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Et oui je l'avais jamais vu!



Ca c'est fait. Alors un peu déçu même si ça reste plaisant à regarder: l'histoire tient en elle-même sur une phallange de petit doigt, du coup on tartine des gags de souris à la con (le genre à donner envie de pièges à fromage) au début et à la fin pour tenir 1h14, alors que le principal tient surtout sur 20 minutes. Pas de vraiment méchant qui enflamme (même si les soeurettes connes et moches font très Nelly Olsen et remontent le niveau), une héroïne un chouille fadassou (le rêve d'une vie c'est l'amouuur), un rythme moumou (péripéties minimum), rien qui ne dépasse vraiment. Dans le registre Princesse de Fantasyland, ça n'a jamais la force et le souffle de Blanche Neige, ou la réussite esthétique de La Belle au bois dormant. Mais bon ça reste mignon et bibidi babidi boo.

Sinon elle chausse vraiment du 2, Cendy.

3/6

Bon le vrai événement c'est ensuite aller au Quick et d'un coup, alors que tu es sur le point d'avaler une frite, tu entends...







Gracia from Germany 2005! Voilà tu peux être dernier mais passer au Quick des Halles aux heures de pointe, ça ouvre des perspectives.

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Doll, it's a heartbreaking affair

1. Blanche-Neige et les Sept Nains (Snow White and the Seven Dwarfs) — David Hand, 1937
2. Pinocchio (id.) — Hamilton Luske, Ben Sharpsteen, 1940
3. Fantasia (Walt Disney's Fantasia) — Ben Sharpsteen, 1940
4. Dumbo, l'éléphant volant (Dumbo) — Ben Sharpsteen, 1941
5. Bambi (id.) — David Hand, 1942

6. Cendrillon (Cinderella) — Ben Sharpsteen, 1950



oui j'ai sauté les faux films package de courts

Bon, sans grande surprise, comme le précédent film "Disney Princess" tiré d'un conte de fées de base, ça ne me passionne pas des masses. Cendrillon est moins tarte que Blanche-Neige et c'est moins chiant à regarder mais le premier Disney comportait davantage de passages incarnés, grâce à la méchante reine. Ici, il y a pas mal de remplissage (notamment une dizaine de minutes de sous-Tom & Jerry complètement dispensables au début) même si c'est sans doute le premier film à présenter la formule Disney telle qu'elle sera répétée par la suite - un conte de fée qu'on agrémente de sidekicks animaliers et de chansons. C'est pas déplaisant mais ça manque de créativité.

PS : j'ai été surpris par une réplique méta de l'assistant du roi qui se moque du stratagème de ce dernier en disant "ça n'arrive que dans les contes de fées".

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Ah celui-là je l'aime beaucoup, qu'est-ce qu'on se l'est maté ma soeur et moi, on le connaissait par coeur! Je le trouve très drôle et brillamment réalisé. Clairement dans mon top 10 Disney.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Oui je trouve qu'il vieillit bien celui-là, c'est rythmé, rapide, ça va droit au but et c'est toujours marrant.

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Netflix les gars, Netflix.

Pour le coup, tout ce qui touche aux sidekicks animaliers fait que ça va pas droit au but justement.

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Oui oui mais bon, c'est rigoloooooo
(Vois la version live, tu vas voir ce que c'est qu'un film qui prend 1000 ans à raconter une histoire sans rebondissements...)

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Netflix les gars, Netflix.

Vu quand j'étais petit, jamais revu depuis. Tellement charmant et j'adore à quel point le personnage est positif, optimiste, y a pas ce côté "Chip on your shoulder" qu'elle aurait maintenant.

Ce qui est hallucinant par contre c'est à quel point le Prince Charmant est désincarné. J'avais le souvenir du sympathique film live de Branagh où il existait en tant qu'être humain mais ici contrairement à l'idée reçue c'est le perso féminin qui existe et le perso masculin qui est une silhouette en carton.

Par contre le film est à la fois court et en effet comme dit Film Freak "rempli de remplissage". Les animaux sont attachants mais y a de longues scènes qui sont juste des interludes cartoon sans rapport avec la vraie histoire humaine.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste