Forum de FilmDeCulte

Le forum cinéma le plus méchant du net...
Nous sommes le 18 Nov 2024, 07:45

Heures au format UTC + 1 heure




Poster un nouveau sujet Répondre au sujet  [ 124 messages ]  Aller à la page Précédente  1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9  Suivante
Auteur Message
MessagePosté: 14 Oct 2019, 00:27 
Hors ligne
Schtroumpf sodomite
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 22 Mar 2006, 22:43
Messages: 24601
Localisation: Arkham Asylum
Lohmann a écrit:
Tetsuo a écrit:
les cinéastes qui réfléchissent sur eux-mêmes, ça va pas bien loin.
Alors que Huit et demi est le plus beau film du monde, tsss


Non.
C'est même un gros cqfd pour moi.

Mais Intervista, oui !

_________________
N'écoutez pas Film Freak


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 14 Oct 2019, 00:46 
Hors ligne
Sir Flashball
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 23 Déc 2013, 01:02
Messages: 23851
Tetsuo a écrit:
Non.
C'est même un gros cqfd pour moi.


On est d'accord.

Il y a des trucs somptueux dans ce film, mais depuis que je l'ai vu, il a vieilli dans ma tête comme un truc assez vain et prétentieux. 2h de regardez ma bite, quoi.

_________________
"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 14 Oct 2019, 01:00 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 23 Juil 2011, 12:46
Messages: 14460
Tetsuo a écrit:
[c'est parce que je trouve que quelque chose ne fonctionne pas dans tous ces films.

Et que moi que je trouve que ça fonctionne, c'est surtout ce que voulais dire plutôt que le simpliste "J'aime ou Tu n'aimes pas". Je reprends ton dernier paragraphe demain pour te répondre en détails mais c'est justement ce que tu pointes sur la folie au cinéma où je suis en profond désaccord.

Pour l'antre de la folie, je l'ai vu il y a trop longtemps pour en parler en détails (envie de le revoir tiens) mais je trouve que c'est le Carpenter le plus brillant sur le plan de la "flippe" et au niveau de l'atmosphère et du crescendo de la dernière demie-heure. C'est vraiment le Carpenter qui m'a le plus marqué, plus qu'un The thing que je trouve pas mauvais mais qui me passionne pas des masses.

Lohmann a écrit:
Tetsuo a écrit:
les cinéastes qui réfléchissent sur eux-mêmes, ça va pas bien loin.
Alors que Huit et demi est le plus beau film du monde, tsss]
On est d'accord.


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 14 Oct 2019, 01:46 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 23 Juil 2011, 12:46
Messages: 14460
Extrait de ton texte Tetsuo
Citation:
Or, la folie n’est pas un très bon sujet de cinéma puisqu’elle ne se donne pas en spectacle et s’est affranchie de tous codes, dont ceux de la représentation. Elle n’aboutit souvent qu’à des lieux communs car la mettre en scène implique fatalement de l’édulcorer, de la romancer et de l’idéaliser.


Fondamentalement en désaccord avec "ne se donne pas en spectacle" surtout au vu des films cités dans le topic qui me semblent prouver le contraire. Et le "s'est affranchie de tous codes" qu'est-ce que tu veux dire par là?

Sur ta seconde phrase c'est exactement ce qu'on peut reprocher à la mauvaise adaptation d'American Psycho qui est une honte hormis l'exceptionnelle interprétation de Christian Bale.


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 14 Oct 2019, 16:49 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 24 Nov 2007, 21:02
Messages: 28383
Localisation: In the Oniric Quest of the Unknown Kadath
J'ai bien aimé le film que je trouve à la fois sincère et suffisamment singulier pour parvenir à exister assez fortement à la fois dans la galaxie super-héros actuel et plus simplement dans le cinéma hollywoodien contemporain. Son défaut majeur pour moi est cette sensation assez prégnante qui le traverse d'être fortement emprunté. Au delà de la double référence à Scorsese, on retrouve une ambiance New-York interlope des années 70/80 que l'on connaît bien et qui renvoie à tout un cinéma américain (de Warriors à Ferrara en passant par tout un cinéma d'horreur). Du coup on n'est jamais vraiment surpris et on traverse le film en se disant que c'est une film à la manière de. Au final on n'est pas si éloigné d'un Stranger Things dans cette nostagiasploitation, dans cet appel du pied quasi permanent à ce qui a déjà été.

