Forum de FilmDeCulte

putain plus on en parle, plus je suis perdu. On lit tout et son contraire.

Et si on achète hors amazon et hors fnac (genre numilog), du coup ce sont des formats qui sont lisibles partout non ?

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

Ben ça dépend dans quel format il les vendent.
Grosso modo, si tu arrives à chopper du epub, du pdf ou du txt, t'arriveras toujours à te démerder.
Le meilleur étant l'epub à condition que ta liseuse l'accepte (hé ouais, faut bien avouer que c'est un peu le bordel).

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

maiiiiiiiiiisssssssssss

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- Nazi violent 1961-2013?
"my... "double anale", c'est ce que je crois?" Chlochette
"J'ai toujours aimé la culture nain" Sponge

Ca m'étonnerait pas qu'ils finissent par l'accepter mais en y incluant des DRM rendant le fichier compatible uniquement avec le kindle (ce que fait la FNAC sur certains des ebooks qu'ils vendent).

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

A noter que le Kobo est en ce moment vendu 100€ pour les adhérents (plus exactement 130€ avec 30€ remboursés en bons d'achats).

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Question complémentaire (et peut-être évidente ?) : un Ipad peut faire office d'ebook ?
(tant au niveau des formats lus que du confort)

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Bon, les ebook c'est de la merde.

Mais pour lire un livre, un ipad, ça doit être encore pire.

Même si l'usage est prévu.

Mais le truc rétro-éclairé doit te flinguer la rétine.

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"Vous allez finir par vous aimer les uns les autres bordel de merde !?!"

En quoi les ebooks c'est de la merde ?

Je sais pas pour l'ipad mais j'ai vu une tablette samsung qui prévoyait une fonction lecture (avec fond assombie et police claire). histoire que ce soit moins violent pour les yeux

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You are a ghost driving a meat covered skeleton made from stardust riding a rock floating through space.
FEAR NOTHING

Un peu en retard :

- Le Parrain (Puzo)
Enorme, au point que le film (revu juste après) m'a bien déçu. C'est d'une fluidité assez dingue.

- Incidences (Djian)
Pas le meilleur de celui qui est sans doute devenu mon écrivain préféré (allez, avez Michel). Mais toujours cet art de la phrase parfaite. Il n'y a pas une phrase qui ne soit belle.

- 22 novembre 63 (Braver)
Légère somnolence. C'est assez joli et émouvant mais globalement un peu sans saveur.

- Les enfants de Las Vegas (Block)
Pas lu... Finalement ça ne m'intrigue pas beaucoup.

- La délicatesse (Foenk)
Ca se lit vite, c'est plutôt drôle et original. Ca ne va pas plus loin. Agréable pour un trajet de 2H en train.

- Drive (Sallis)
Le parfait complément au film (qui lui est bien supérieur). Pas un très bon roman, mais il y a effectivement matière à un très grand film.

- L'âme des guerriers (Duff)
C'est poignant... Sans doute un peu moins que sa suite (Les Âmes brisées). A la rigueur, on peut voir le film et lire le tome 2 directement.

- Les bucher des vanités (Wolfe) - Grosse hésitation avec L'Etoffe des héros, du même auteur
Bon, j'ai finalement lu les deux. Je ne saurais dire lequel je préfère. Le Bucher est un gigantesque pavé, qu'on n'a pas tort de comparer à du Balzac (même si ça n'a pas grand chose à voir dans le style), tandis que L'Etoffe est une mine d'informations passionnantes.

- Vendredi 13 (Goodis)
Goodies, au bout du troisième livre identique, commence à me casser les couilles. Dommage, j'avais adoré le premier que j'avais lu.

Egalement :

- Une nuit à Prague (Libuse Monikova)
Emouvant roman sur la redécouverte d'une ville et de sentiments perdus.

- Le brave soldat Chveik (Jaroslav Hasek)
C'est à mourir de rire. Les aventures d'un soldat pendant la guerre de 14-18, qui ne pige rien au conflit et aborde toutes les épreuves avec une innoncence qui confine à la débilité profonde. Enorme classique tchèque dans lequel un peuple entier s'est reconnu.

- Suite[s] impériale[s] (Bret Easton Ellis)
Qui de Djian ou de Ellis copie l'autre ? Quoi qu'il en soit, le père Ellis se répète grave dans un roman qui se lit vite mais sans jamais vraiment entrer dedans.

- L'Eté de Prague (Raymond Masai)
Un petit peu trop manuel d'histoire / géo, mais l'histoire d'amour sur fond d'invasion soviétique est assez jolie.

