Forum de FilmDeCulte

si tu veux mais j'ai lu la VO, ceci expliquant cela



en effet, sauf quand on bloque sur des moments de blabla

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Janet

Non, sérieux, il est bien ce bouquin, et Oscar W. a une personnalité attachante,; quand tu vois ce qu'il a subi comme humiliation à cause de son homosexualité, c'est désolant.J'aime bien son idée de lien un peu fantastique entre un tableau , et un être "réel" (présenté comme tel, disons)

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Preso en la carcel del amor oscura

j'ai jamais dit le contraire



et ça transparaît dans le livre, assez avant-gardiste finalement; le mot n'est jamais dit mais certains liens décrits sont plus qu'ambigus !

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Janet

Je suis en train d'attaquer ce pavé après avoir lu "Les piliers de la terre" l'année dernière.
Qui l'a lu et pourrait me dire ce qu'il en pense ?

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"Le cinéma, c'est le sang, les larmes, la violence, la haine, la mort et l'amour"
Douglas Sirk

Le titre fait penser à " l'Histoire sans fin" , connais pas du tout.
Et j'ai pas réussi à remettre la main dessus!
Par contre je viens de lire un petit bouquin, Reflets dans un oeil d'or, de Carson McCullers, pas mal; thème aussi de l'homosexualité, refoulée; quattuor étrange , avec une femme sensuelle, son époux le capitaine, son pur-sang, et un obscur petit soldat,vaguement palefrenier ou jardinier, occasionnellement ("le soldat marchait comme un homme sur qui pèse un rêve sombre, et ses pas étaient silencieux" ); ambiance lourde qui se termine par un meurtre (Huston en a fait un film avec Elizabeth Taylor ).

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Preso en la carcel del amor oscura

Vu que je suis en train de finir Les Piliers (tout est relatif: il me reste plus de 150 p.), je reporte la lecture de celui-là dans 10 ans. (un pavé pareil toutes les décennies, ça ira).

Mais faut pas croire: je suis totalement fan.

Ceux qui l'ont lu m'ont dit que c'était vraiment dans la même veine (très bon mais donc pas très surprenant).

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Tu veux parler du film, j'imagine; eh bien ça n'a rien à voir même si les titres ont une signification identique. "Un monde sans fin" (titre original : World without end) est la suite des "Piliers de la terre" de Ken Follet. Dans les 2 ouvrages, l'histoire se passe en Angleterre au Moyen-Age avec un écart de 2 siècles entre les deux. "Les piliers de la terre" relate, entre autres aventures, la construction d'une cathédrale et donne une vision très vivante de la société féodale du XII° S.

Allez, accroche-toi, Arnotte, tu vas en venir à bout. En tout cas, "Un monde sans fin" débute pas trop mal; je sens que je vais être aussi énervée que pour "Les piliers de la terre" Grrr !

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"Le cinéma, c'est le sang, les larmes, la violence, la haine, la mort et l'amour"
Douglas Sirk

C'est un roman à l'origine. Pas mauvais du tout d'ailleurs.

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"Vous allez finir par vous aimer les uns les autres bordel de merde !?!"

oui, de la bonne fantasy en fait, vraiment sympa à lire.

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Enervée..?

(à cause de ?)

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

(Hé, dites nous l'auteur dans ces cas là! )

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Preso en la carcel del amor oscura

Très réalistes mais on finit par avoir la rage avec tous ces ratages et contretemps bien qu'il y ait de belles victoires et puis si j'avais pu taper sur William de Shiring à coups de barre de fer, ça m'aurait soulagée

Sinon, j'ignorais que "L'histoire sans fin" était adapté d'un livre; C'est qui, l'auteur?

