Forum de FilmDeCulte

ok.
why not, oui (c'est marrant, c'est la partie que je trouve la plus faible d'INLAND... ).

Tu as lu l'article de Chauvin sur le site de Chronic'art? Assez mal écrit, mais pas faux.

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j'y vais de ce pas


Oui, ben, il dit à peu près la même chose que nous en fait... Finalement le film vieillit moyen en moi.

Y a des faiblesses dans INLAND ?

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bah ouais, moi ces séquences à l'est sont la seule chose que je trouve en-dessous du reste du film... quant à l'expliquer, heu...

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Non je rigole, je pinaille là. Moi j'aime tout mais je comprends tout à fait.

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Zad, pour moi le film n'est pas sur l'avortement mais beaucoup plus un film sur la femme et sa condition. La scène chez le petit ami est d'ailleurs clé dans cette optique.

J'essaierai de revenir en détail sur ta critique.

Ouais mais c'est plutôt l'aspect narratif qui gêné ZAD. Moi aussi je trouve ça subtil.

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Mais les doléances de Zad sur la narration sont liées au fond du film justement, amha. "Le fait que la blonde quitte la brune..."

En ce qui me concerne la seule partie qui cloche dans le film c'est justement ce personnage un peu trop rêche de l'avorteur et le sacrifice un peu allez hop je me lance tu me dois une boîte de Tampax de la blonde...

Mais c'est parfaitement rattrapé par la scène très *Caché* du dîner chez la famille du petit ami, et par l'errance désespérée et nerveuse de la fin.

Sinon Zad, je ne pense pas que le réalisateur prétende à la grande oeuvre et se gargarise de sa palme il suffisait de voir son discours humble lors de la remise de sa récompense cannoise, sur la possibilité de pouvoir encore faire des films sans stars et avec des histoires difficiles. Avant tout ça reste un film fragile.

heu, quand même... jusque dans le titre, hein... je dis pas que ça parle exclusivement-exclusivement de ça, effectivement ça parle de solidarité, mais c'est quand même le coeur du truc.

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ouais, bizarre le traitement de ça, hein... le "enfin bon", c'est fait, c'est fait, quoi... mais en même temps je ne reproche pas ça au film, au moins cette séquence surprend, c'est p-ê là qu'on quitte un peu le programmatique... Elle aurait pu tellement lui en vouloir (d'autant qu'elle est cruchasse, la brune), se barrer, et revenir trop tard (scénario possible).

quand même, sinon, DPSR, le côté "virtuosité regardez-moi", je suis pas le seul à le voir d'après ce que j'ai pu lire dans la presse.

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Ca non vraiment je vois pas. Je dit pas que le film n'est pas formaliste, la forme y est affichée c'est une évidence, mais cette dernière n'est pas là uniquement pour la beauté du geste.

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C'est vrai qu'au bout d'un moment on a envie de la finir avec une scie rouillée. Heureusement que la blonde est une actrice épatante, j'espère que celle de Secret sunshine sera vraiment au niveau.

Sinon c'est définitivement pas virtuose... On peut pas parler de cinéma d'effet, même pour le foetus. Les images parlent juste pour elles même.

moi je ne trouve pas ça virtuose, mais j'ai l'impression que le film aimerait l'être (un peu comme Boarding gate, qqpart)

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Non je pense pas, trop sur de sa finalité. Il sait et fait ce qu'il veux à mon avis.

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