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MessagePosté: 02 Nov 2019, 13:46 
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Ah donc c'est bien des migrants sur la plage... Mouais pas convaincu par ça.

Sinon d'accord sur le manque d'ampleur. Je suis gré au film d'éviter les inévitables "séquences montages" pour montrer le temps qui passe mais il manque quelque chose. Surtout on ne le voit quasiment pas écrire ou pas assez alors que dans le roman on comprend qu'avant même d'être publié il a déjà écrit un nombre considérable de livres en tout genre (poésie, essai, roman)...

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MessagePosté: 02 Nov 2019, 16:49 
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latique a écrit:
Vu le film aussi après avoir lu le roman. Pour un film qui prétend embrasser toute une vie, tout un siècle, j'ai trouvé que ça manquait d'ampleur dans le rythme, qu'on ne sentait pas vraiment le temps passer. (Par exemple, le passage de la dèche à la gloire m'a paru tellement abrupt que je me demande comment on s'y retrouve, quand on n'a pas lu le bouquin)

Art Core a écrit:
Surtout on ne le voit quasiment pas écrire ou pas assez alors que dans le roman on comprend qu'avant même d'être publié il a déjà écrit un nombre considérable de livres en tout genre (poésie, essai, roman)...



Intéressant. Pour quelqu'un comme moi qui n'a pas lu le roman, les points que vous citez et jugez négatifs ne me dérangent absolument pas du tout et je les trouvent même habilement menés.

Cantal a écrit:
Abyssin a écrit:
c'est malheureusement sorti incognito


La presse en a quand même pas mal parlé
Je parle du nombre de salles et du temps que ça va rester en salles.


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MessagePosté: 02 Nov 2019, 18:55 
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Abyssin a écrit:
Intéressant. Pour quelqu'un comme moi qui n'a pas lu le roman, les points que vous citez et jugez négatifs ne me dérangent absolument pas du tout et je les trouvent même habilement menés.

Je ne l'ai pas lu non plus et je suis 100% en accord avec toutes les réserves listées ici. Et pas que. Je ne sais pas comment cela est traité dans le roman (encore que dans l'absolu on s'en fout, je fais parti de ceux qui ne voient aucune obligation à ce qu'une adaptation cinématographique colle à la lettre d'un roman), mais la "révélation" initiale de Eden, qui se découvre une vocation d'écrivain parce que la petite bourgeoise (excellente Jessica Cressy, pour moi le personnage le plus réussi du film) lui a tapé dans l’œil, j'ai trouvé cela bien rapidement expédié et assez peu crédible. Je m'étonne aussi du consensus positif autours de l'acteur principal, je le trouve correct sans plus, en tout cas pas du tout follement charismatique.

Art Core a écrit:
Et quitte à faire mon poseur, j'avais préféré un autre film de Marcello, La bocca del lupo, documentaire mâtinée de fiction assez proche formellement de ce Martin Eden.
Pas vu celui-là mais le précédent (Bella e perduta) fut une véritable torture. Marrant de voir que Zad l'a adoré alors qu'il faisait plus que la fine bouche sur La Bocca del lupo (d'ailleurs le nom du réalisateur est incorrect dans le site de note pour ce film, si quelqu'un veut bien se charger de le rectifier...).


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MessagePosté: 02 Nov 2019, 19:02 
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Corrigé et pas vu son précédent dont je me rappelle effectivement l'accueil assez mitigé.

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MessagePosté: 02 Nov 2019, 19:21 
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Lohmann a écrit:
Abyssin a écrit:
Intéressant. Pour quelqu'un comme moi qui n'a pas lu le roman, les points que vous citez et jugez négatifs ne me dérangent absolument pas du tout et je les trouvent même habilement menés.

