Baptiste a écrit:
Wow sur la froideur de ton premier para. Parce qu'avec de futures mutations ça pourrait concerner beaucoup plus que les actuels "fragiles" (que l'on condamne donc, c'est ça?)
Mais avec qui tu discutes, là ?
C'est quoi cette histoire de froideur à la con ? On peut éviter de sortir les mouchoirs et les baromètres moraux quand on parle de science ?
Je te dis juste qu'une épidémie, ça fonctionne comme ça, et que si tu as un pic de mortalité au début, il ne se prolonge pas dans le temps : l'immunité va se bâtir au sein de la population, le virus éliminant le pourcentage de la population incapable d'y résister, et au final, on se retrouve avec un virus endémique. Est-ce que ça fait des morts ? Evidemment, et une politique de santé publique digne de ce nom doit essayer de les limiter au maximum, mais c'est pas un "carnage total". Comme je le dis plus haut, on a complètement perdu le sens de la mesure avec cette épidémie.
Pour moi, une gestion rationnelle de cette épidémie, ce serait de limiter la vaccination aux populations à risque. Ca permettrait de protéger les plus faibles, tout en permettant aux autres de continuer à vivre, mais aussi de pas se lancer dans une course à l'échalote absolument ingagnable telle qu'actuellement.
Baptiste a écrit:
Et il faut présenter les rappels de dose comme une condition sine qua non bien réelle,
Oui, c'est ce que fait le gouvernement. Spoiler : ça va pas marcher. D'autant plus qu'on ira vers des variants de plus en plus contagieux, donc des mutations de plus en plus rapides, et donc... une nécessité de vacciner de plus en plus souvent.