Forum de FilmDeCulte

It's done.

Me suis refait les 3 sur un peu plus d'un mois avec Noony...le 3e était le seul que j'avais pas vu...et ben waaaaaaah comme c'est pas gégééééééé...
Je sens que je vais me faire des ennemis (même si je crois savoir que le 3 est globalement considéré comme plus faible) mais j'ai trouvé ça bien moins rigoureux, dans le scénar, dans la mise en scène, dans les performances, que les deux autres (dont je ne suis pas non plus un fan inconditionnel mais je trouve le premier super fort et le second super riche, même si peut-être un pu trop inutilement compliqué et parfois redondant avec le précédent).

On va tout de suite écarter un point réputé : même si elle "coule" pas le film comme j'ai pu l'entendre, Sofia Coppola brille par sa laideur et son non-jeu (pas sûr que Winona Ryder aurait été mieux mais bon) et c'est plus la non-crédibilité de son histoire avec Vincent Mancini (Andy Garcia) qui plante un peu (en partie, parce que le film ne se limite heureusement pas à ça) le film.

Disons que c'est sous-développé, j'y crois pas...avoir une suite tardive comme ça, ça me laisse l'impression d'un chaînon manquant entre les deux précédents (bien plus liés ensemble) et ce dernier, avec sa quête de rédemption qui arrive comme ça, et vas-y qu'on y mêle une intrigue de corruption religieuse, et qu'on fictionnalise la mort de Jean-Paul Ier...pas sûr que cela soit très judicieux...

C'est con parce que les intentions sont là et elles sont bonnes mais déjà, l'absence de quasiment tout le monde (George Hamilton en bouche-trou de Robert Duvall...mouais), avec les deux vieilles qui sont encore là (ouais Talia, ouais Diane), ça sonne bizarre, ça sonne boîteux...j'adore la scène où Pacino appelle Fredo alors qu'il a une crise cardiaque, rien que dans cette scène, je sens plus de force et de regret que dans sa confession banale plus tard...d'ailleurs, Pacino est en mode "Pacino post '90s" presque en pilote automatique...je le trouve autrement plus habité dans Any Given Sunday ou The Insider...enfin chais pas...

Même le dernier acte qui se veut (littéralement) opératique est surfait je trouve...Coppola réussira mieux son coup sur tout Dracula deux ans plus tard...

Poï poï poï, qiue dire de plus...je sais pas, tout me parâit bâclé, aller trop vite (la progression du perso de Garcia par exemple).
Enfin bref...belle déception.

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Je ne saurai pas trop quoi écrire dessus aujourd'hui, mais je me souviens que ma vision du film avait été assez agréable compte tenu de l'horrible réputation qu'il a.

Je garde un excellent souvenir de la fin. Pas tant le fameux truc final, mais vraiment la toute, toute fin... Je trouve ça super beau, moi.

Bref sinon ouais j'ai rien qui me viens. Faudrait que je le revois.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Enfin cette scène j'aime beaucoup, mais un autre truc que j'adore c'est aussi

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Tu vis à Dijon?

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Sa chute est un peu bof jtrouve.

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Su-per.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Enfin ce mot j'aime beaucoup, mais un autre truc que j'adore c'est aussi

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Faut arrêter avec cette projection de gayittude sur une photo tout ce qu'il y a de plus NEUTRE quoi.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

lol

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Ozy m'a sorti que c'était gay tout à l'heure without concerting me...

I am not making this up.

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lol mais c'est pas du tout gay! C'est un profil neutre sur fond de mer!

C'est "ouf" ça.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Moi j'ai fondu en larmes à la confession, va savoir pourquoi. Mais oui Pacino est chelou dedans, tellement éloigné des deux premiers volets. En plus de ça il est mal vieilli... bref on l'a vu mieux un peu partout.

Ce que j'avais écrit dans la section du premier volet : Il est plus faible c'est sûr, mais il y a de grandes scènes, très puissantes émotionnellement - pour moi - parmis les plus puissantes de la trilogie. La confession évidemment, mais aussi quand son fils chante l'air si connu et qu'il repense au passé, tout le final à l'opéra est grandiose, le cri muet sur les marches... ppppfiou c'est évidemment chargé d'émotions grâce aux deux précédents volets, de lui-même le film ne fait pas naître grand chose, mais Michael se retenait tellement d'être humain dans les deux premiers volets, qu'ici ça explose... et c'est trop tard.


Pas faux. Mais je surkiffe néanmoins la séquence de l'opéra. J'aime bien le perso de Vincent Mancini même s'il fait un peu tâche dans la trilogie. Et j'adore le non-cri de Pacino à la fin. Y a quelques scènes que j'aime beaucoup, certains plans que j'adore (Mancini à cheval qui bute Zaza).

T'avais écrit un p'tit quelque chose sur les deux premiers volets ?

Such a gaylord.