Je ne l'ai pas lu non plus et je suis 100% en accord avec toutes les réserves listées ici. Et pas que. Je ne sais pas comment cela est traité dans le roman (encore que dans l'absolu on s'en fout, je fais parti de ceux qui ne voient aucune obligation à ce qu'une adaptation cinématographique colle à la lettre d'un roman), mais la "révélation" initiale de Eden, qui se découvre une vocation d'écrivain parce que la petite bourgeoise lui a tapé dans l’œil, j'ai trouvé cela bien rapidement expédié et assez peu crédible. Je m'étonne aussi du consensus positif autours de l'acteur principal, je le trouve correct sans plus, en tout cas pas du tout follement charismatique..


Lol tu caricatures pas mal quand-même. On va plutôt dire que la relation "prof"/élève les rapproche.
Moi j'ai trouvé tout le côté "Je deviens écrivain avant de découvrir le succès" assez longue et bien exposée. D'ailleurs ça tient combien de temps dans le film? 1H30? Enfin bref je voulais surtout souligner la différence de ressenti qu'on peut avoir entre lecteur du roman et non lecteur.
Et la réserve sur la crédibilité du "rustre qui devient écrivain", ce n'est que mon avis mais j'y ai cru à 100%. Je trouve l'écriture du personnage très juste, ce qui m'a bien mis dedans.


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MessagePosté: 02 Nov 2019, 19:25 
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Abyssin a écrit:
Moi j'ai trouvé tout le côté "Je deviens écrivain avant de découvrir le succès" assez longue et bien exposée.

Ce n'est pas de cela que je parle, mais du moment où il passe de marin illettré qui lève des donzelles et aime faire le coup de poing à mec fasciné par la bourgeoisie et la culture et se projette comme futur écrivain.


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MessagePosté: 02 Nov 2019, 20:36 
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Personnellement, j'ai trouvé ça crédible à l'écran. L'homme candide privé de culture et qui voit soudainement tout un monde de possibilités s'ouvrir à lui avec les livres et éprouve après le souhait d'en écrire lui-même.
Après c'est clair que si tu n'es pas convaincu par cette "transition", ça te nique un peu le film comme dirait l'autre.


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MessagePosté: 05 Nov 2019, 13:52 
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Toujours étonné par la capacité d'Art Core à s'appesantir sur des détails sans importances ou à faire des projections fantaisistes sur un film.

Sinon, tout bien réfléchi, Jack London, dont Martin Eden est l'alter ego, c'est la première rockstar, au sens de personnage qui dans le domaine du "spectacle" acquiert de son vivant un statut d'icône, qui s'est extirpé de sa classe sociale pour frayer avec les puissants, les nantis et les héritiers. La rockstar est une incarnation romantique du rêve américain dont les romans de Horatio Alger étaient à l'époque le pendant puritain et prosaïque. Cette lignée a prospéré, de manière plus ou moins heureuse, jusqu'à Kurt Cobain ou 8 mile. C'est pourquoi en voyant le film, j'ai pensé surtout aux récents Leto et The Beach Bum de Harmony Korine. Comme ces deux films, Martin Eden a l'ambition de présenter une matière vibrante, gorgée d'images diverses avant tout, pour rendre compte d'un sentiment d'exaltation romantique et de gueule de bois, une espèce de magma bouillonnant (qui remet aussi en mémoire le Bellochio de Vincere), aux airs de long video clip. Ce qu'il y a d'émouvant dans le film, c'est qu'il met en scène une ambition d'écrivain qui n'aura plus jamais cours. Plus personne ne dira jamais "je voudrais être écrivain", en espérant s'enrichir et en même temps maintenir une forme d'authenticité et de sincérité. C'est ce que montrait d'une certaine manière le personnage anachronique du poète dans The Beach Bum, incarnation d'une sorte d'archétype, l'écrivain, depuis longtemps révolu et dont ne subsiste plus qu'une sorte de fantasme qui continue de se dissiper mais exerce toujours une sorte de fascination peut-être précisément parce qu'il n'existe plus. Le personnage de Martin Eden est donc l'incarnation d'une illusion romantique qui s'est estompé en l'espace de quelques décennies à peine. Le film, pour illustrer cela, se sert à foison d'images d'archives, vraies ou fausses, variant les formats, créant une espèce de flou artistique par rapport à la temporalité, même si l'action se situe dans les années qui ont précédé le fascisme, plutôt conforme donc à la société décrite dans le roman de London, même si ça se passe ici en Italie. Il en joue avec un peu de facilité mais aussi un mérite certain.
Marrant de voir sinon que Martin Eden annonce à certains égards la pensée d'Ayn Rand mais y oppose une espèce de romantisme tragique (Jack London voulait s'en servir pour faire la critique de l'individualisme).

