour de Balle Perdue. Les gens qui ont aimé le film s'en foutent, et ceux qui - comme moi - auraient pu apprécier votre avis, se retrouvent à penser que ça cache quelque chose.

Si j'étais le dernier des cons je pourrais par exemple en déduire que vous avez une dent contre Netflix, ou bien que vous êtes des pisse-froid, etc. C'est certainement pas le cas, alors vos gueules par pitié. Aidez-vous... J'ai reçu des milliers d'avis sur le film, du monde entier, avec beaucoup d'amour et très peu de haine en comparaison, donc vous n'arriverez pas à imputer ça aux trois connards qui ont fait un caméo dans le film ou qui connaissaient son existence.

Et je dis ça pour vous, vraiment. Parce que pour moi, le fait que des gens s'étripent ou réagissent négativement au flot de critiques passionnées, c'est un signe d'excellente santé du film.

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Réalisateur de blockbusters d'action français dans une économie maîtrisée d'1h30 max hors générique

Lol pour ta signature

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Netflix les gars, Netflix.

Tiens Mass, qui a décidé du titre anglais du film ?
Parce que "Lost Bullet", ça veut vraiment pas dire grand-chose. L'expression "Balle perdue" se traduit par "Stray Bullet" en anglais, et si l'idée c'était de faire référence à la balle perdue de Duvauchelle, il aurait fallu rajouter un "The".

Autre chose : malgré le succès incontestable du film sur Netflix en dehors de France, il y a au final TRES peu de critiques presse qui ne soient pas en français, et je trouve ça assez étrange. Il y a une raison à ça ?

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Bah alors !
Je suis anti-netflix sinon mais bon ils produisent Adam Sandler donc je les en remercie. Il y a un réel engouement pour le film. Ce n'est pas, au hasard, "Un Vrai bonhomme" et tant mieux, mais je lis des remarques disproportionnées ici d'où ma réaction. Il était évident qu'on allait me taxer d'aigreur mais nulle aigreur de ma part.

https://www.parismatch.com/Culture/Cine ... ue-1691563

sinon je ne savais pas que tu connais des gens au New York Times, Massinfect, fais tourner bordel.

Quel cynisme!!!!! Marrant je connais l'auteur de l'article via sa soeur. Le fils de Ghislain Loustalot.