- Cet instant-là (Douglas Kennedy)
Il ne me semble pas en avoir parlé ici... On retrouve la facilité de Kennedy à constuire un récit dans un univers précis et documenté (ici l'Allemagne de la guerre froide). En revanche, le roman contient une centaine de pages incroyablement lourdes et gnangnantes, à croire que l'auteur devrait éviter à l'avenir de raconter une histoire d'amour entre deux jeunes gens de vingt ans.

- Une trop bruyante solitude (Bohumil Hrabal)
C'est court mais ça m'a vite gavé malgré tout. En fait je me rends compte que je n'ai pas compris grand chose à cette histoire plus ou moins autobiographique d'un homme chargé de détruire des livres.

- La Question (Henri Alleg)
Court roman (ou témoignage) d'un homme torturé pendant la guerre d'Algérie. A surtout une valeur historique.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Et achat de :

- La Chute des géants (Ken Follett)
- Franny et Zooey (JD Salinger)
- La servante écarlate (Margaret Atwood)
- Testament à l'anglaise (Jonathan Coe)
- Underworld USA (James Ellroy) -> mais pour pouvoir le relire
- Le Tambour (Gunter Grass)
- La Pianiste (Elfriede Jelinek)
- L'honneur perdu de Katharina Blum (Heinrich Boll)
- Le Sein (Philip Roth)
- Mille jours à Venise (Marlena de Blasi)

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Tiens ce que j'ai lu dernièrement :

- Pastorale Américaine de Philip Roth.
Lu car conseillé par DPSR il y a quelques pages. Gros morceau sur l'Amérique à travers le destin tragique d'un immigré suédois. Mais j'avoue que la construction, pourtant brillante, m'a semblé assez frustrante, puisque parfois on s'écarte brutalement du coeur du récit pour raconter quelque chose d'attenant. Et puis pareillement j'ai l'impression d'un livre sans fin qui s'arrête d'un coup. Bref, pas désagréable mais j'ai pas accroché plus que ça.

- La Faim de Knut Hamsun.
Petite claque dans la gueule pour ce court récit à la première personne d'un écrivain bohème sans le sou à Oslo et ses errances rendues délirantes par la faim qui le tiraille. J'aime comme le récit ne s'attarde jamais sur une psychologisation ou même une théorisation de l'état du personnage mais se concentre uniquement sur les éléments concrets autour de lui et sur hypertrophisation de ses sens. J'aime comme le personnage se laisse doucement envahir par la folie, qu'il en a conscience mais qu'il ne parvient pas à l'empêcher. Bouleversant. Un chef-d'oeuvre.

- D'autres Vies que la Mienne d'Emmanuel Carrère.
Rarement un roman m'avais autant fait pleurer. C'est vraiment un livre qu'il ne faut pas lire dépressif ou avec quand on est hypocondriaque parce que c'est quand même ultra plombant. Je le trouve tour à tour superbe et énervant. Superbe parce que Carrère à une façon très sensible de parler de deuil, de souffrance et de maladie mais en même temps un peu énervant parce qu'il y a un côté égocentrique dans le projet, quelque chose d'un peu égoïste qui surnage. J'ai un peu du mal à mettre précisément le doigt dessus pourtant ça m'a dérangé. Après j'aime beaucoup cette façon de raconter la vie des gens, indifféremment, comme si toutes les vies méritaient d'être racontées. Bref un beau livre, vraiment émouvant mais qui m'a laissé un arrière goût désagréable. Dommage.

- Phèdre de Jean Racine.
Superbe. J'appréhendais un peu la lecture en vers que je n'avais pas pratiqué depuis le lycée (hors poésie) et en réalité on s'y fait très vite et ça coule tout seul. J'aime beaucoup comme Racine à ramassé sa pièce, l'a nettoyé de toutes fioritures pour aller à l'essentiel sans jamais perdre le sentiment de fatalité qui la traverse. Une lecture vraiment agréable. J'aimerais voir ça sur scène maintenant.