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"Le cinéma, c'est le sang, les larmes, la violence, la haine, la mort et l'amour"
Douglas Sirk

Journal d'un abbé féru de littérature et mondain. Il fut la coqueluche de l'aristocratie finissante du faubourg Saint-Germain (les Guermante) et de nombreux gens de lettres(il est à l'origine de la conversion de Huysmans). Y a des passages chiants de par la vanité de ce qu'ils racontent(des diners mondains) mais c'est bourré d'anecdotes sur les écrivains rencontrés (Mme de Noailles, Céline, Cocteau, Gide...la liste est impressionnante) et c'est un point de vue intéressant sur les moeurs de l'époque (l'abbé est d'abord confesseur) ainsi que sur les divers conflits politiques qui ont émaillé soixante des années les plus mouvementées de notre histoire.

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

C'est écrit par un allemand qui s'appelle Michael Ende, je suis assez fan des canons de la fantasy, sans aimer la plupart des bouuins écrits dans le genre, qui ne s'attachent souvent qu'à un côté, ici, on a des thèmes du conte, de l'aventure, de l'identité, de l'enfance qui sonnent juste, le tout bien écrit, avec ce qu'il faut de lyrisme et tout, vraiment cool.

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L'Etoile de Pandore
(4 tomes)


L'action se déroule dans quelques siècles. L'humanité a prospéré. Plusieurs dizaines de planètes sont colonisées. Un phénomène astronomique inexplicable attire l'attention des médias : deux planètes lointaines se sont retrouvées subitement enfermées dans une sphère de nature inconnue mais forcément artificielle. Une telle prouesse technologique devrait inciter à la prudence, les alarmistes parlent d'étoile de pandore. Mais la curiosité est plus forte. Une vaisseau spatial est envoyé pour élucider le mystère. Cette exploration déclenche une terrible catastrophe qui menace la survie de l'humanité.
Un siècle plus tôt, on avait retrouvé sur une autre planète les vestiges d'un vaisseau extra-terrestre. Des fanatiques, les Gardiens, affirment que son occupant a survécu et oeuvre dans l'ombre à la destruction de l'humanité. Pour eux, les ravages déclenchés par l'étoile de Pandore sont orchestrés par l'extra-terrestre malfaisant.

4 lignes narratives principales

- Paula Mayo, une policière compétente et renommée, traque un ancien terroriste employé par les Gardiens.
- Oscar Monroe, commandant de vaisseau spatial, dirige l'exploration de l'Etoile de Pandore. Puis il s'illustrera dans les batailles spatiales que cette exploration déclenchera.
- Mellanie Rescorai est au départ une ravissante idiote spécialisée dans la promotion canapé. Une Intelligence Artificielle la prend sous son aile. Cette entité électronique a infiltré tous les systèmes informatiques de l'humanité et observe le destin des humains. Mais il y a des endroits dépourvus de systèmes informatiques et inaccessibles pour l'Intelligence Artificielle. Mellanie lui sert d'espionne et de cheval de troie.
- les patriarches des trois plus grandes dynasties industrielles, Sheldon, Halgarth et Brunelli, manipulent les membres du gouvernement et se disputent le vrai pouvoir politique.


Ce qui est réussi

- la technologie d'armement des fantassins et des tueurs. Les implants, les interfaces visuelles virtuelles, les armures de combat...
- Mellanie Rescoraï protégée par l'Intelligence Artificielle, parfois de façon spectaculaire, quelle que soit la menace.
- les batailles spatiales, le développement exponentiel des forces ennemies
- les premières enquêtes policières de Paula Mayo, les traquenards et fusillades, ses difficultés avec sa hiérarchie
- le train de vie des dynasties
- le tome 4 qui réunit toutes les intrigues et personnages principaux en une course poursuite haletante sur un monde désert.



Ce qui est raté

- 50% du récit : L'Ange des Hauteurs, Ozzie et les chemins des Silfens, Bradley Johansson, Elaine Doi et d'autres lignes narratives secondaires
- le personnage de Paula Mayo (censée être compétente mais en fait peu efficace)
- les technologies spatiales décrites à coup de verbiage bidon.
- les intrigues informatiques qui ne sont que des transpositions de l'informatique actuelle et qui sont ridicules dans un contexte technologique aussi avancé.
- les personnages mono-émotion ou à faible épaisseur psychologique


Mon conseil

lire en diagonale le remplissage. Tout le reste est de la SF assez haut de gamme, quoique sans surprise.

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