Art Core a écrit:
Mais j'ai été très dubitatif et finalement assez déçu par le dernier acte qui m'a semblé assez grossier et, pour tout dire, un peu raté. La transition entre les deux Martin Eden, celui qui n'y arrive pas et celui qui y arrive est bien trop brutale et surtout presque caricaturale. Retrouver Martin Eden en espèce de grand aristocrate déécadent dépressif suicidaire j'ai pas trop compris (sans parler de ce choix hyper bizarre des dents tâchées).

La transition ne m'a pas choqué. Le dégoût qui accompagne l'ascension social du personnage n'est-il pas présent dans le roman ? C'est un contresens d'en parler comme un grand aristocrate alors qu'il se contente d'occuper une espèce de palais. Les dents tachés marquent juste sa déréliction. On peut trouver ça con mais c'est juste un détail.

Art Core a écrit:
Impression que le film se sépare de la trajectoire profondément intime de Martin Eden pour rentrer dans quelque chose de plus trouble et surtout moins réussi.Dans le roman la désillusion de Martin Eden est très simple, il ne comprend pas pourquoi on le respecte maintenant qu'il a du succès alors qu'on le méprisait quand il n'en avait pas. Il a une incommensurable déception dans l'Homme, dans son semblable.


WTF, c'est exactement ce que le film dit, à défaut d'asséner.

Art Core a écrit:
Là c'est plus indistinct, comme une lassitude aristocrate de vivre où l'on brûle la vie par les deux bouts (ce duel). C'est vraiment différent (d'ailleurs la phrase qui revient souvent dans la fin du roman comme un leitmotiv funèbre "mais j'étais le même" n'est prononcée qu'une fois dans le film sans que ça devienne un sujet en soi.

Nawak. Et donc une phrase essentielle est prononcée qu'une fois dans le film au lieu d'être martelée, ce qui diminuerait son importance ? Par ailleurs, cette idée est suffisamment répétée, et c'est ce que l'histoire d'amour un peu niaisement illustre fort ostensiblement.

Art Core a écrit:
Comme l'idée qu'il a volé le poème de Brissenden qui est bien mal intégrée dans le film. D'ailleurs c'est aussi un autre point noir. L’œuvre de Martin Eden est, dans le roman, une œuvre qu'on connaît très peu mais qui semble avoir une vraie valeur, une vraie qualité alors que là dans le film on finit par se demander s'il n'est pas une espèce d'imposteur. Cela rejoint un autre problème, la question du travail. Dans le roman Martin Eden est montré comme un monstre de travail qui passe ses journées à lire et ses nuits à écrire. On ne le sent pas du tout dans le film. D'où cette sensation d'un écrivain au succès presque immérité.

Délire complet. Il est bien montré comme un bourreau de travail dans le film qui s'obstine à envoyer ses manuscrits qui sont systématiquement refusés. Je ne sais pas ce qu'il te faut de plus. Par ailleurs, Martin Eden est un alter ego de Jack London. Si on a bien ça en tête, on a encore moins l'idée farfelue qu'il est présenté comme un imposteur.