Cependant le film est suffisamment bon pour s'en affranchir et ne pas rester bloqué à de la pure copie sans âme. L'étude de caractère du personnage est quand même passionnante. Je trouve que déjà l'idée géniale du film est de faire immédiatement du rire une source de malaise. Le rire du Joker n'est pas un attribut de méchant pour faire frémir ses adversaires, c'est plus simplement une maladie neurologique qui le rend de facto hyper anxiogène et s'avère non pas son point fort mais en réalité son plus grand point faible. Celui qui le place à l'extérieur, qui le rend différent. Et j'aime beaucoup cette manière de nous décaler légèrement cette révélation, rendant la première scène chez l'assistante sociale très bizarre. Surtout avec la fin de ce rire qui lui fait mal aux poumons, qui lui coupe le souffle. De manière générale je trouve que le film parvient parfaitement à instiller ce malaise, cette folie sous-jacente et jamais au détriment du personnage. C'est comme les scènes de danse, ça aurait pu être une espèce d'affèterie un peu lourde et grossière mais en l’occurrence, d'une part le corps de Joaquin Phoenix leur donne une espèce de physicalité toute particulière et de l'autre c'est l'expression extérieure d'un trouble intérieure à la fois de l'ordre de la folie (on se réjouit par une danse de la tragédie) mais aussi d'un déréglement social où le corps sort des rails dans lesquels il était confiné. Tout le film je crois travail ce décalage comme ce moment aussi où il va voir ce spectacle de stand up et où il est incapable de rire au bon moment mais est toujours en décalage et tu le vois lutter pour essayer de comprendre pourquoi les autres rient. Et c'est ce décalage qui d'abord va créer un malaise mais qui peu à peu en jouant sur une forme d'empathie va devenir ambiguë et tu vas plus tellement savoir si ce personnage décalé n'est pas celui qui est finalement celui qui aurait raison (et la prestation complexe de Phoenix va dans ce sens).

Après j'ai un problème plus simple de rythme. Je trouve le film déséquilibré. Le meurtre des trois premiers mecs dans le métro arrive beaucoup trop vite selon moi ou du moins arrive trop tôt par rapport à ce qui suit. En effet on imagine la transformation en Joker déjà bien avancée mais en réalité pas du tout, j'ai eu l'impression que le film ne cessait d'avoir des faux départs, d'où une espèce de ventre mou central où le personnage se cherche (la visite au manoir Wayne), où le film tente des trucs (le personnage de Zazie Beetz dont l'arc est assez prévisible et finalement presque dispensable) et où on décale cette transformation (qui arrive finalement très tard et de manière assez brève). C'est dommage je trouve que le film aurait pu trouver une dynamique plus fluide, au crescendo plus maîtrisé, c'était pas grand-chose et là je trouve que ça fonctionne pas totalement.

De la même manière j'ai l'impression que le film s’arrête presque trop tôt. J'aurais aimé qu'on explore un peu plus cette révolution qui gronde. D'ailleurs j'ai une question sans doute débile mais
il est arrêté à la fin ou c'est un flash back ?
Même si la toute dernière idée du film est assez géniale aussi, détourner ce gag antédiluvien de la course poursuite entre deux portes en quelque chose de beaucoup plus malaisant et effrayant. Et c'est là je trouve que le film a réussi sa mue, ce "gag" en début de film et j'y aurais vu du mépris pour la détresse du personnage, pour sa folie mais en fin de film, après son parcours ça fait totalement sens. Le personnage de Joker c'est ça, un homme fou qui tente d'échapper par tous les moyens à la norme qu'on veut lui imposer car cette norme lui est tout naturellement refusée.