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CroqAnimement votre

En matière de bouquins, le gros défaut chez moi est qu'il m'est pratiquement impossible de ne pas finir ce que j'ai commencé.
Après avoir lu La Lignée, je m'étais bien promis de ne pas lire la suite vu la trouille bleue qu'il m'avait inspiré mais, évidemment, on ne se refait pas: j'ai acheté à tour de rôle La Chute et La Nuit éternelle et au bout d'x mois de gestation, je m'y suis recollée. Et je me suis surprise à me passionner pour l'histoire, toujours aussi ténébreuse, angoissante et saignante.
Bref, j'ai dévoré les deux tomes restants.
Alors, le 1er tome, La Lignée, est réellement le plus flippant parce que le drame et les personnages s'installent, l'horreur monte en puissance lentement mais sûrement. De bout en bout, le stress est permanent.
Avec La chute, présenté comme le plus noir et le plus désespéré de la trilogie, on assiste aux derniers soubresauts du monde des Hommes en tant qu'espèce dominante et on plonge avec les personnages dans un gouffre sans fond. Déprimés s'abstenir !
La Nuit éternelle est un peu plus mitigé: l'intérêt de parvenir au dénouement de ce monde cauchemardesque est un peu battu en brèche par une impression familière, commune à toutes les oeuvres parlant de résistance à une oppression quelle qu'elle soit et qui engendre une universalité de codes et de comportements : ça me renvoyait à des situations vues dans le feuilleton Holocauste ou dans la série V (celle des années 80, hein !) et, du coup, après les électros-chocs des deux premiers tomes, ça fait presque plan-plan. D'autant plus qu'interviennent soudainement les visions pseudo-religieuses d'un des personnages, teintant le récit de la banalité/obligation spirituelles présentes dans beaucoup trop de scénarios catastrophes made in USA. La fin est quand même pas mal et relève le niveau.

J'ai éprouvé une tendresse particulière pour les personnages d'Abraham Setrakian et de Gus. Setrakian, rescapé des camps de concentration, à la fois émouvant et inquiétant, est un peu la balise de détresse de ce monde qui s'effondre et le socle sur lequel les résistants vont s'appuyer pour survivre. Gus, jeune mexicain appartenant aux gangs de New-York, incarne à mon sens et mieux que les autres, ce refus tellement humain de céder à la terreur et l'oppression. Sans qu'il en devienne pour cela un Mr Right et sans perdre une once de son côté teigneux. Les circonstances dans lesquelles il apparaît pour la 1ère fois, dans La Lignée, sont parmi les plus angoissantes de l'histoire.

Un poncif et une question.
Le poncif : tout au long des batailles, les héros échappent miraculeusement aux fameux vers qui infestent le sang des vampires et qui sont, en quelque sorte, leurs agents colonisateurs. Et pourtant, ils sont souvent presque au corps à corps, ça gicle de partout mais non: ça passe toujours à côté. (Bon,en même temps, comme ils sont une poignée, si les auteurs s'étaient cantonnés au réalisme, l'histoire se serait arrêtée au 1er tome !)
La question : Dans le tableau dressé du monde sous la domination des vampires, l'Angleterre échappe (elle aussi!) à l'infestation, sous le prétexte d'être une île; c'est-à-dire de la terre entourée d'eau, ce dernier élément ne pouvant être franchi par les vampires. Alors que le fameux Maître a traversé benoîtement l'Océan Atlantique à bord d'un avion, apparemment, l'invasion de la perfide Albion semble impossible après coup pour ses disciples.

A quand le film ?

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"Le cinéma, c'est le sang, les larmes, la violence, la haine, la mort et l'amour"
Douglas Sirk

Recueil de quatre nouvelles de Lovecraft
La couleur tombée du ciel - L'abomination de Dunwich - Celui qui chuchotait dans les ténèbres - Le cauchemar d'Innsmouth

Deuxième essai pour Lovecraft. Sans être toutes réellement allusives, ces quatre nouvelles restent au moins à distance de l'explicitation indigeste qui m'avait gêné à mes premières lectures. Seul L'abomination de Dunwich m'a paru sur rails, s’avérant un peu frustrant (sous-exploitant grave des choses offertes comme l'enfance du gamin au village, ou les nuits de terreur avec maisons reliées par fil téléphonique), et un peu foireux (tout le final). Mais le reste est convaincant. La première nouvelle, courte et à distance des évènements au point de sonner un peu "fable" par moments, est vraiment très jolie (même si j'ai des réserves là encore sur la fin). Celui qui chuchotait dans les ténèbres, qui gère plutôt bien le flot de paroles qui le constitue presque entièrement (les lettres, le monologue) bénéficie d'une construction en deux temps rafraichissante qui ravive un peu le fonctionnement habituel (ce qu'on nous en dit, puis ce qu'on en voit). Le cauchemar d'Innsmouth est la cerise sur le gâteau, que ce soit par la progression parfaitement dosée qui structure solidement la nouvelle et la montée vers l'horreur, ou le dernier chapitre, surprenant, qui renverse tout entier le ton de la nouvelle. La chasse à l'homme centrale, même si elle me largue complètement question topographie, est vraiment bien gérée, et c'est la première nouvelle de Lovecraft qui l'espace d'un instant m'a réellement fait peur (le passage à l'hôtel, suggestif et paniqué). Cette dernière nouvelle m'a aussi étonné pour sa dimension cinématographique offerte, une adaptation donnerait un super film d'horreur (cela dit, ne serait-ce qu'avec des jeux vidéo comme Silent Hill, on en est pas loin).