Art Core a écrit:
Et au delà de ça, la toute fin m'a semblé ratée. Le film propose une espèce de fuite presque onirique avec une entrée dans la mer laissant ouvert le sort du personnage qui m'a paru presque clichée. Et le groupe de noirs sur la plage, j'y ai vu une allusion aux migrants d'aujourd'hui et pour le coup je trouve ça maladroit

Comment peux-tu penser que la fin est ouverte alors que tu as bien lu le roman et tu sais ce qui s'y passe. Tu te mets dans la peau de quelqu'un qui ne l'a pas lu. Elle n'est à vrai dire pas si ambivalente que ça, plus lyrique certainement. Une allusion maladroite aux migrants ? Encore faut-il l'expliquer ? Ok si tu me dis que cette allusion est plus un détail cosmétique qu'autre chose pour un film où les choses n'ont finalement pas tant d'épaisseur que ça.

Baptiste a écrit:
Quand l'écrivain est attablé dans une petite salle comble et qu'un sinistre personnage se lève pour porter un toast, avant que l'assistant de Martin Eden ne lui dise "Nan mais il est pas en accord avec vos idées", je pense que c'est le fascisme italien.

Sans blague ? Mais vous matez les films ou vous êtes juste des ignorants historiques ? Les chemises noires sur la plage à la fin sont bien des fascistes italiens. Ce n'est même pas une allusion c'est comme un nez au milieu de la figure.


Dernière édition par bmntmp le 05 Nov 2019, 14:15, édité 1 fois.

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MessagePosté: 05 Nov 2019, 14:14 
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Séduit et emporté par la première heure/heure et demi. L'acteur est fabuleux, il porte le film ; le souffle romanesque rétro est là ; et le grain de l'image donne l'impression de regarder un vrai film italien de l'époque.
Mais quelle époque, justement ? Ce floutage permanent est assez fécond. Au début j'ai cru qu'on était en 1910, puis subitement dans les années 50, avant de glisser vers les années de plomb. A ce titre la transposition dans la botte est ultra-pertinente. La gestion des plans d'archives apporte également au film une texture supplémentaire: ceux assumés comme tel, à la manière d'un Godard ou d'un Stone, et ceux mêlés subrepticement au montage. C'est tellement bien fait qu'à certains moments tu crois mater un plan d'archives et hop! Martin Eden débarque. Ce tissu audiovisuel parfois lisse, parfois patchwork, porte le film et lui donne une vraie dynamique.

Mais passée cette première heure et demi entraînante, la transition vers le succès et le look 90s de Martin se fait par trop abrupte. J'avais l'impression d'avoir raté un chapitre. Ce qu'Art Core dit du roman à l'air super, mais je l'ai pas ressenti suffisamment dans le film, j'ai pas réussi à "lire" la déchéance du perso.

Le dernier plan dunkerquien est bien, mais le floutage des époques se fait alors grossier, entre les fascistes d'un côté et les simili-migrants de l'autre. Dommage de finir sur cette note trop symbolique qui gâche un peu le plan de l'eau.

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MessagePosté: 05 Nov 2019, 15:29 
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Pas vraiment séduit de mon côté. Le film a quelque chose d'un peu lisse, que ce soit dans la reconstitution d'époque ou la représentation du personnage de Martin Eden. Les choix formels imbriquant traitement de l'image et film documentaire donnent quelque chose d'homogène mais mis au service d'une représentation un peu bourgeoise, de mise à distance...et d'une douceur qui ne colle pas trop au livre et au sujet. Adaptation ni évidente, ni nécessaire.

Qui-Gon Jinn a écrit:
Le dernier plan dunkerquien est bien.


Aussi une reprise de la fin de Mort à venise...ou Crin-blanc



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MessagePosté: 05 Nov 2019, 15:45 
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Bordel tpmp, le ton de ton message est tellement désagréable que j'ai aucune envie de te répondre.

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MessagePosté: 05 Nov 2019, 16:08 
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Pas vraiment de réponse à apporter, c'est pourquoi je me suis permis ce ton-là.


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