Joaquin Phoenix est phénoménal évidemment même si là encore sa prestation qui n'est que la continuité de ce qu'il a déjà pu faire auparavant ne m'a pas vraiment supris. Mais cette manière tout à la fois d'être dans une faiblesse énorme et dans le même mouvement comme investit d'une confiance en lui prête à exploser c'est quelque chose de très fort. Le mec est investit à fond sur chacun des plans, sur chaque flexion, chaque mouvement de sourcil. Un vrai plaisir à voir. Et si j'ai déjà envie de le revoir c'est 100% pour lui parce que son jeu est tellement riche que j'ai l'impression que j'en ai raté des bouts.

Bref un film assez paradoxal car d'un côté plutôt singulier dont l'étude de caractère n'est pas aussi lisse qu'on aurait pu le craindre mais de l'autre un peu trop emprunté et manquant d'une certaine manière de personnalité. Une vraie expérience. Et c'est déjà quelque chose.

4.5/6

_________________
CroqAnimement votre


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 14 Oct 2019, 17:51 
Hors ligne
Robot in Disguise
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 13 Juil 2005, 09:00
Messages: 36694
Localisation: Paris
Comment passer derrière Art Core ? (quand on n'est pas DPSR)

Le problème, c'est que j'avais l'impression d'avoir vu le film avant de l'avoir vu. Comment alors s'émerveiller de la photo, comment jouir de la reconstitution gritty du New-- pardon du Gotham de 1981, comment s'extasier devant la performance denislavantesque de Phoenix, se gargariser des parallèles avec le monde d'aujourd'hui ?

Tout ça, c'est objectivement super. Mais je crois que j'ai trop eu le temps de m'habituer au film avant qu'il sorte pour me le prendre en pleine poire. Évidemment, même s'il y a un fétichisme certain dans l'évocation du passé (urbain et cinématographique), ça reste une "proposition" (beurk) unique dans le paysage U.S. Dans un monde de marvelleries numériques toutes lisses, ce film en 35, granuleux, inhabituel dans son registre, aussi zarb et habité, c'est à chérir.

Mais je crois que le film est finalement un peu trop programmatique, comme enfermé dans ce qu'il veut faire (tout ce que je disais plus haut: rendre hommage à Scorsese, parler de la haine contre les 1%, etc.) pour vraiment m'emporter. Je le vois, je l'admire, je le respecte, mais je ne l'apprécie pas pleinement, je reste quelque peu à distance. Pourtant je n'ai rien de précis à lui reprocher... C'est aussi pour ça que j'ai mis autant de temps à poster mon avis.

En tout cas ça reste un Lion d'or surprenant...

_________________
Liam Engle: réalisateur et scénariste
Image


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 14 Oct 2019, 18:29 
Hors ligne
Expert

Inscription: 23 Jan 2019, 12:24
Messages: 383
Question concernant la fin.

Après la séquence de chaos dans la ville où il danse devant les insurgés, on le retrouve devant un psy dans un HP.
Est-ce qu'il s'agit d'un flashback le montrant lors d'un de ses précédents séjours en HP ? (perso j'y crois pas trop)
Ou bien est-ce chronologiquement bien après les scènes de chaos et alors comment faut-il comprendre le rire (sincère, pas neurologique) du joker et sa réponse à la psy qui lui demande pourquoi il rit ("vous ne comprendriez pas") ?
Est-ce que tout ce qui précède cette séquence à l'hôpital est dans ce cas un bullshit (partiel ou total) raconté par le joker à la psy ?


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 14 Oct 2019, 18:39 
Hors ligne
Robot in Disguise
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 13 Juil 2005, 09:00
Messages: 36694
Localisation: Paris
Gnagnagna a écrit:
Question concernant la fin.

Après la séquence de chaos dans la ville où il danse devant les insurgés, on le retrouve devant un psy dans un HP.
Est-ce qu'il s'agit d'un flashback le montrant lors d'un de ses précédents séjours en HP ? (perso j'y crois pas trop)
Ou bien est-ce chronologiquement bien après les scènes de chaos et alors comment faut-il comprendre le rire (sincère, pas neurologique) du joker et sa réponse à la psy qui lui demande pourquoi il rit ("vous ne comprendriez pas") ?
Est-ce que tout ce qui précède cette séquence à l'hôpital est dans ce cas un bullshit (partiel ou total) raconté par le joker à la psy ?
La corrélation "Voiture de flics qui arrivent" puis lui devant la psy laisse penser qu'il a été incarcéré et que ça se passe donc après.
Pour le reste, je me suis pas posé la question.