Au final, vis-à-vis de l'autre recueil, c'est peut-être moins mûr dans le style (quoiqu'il y ait moins d'avalanche d'adjectifs épuisants), moins de pics à la beauté glacée : c'est plus égal mais ce fut plus agréable à lire. J'arrêterai là Lovecraft, je pense : impression d'avoir compris le principe et de le devancer désormais à la lecture. Mais au-delà de la qualité intrinsèque des nouvelles, je continue à les trouver extrêmement inspirantes (pour le ciné ou autre).

Le Testament de l'orange (Anthony Burgess)
Avec son style unique et pachidermique, Burgess tire de sa propre expérience (les critiques et menaces reçues suite au film Orange mécanique) un roman drôle par moment mais assez lourdingue et prétentieux. La fin est à chier.

Le Sein (Philip Roth)
(Très) Court roman sur un mec qui se transforme en nichon. Ca n'apporte pas grand chose à la littérature, à Kafka, ou à Roth, mais ça se lit.

La Pianiste (Elfriede Jelinek)
Il faut s'accrocher devant ce pavé à l'écriture ultra ramassée, mais le livre atteint par moments de vrais sommets. C'est assez pesant, assez lourd/long à lire, mais très précis au niveau des sentiments (sans doute un peu trop, d'ailleurs). Je ne suis pas certain de lire autre chose de cet auteur dont le prix nobel m'apparaît un peu usurpé (si je me base sur ce roman). Le portrait de l'Autriche des années 70/80 est en revanche assez terrifiant.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Fini La Tour Sombre il y a un moment maintenant.

Pas de doute, l'histoire reste gravée là. Je ne garderai pas pour autant tous les tomes dans mon cœur, certains remplissant plus qu'ils racontent. L’œuvre totale reste quand même monumentale, et je ne parle même pas de la fin que je trouve fantastique. Je comprends mieux que l'adaptation cinéma effraie les producteurs, mais putain, il y a tout de même un potentiel énorme. J'en fais facilement mon Stephen King préféré, car j'y ai capté tout ce que j'aime encore aujourd'hui chez King.

La maison de soie de Anthony Horowitz

Un roman de Sherlock Holmes récent, sur le modèle de La solution à 7 % de N. Meyer. Je ne jugerai pas l'exercice qui respecte tous le cahier des charges de Sherlock Holmes, mais plutôt l'histoire. Qui n'a malheureusement rien de palpitant. C'est très correct mais ça se lit comme un vieux Agatha Christie : on est absolument pas surpris de ce qu'on va découvrir. C'est bien foutu, ça passe le temps.

Mordre le bouclier de Justine Niogret (suite de Chien du heaume)

Très déçu. Je n'ai pas du tout accroché alors que j'avais adoré Chien du heaume. Je me suis ennuyé, je ne suis pas rentré dans l'histoire ni accroché aux thèmes, qui ne sont pas clairs. Il y a pourtant de beaux passages, et l'écriture est toujours là, mais je suis resté en dehors. Je ne sais pas si ce sont les limites de l'auteur ou les miennes concernant son style, mais en tout cas, les faits sont là. Dommage.

Après Dune tome 1 : Les chasseurs de Dune de Brian Herbert et Kevin J. Anderson

Comme toujours avec les ouvrages satellites de Brian Herbert et Kevin J. Anderson, je dévore. J'ai fini Dune il y a plus de 15 ans, et le bouquin étant une suite directe de La maison des mères, j'ai dû réviser sur Wikipedia ce que j'avais complètement oublié. J'ai adoré tout en ayant conscience que tout va trop vite et que les auteurs courent vers la fin du récit : trop de choses à dire, trop d'années à couvrir, c'est presque une chronologie illustrée en mini chapitres. Ça peut déplaire mais c'est efficace. Quels personnages, quel univers. Ça donne envie de relire toute la saga, et d'avoir enfin cette nouvelle version cinéma.

J'attaque Drood, de Dan Simmons, autour de Charles Dickens.