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MessagePosté: 08 Déc 2005, 00:45 
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Matou miteux
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Léo a écrit:
Ton interprétation me séduit davantage que les précédentes.


Ben c'est pourtant un peu la même.

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MessagePosté: 21 Déc 2005, 00:25 
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Moi j'avais bien aimé 5x2... je suis le seul ou quoi ?
j'aime généralement bien Ozon d'ailleurs (j'aime beaucoup Swimming pool, Sous le sable, Gouttes d'eau sur pierres brulantes, par contre je déteste Sitcom et Regarde la mer - Les amants criminels je le mets à part, c'est un potentiel très bon film complètement raté... mais il y a de très bons trucs - je mets 8 femmes à part aussi, sympa mais sans plus)

Enfin voila... Le temps qui reste...
Un peu mitigé sur ce film, il est inégal.

Il y a du très bon, de l'excellent même, Melvil Pouppaud est excellent, les scènes familiales sont excellentes (et la relation avec la soeur en particulier, très touchante, ainsi que le regard de Daniel Duval sur son fils)

Il y a aussi du beaucoup moins bon... tout ce qui devient un peu "tordu" en fait. Genre la partie la scène "backroom" ou alors les passages avec Valeria Bruni Tedeschi (la première rencontre est très bien... la suite... woaof quoique la dernière séquence est plutôt sympa - film inégal quoi...)

Le passage avec Jeanne Moreau c'est pas trop mon truc non plus, je n'aime pas le principe des grand mères jouées par des actrices connues. En plus généralement le rôle est court donc le personnage n'a pas le temps d'exister, on ne voit pas la grand mère, on voit Jeanne Moreau.

Heureusement, les mauvaises choses ne suffisent pas à gacher les bonnes, et globalement, le film laisse un souvenir ému et l'image d'un Melvil Pouppaud vraiment touchant.


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MessagePosté: 21 Déc 2005, 00:51 
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Zaphod a écrit:
Moi j'avais bien aimé 5x2... je suis le seul ou quoi ?


Non, moi j'ai bien aimé aussi. Il y avait, comme dans "le temps qui reste" de beaux moments et de belles façons de filmer les gens même dans leurs moments médiocres et humainement peu flatteurs. S'il apporte la touche acide sur certaines scènes avec sa caméra il sait aussi y apporter la douceur (même dans les moments comme la mort).


Zaphod a écrit:
Il y a aussi du beaucoup moins bon... tout ce qui devient un peu "tordu" en fait. Genre la partie la scène "backroom"


Perso, je ne trouve pas ça moins bon, ça me fait juste un peu sortir du film parce que ça me met en quelque sorte "mal à l'aise" (je ne trouve pas de mot exact pour traduire ce que j'ai ressenti à ce moment là). Non pas par les images que je vois (je n'ia pas eu cet effet dans irreversible par exemple) mais par leur placement "incongru" dans l'histoire et par rapport au perso et ses actions à ce moment là. Du coup ça me fait me poser des questions sur son pourquoi et me projette en dehors de l'histoire de Romain, ce qui est dommage. Alors que sa scène d'amour avec Sacha (quel mauvais goût au passage, se taper un sous-dave-jeune aux manies horripilantes quand on est si mignon, c'est presque un crime) est belle et totalement naturelle dans le récit (bien qu'assez réaliste et jusqu'au boutiste dans la démarche "ce Melvil, quel beau sexe !).

Bon sinon, au final j'aime beaucoup ce film et la fin est très belle. Et puis Ozon est cool, enfin un cinéaste qui milite pour la parité au cinéma : 1 paire de nichon = 1 zguègue. Même les filles ont le droit au plaisir visuel non mais !


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MessagePosté: 21 Déc 2005, 12:10 
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Kinky Kelly
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Léo a écrit:
il se fait fister, le mec attaché ? c'est évident ou on y voit ce qu'on veut ?

Ah bah oui, c'est un fist.

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MessagePosté: 21 Déc 2005, 16:38 
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Après on a reproché à Noé la scène d'ouverture d'irréversible mais perso je la trouve plus déplacée dans Le temps qui reste que dans le film de Noé...


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MessagePosté: 21 Déc 2005, 16:42 
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Matou miteux
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Zaphod a écrit:
Après on a reproché à Noé la scène d'ouverture d'irréversible mais perso je la trouve plus déplacée dans Le temps qui reste que dans le film de Noé...


Elle arrive effectivement un peu comme un cheveux (mais bon au moins elle est très courte).

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MessagePosté: 22 Déc 2005, 11:45 
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Matou miteux
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Léo a écrit:
dans un jeu de quille ?


Léo a écrit:
comme le film (qualité numéro 1)


Et il vous réserve encore pleins d'autres blagues!

Image

On te fera un topic filmo Lioret pour Noël va.

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MessagePosté: 22 Déc 2005, 17:01 
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Matou miteux
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Léo a écrit:
Par contre, un topic Olivier Adam réunissant toutes les premières phrases de ses bouquins, si vous pouviez me faire ça pour Noël, ce serait super gentil. Qu'est-ce qu'on rigolerait. Y'a un des bouquins, ça commence genre "Il pleuvait et Pialat venait de mourir", un truc comme ça, ah la la, la crise dans la librairie...


Olive n'est pas tombé dans mon filet de pêche de la rentrée (ni dans ceux d'avant). Dommache?