_________________
Liam Engle: réalisateur et scénariste
Image


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 14 Oct 2019, 19:01 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 24 Nov 2007, 21:02
Messages: 28383
Localisation: In the Oniric Quest of the Unknown Kadath
Me suis posé la question sur cette séquence aussi, je trouve pas ça hyper clair.

Sinon d'accord avec ce que tu dis QGJ sur le côté programmatique, l'impression d'avoir presque déjà vu le film. C'est dommage, il manque un truc.

_________________
CroqAnimement votre


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 14 Oct 2019, 19:22 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 17 Aoû 2005, 14:46
Messages: 3803
Localisation: Dans le nord du sud.
Art Core a écrit:
Me suis posé la question sur cette séquence aussi, je trouve pas ça hyper clair.


Pour moi, tout le film est une blague, que se raconte le joker, une blague que la psy "ne pourrait pas comprendre".


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 14 Oct 2019, 19:25 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 24 Nov 2007, 21:02
Messages: 28383
Localisation: In the Oniric Quest of the Unknown Kadath
Je me pose plus simplement la question de flash-back ou pas. Mais le genre d'analyse tout etait dans sa tête très peu pour moi.

_________________
CroqAnimement votre


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 14 Oct 2019, 21:14 
En ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 30 Déc 2015, 16:00
Messages: 8292
Ça n’est jamais que la reprise de la scène finale de L’Etrangleur de Boston, elle même reprise de Psychose (elle mêle reprise du Testament du Dr M’abuse). Il finit en asile, rien de plus


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 14 Oct 2019, 22:30 
Hors ligne
Meilleur Foruméen
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 25 Nov 2005, 00:46
Messages: 86820
Localisation: Fortress of Précarité
Gnagnagna a écrit:
Question concernant la fin.

Après la séquence de chaos dans la ville où il danse devant les insurgés, on le retrouve devant un psy dans un HP.
Est-ce qu'il s'agit d'un flashback le montrant lors d'un de ses précédents séjours en HP ? (perso j'y crois pas trop)
Ou bien est-ce chronologiquement bien après les scènes de chaos et alors comment faut-il comprendre le rire (sincère, pas neurologique) du joker et sa réponse à la psy qui lui demande pourquoi il rit ("vous ne comprendriez pas") ?
Est-ce que tout ce qui précède cette séquence à l'hôpital est dans ce cas un bullshit (partiel ou total) raconté par le joker à la psy ?

Ça se passe clairement après mais couper aussi brutalement sur cette scène après la séquence en bagnole, avec l'ambulance ex machina qui percute la bagnole de flics et le Joker porté comme Jésus par le peuple, c'est évidemment pas innocent dans un film qui nous a montré que le protagoniste avait fantasmé des scènes qui n'avaient jamais eu lieu. Il est sous-entendu que ce qui suit l'arrestation est dans sa tête (surtout que ça serait chelou qu'il se fasse re-arrêter après ça).


Juan a écrit:
Art Core a écrit:
Me suis posé la question sur cette séquence aussi, je trouve pas ça hyper clair.


Pour moi, tout le film est une blague, que se raconte le joker, une blague que la psy "ne pourrait pas comprendre".

La blague que la psy ne pourrait pas comprendre porte plutôt sur
les Wayne, je pense. C'est pourquoi Phillips insère soudain un plan du jeune Bruce au-dessus des corps de ses parents. Je m'interroge beaucoup sur le sens de cet insert (alors que le meurtre nous a déjà été montré) et donc la nature de la blague : est-ce l'ironie du fait que les actes du Joker ont donné indirectement naissance à son pire ennemi? ou qu'ils aient indirectement causé la mort de Thomas Wayne, figure paternelle de Bruce mais d'Arthur aussi, une des personnes qui l'avaient lésé (à ses yeux) mais qu'il n'avait pas pu tuer? Est-ce qu'il y aura un Batman dans ce monde-là? Bref, je trouve ça assez fascinant comme choix.


Et sinon, le film n'est pas en 35, c'est du numérique.