Léo a écrit:
"elle arrive comme un cheveu", sérieusement, ça m'a fait rire


arriver comme un chien à quilles + tomber comme un cheveu à soupe = de l'inédit pour mon lecteur. C'est parce que tu n'es pas encore habitué à ma langue fleurie.

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MessagePosté: 30 Déc 2005, 19:30 
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Titilleur
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Hé bien, personellement, ce film m'a plut, il m'a émut à certain moment. Le film en lui-même est vraiment dérangeant, c'est clairement un film d'auteur qui parfois impose aux spectateurs des choses qui ne lui corresponde peut être pas du tout. Les scènes homosexuelles sont dérengeante pour un hétéro, personellement, j'ai eu du mal. Le problème c'est qu'Ozon construit sont reçu sur les derniers mois à vivre d'un homme autour de cet environnement homosexuel, de non dit familial qui revient finalement en un certain sens à la situation d'un homosexuel qui n'oserait pas dire à sa famille qu'il est homo, sauf qu'ici cette position assumé, Ozon nous prends une maladie incurable comme élément de discorde familial. Je me suis dit pendant le film, que ça serait original un film ou un mec doti annonçer à ses parents qu'il est homosexuel et qu'en plus il est atteind d'une maladie incurable. Mais ozon ne fais pas ça il pose toute les bases narratives de son film sur cette univers qu'il connait personellement qu'est l'homosexualité, et c'est franchement dérangeant, c'est une vision trés personel, de comment profiter du temps qui reste, il y a mille manière de faire le scénario sur ce thème, Ozon choisit le terrain de l'enfance qui toujours est en rapport avec l'homosexualité etc... Bref tout les éléments narratif se rapporte à sa sexualité, en plus de baigner avec le : Je ne peux pas faire ceci, cela aprce que je vais bientot mourir, il y a ce je suis homosexuel. Je pense sincèrement que ce film plaira davantage aux homosexuel et faisont polémique la dessus si vous voulez, mais je me disais en voyant le film, que ce sont genre serait "drame homosexuel", parce que franchement j'ai eu du mal à m'identifier à ce Romain qui s'apelle comme moi d'ailleur lol .

Enfin voilà, niveau mise en scène il y a de trés bon moment, la scène finale est plutôt jolie, émouvante, les gens s'en vont, mais lui reste, mais le travaille de la réalisation parait un peu inégal voir mauvais par moment pour du Ozon. Ce n'est pas son meilleur film, mais surement l'un de ses films les plus importants, car il impose sa signature clairement entant qu'auteur ici, aprés moi je ne suis pas partisant ozoniste acharné, bien qu'il m'est fait rêver avec Ludivie Saigner dans Swimming pool :lol:

4/6


Dernière édition par Lormkissen le 31 Déc 2005, 17:21, édité 1 fois.

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MessagePosté: 31 Déc 2005, 03:24 
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Kinky Kelly
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Lormkissen a écrit:
Hé bien, personellement, ce film m'a plut, il m'a émut à certain moment. Le film en lui-même est vraiment dérangeant, c'est clairement un film d'auteur qui parfois impose aux spectateurs des choses qui ne lui corresponde peut être pas du tout. Les scènes homosexuelles sont dérengeante pour un hétéro, personellement, j'ai eu du mal. Le problème c'est qu'Ozon construit sont reçu sur les derniers mois à vivre d'un homme autour de cet environnement homosexuel, de non dit familial qui revient finalement en un certain sens à la situation d'un homosexuel qui n'oserait pas dire à sa famille qu'il est homo, sauf qu'ici cette position assumé, Ozon nous prends une maladie incurable comme élément de discorde familial. Je me suis dit pendant le film, que ça serait original un film ou un mec doti annonçer à ses parents qu'il est homosexuel et qu'en plus il est atteind d'une maladie incurable. Mais ozon ne fais pas ça il pose toute les bases narratives de son film sur cette univers qu'il connait personellement qu'est l'homosexualité, et c'est franchement dérangeant, c'est une vision trés personel, de comment profiter du temps qui reste, il y a mille manière de faire le scénario sur ce thème, Ozon choisit le terrain de l'enfance qui toujours est en rapport avec l'homosexualité etc... Bref tout les éléments narratif se rapporte à sa sexualité, en plus de baigner avec le : Je ne peux pas faire ceci, cela aprce que je vais bientot mourir, il y a ce je suis homosexuel. Je pense sincèrement que ce film plaira davantage aux homosexuel et faisont polémique la dessus si vous voulez, mais je me disais en voyant le film, que ce sont genre serait "drame homosexuel", parce que franchement j'ai eu du mal à m'identifier à ce Romain qui s'apelle comme moi d'ailleur lol . Enfin voilà, niveau mise en scène il y a de trés bon moment, la scène finale est plutôt jolie, émouvante, les gens s'en vont, mais lui reste, mais le travaille de la réalisation parait un peu inégal voir mauvais par moment pour du Ozon. Ce n'est pas son meilleur film, mais surement l'un de ses films les plus importants, car il impose sa signature clairement entant qu'auteur ici, aprés moi je ne suis pas partisant ozoniste acharné, bien qu'il m'est fait rêver avec Ludivie Saigner dans Swimming pool :lol:

Un peu lourd à lire, tout ça.

*sacré RLV, qu'est-ce qu'il ferait pas pour pas qu'on le reconnaisse*

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MessagePosté: 22 Mai 2009, 14:42 
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Moi ça m'a bouleversé et le plan final est juste sublime. Melvil n'a jamais été aussi beau, en plus. Bref, le meilleur Ozon pour ce que j'en ai vu.

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