_________________
Image


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 15 Oct 2019, 06:26 
Hors ligne
Expert
Avatar de l’utilisateur

Inscription: 17 Aoû 2005, 14:46
Messages: 3803
Localisation: Dans le nord du sud.
Film Freak a écrit:
La blague que la psy ne pourrait pas comprendre porte plutôt sur
les Wayne, je pense. C'est pourquoi Phillips insère soudain un plan du jeune Bruce au-dessus des corps de ses parents. Je m'interroge beaucoup sur le sens de cet insert (alors que le meurtre nous a déjà été montré) et donc la nature de la blague : est-ce l'ironie du fait que les actes du Joker ont donné indirectement naissance à son pire ennemi? ou qu'ils aient indirectement causé la mort de Thomas Wayne, figure paternelle de Bruce mais d'Arthur aussi, une des personnes qui l'avaient lésé (à ses yeux) mais qu'il n'avait pas pu tuer? Est-ce qu'il y aura un Batman dans ce monde-là? Bref, je trouve ça assez fascinant comme choix.



Sauf que le Joker n'est pas sensé savoir que Bruce Wayne est Batman. Par contre, il peut supposer que c'est son frère oui.


Haut
 Profil  
 
MessagePosté: 15 Oct 2019, 11:27 
Hors ligne
Expert

Inscription: 23 Jan 2019, 12:24
Messages: 383
Juan a écrit:
Art Core a écrit:
Me suis posé la question sur cette séquence aussi, je trouve pas ça hyper clair.


Pour moi, tout le film est une blague, que se raconte le joker, une blague que la psy "ne pourrait pas comprendre".


C'est une interprétation possible selon le réalisateur. J'ai du mal à y croire quand même.


Haut
 Profil  
 
Afficher les messages postés depuis:  Trier par  
Poster un nouveau sujet Répondre au sujet  [ 124 messages ]  Aller à la page Précédente  1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9  Suivante

Heures au format UTC + 1 heure


Articles en relation
 Sujets   Auteur   Réponses   Vus   Dernier message 
Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Joker : Folie à Deux (Todd Phillips, 2024)

[ Aller à la pageAller à la page: 1, 2, 3 ]

Film Freak

31

1597

21 Oct 2024, 11:36

Art Core Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Very Bad Trip 2 (Todd Phillips, 2011)

[ Aller à la pageAller à la page: 1, 2, 3, 4 ]

Film Freak

47

5648

05 Juin 2011, 09:04

Prout Man Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Very Bad Trip (Todd Phillips, 2009)

[ Aller à la pageAller à la page: 1 ... 5, 6, 7 ]

Film Freak

101

10057

17 Oct 2010, 19:18

Arnotte Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Very Bad Trip 3 (Todd Phillips, 2013)

Film Freak

3

1768

09 Déc 2013, 15:51

Kost Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Old school (2003 - Todd Phillips)

Zad

11

1877

29 Déc 2008, 08:36

Noony Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. War Dogs (Todd Phillips, 2016)

Film Freak

0

1371

29 Sep 2016, 00:35

Film Freak Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Date Limite (Todd Phillips, 2010)

Film Freak

14

2257

06 Fév 2011, 02:35

Mufti Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. School for scoundrels (Todd Phillips - 2006)

Janet

1

1460

28 Mai 2007, 09:26

Jericho Cane Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Apollo 11 (Todd Douglas Miller - 2019)

Qui-Gon Jinn

1

1432

07 Sep 2022, 21:44

Qui-Gon Jinn Voir le dernier message

Aucun nouveau message non-lu dans ce sujet. Capitaine Phillips (Paul Greengrass - 2013)

[ Aller à la pageAller à la page: 1, 2, 3 ]

DPSR

38

4736

02 Jan 2015, 20:00

Qui-Gon Jinn Voir le dernier message

 


Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum: Aucun utilisateur enregistré et 14 invités


Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets
Vous ne pouvez pas éditer vos messages
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages

Rechercher:
Aller à:  
Powered by phpBB® Forum Software © phpBB Group
Traduction par: phpBB-fr.com
phpBB SEO
Hébergement mutualisé : Avenue Du Web