Forum de FilmDeCulte

Delphine est l’auteur d’un roman intime et consacré à sa mère devenu best-seller.
Déjà éreintée par les sollicitations multiples et fragilisée par le souvenir, Delphine est bientôt tourmentée par des lettres anonymes l'accusant d'avoir livré sa famille en pâture au public.
La romancière est en panne, tétanisée à l'idée de devoir se remettre à écrire.
Son chemin croise alors celui de Elle. La jeune femme est séduisante, intelligente, intuitive. Elle comprend Delphine mieux que personne. Delphine s'attache à Elle, se confie, s'abandonne.
Alors qu’Elle s’installe à demeure chez la romancière, leur amitié prend une tournure inquiétante. Est-elle venue combler un vide ou lui voler sa vie ?





Je n'ai pas la moindre envie de donner ne serait-ce qu'un point à ce film irritant de bout en bout.

Mégas spoilers.

Pendant qu'Emmanuelle Seigner et Eva Green semblent volontairement se lancer un concours à qui jouera le plus faux, le scénario enfile les clichés du *thriller psychologique* à base de dédoublement de personnalité, apparitions furtives de le cadre d'une fenêtre ou dans le reflet d'un mirroir, background obscur d'un personnage instable qui sort de nulle part, pseudo-suspense sur une attirance sexuelle entre les deux héroïnes, empoisonnement, isolement du personnage principal etc. Tout y passe, sans la moindre créativité et avec une non-crédibilité la plus totale.

/Mégas spoilers.

Les moments supposément "tendus" du film ont été sanctionné par l'hilarité de la salle, j'ai même un doute sur le premier degré du film, parfois je me demandais s'il valait mieux pas prendre ça pour une farce. C'est mal écrit et plutôt moche... Bref, ça m'a quand même fait marrer de voir Elisabeth Quin par contre !

0/6

nichons ?

Eva Green qui dénonce le harcèlement sexuel et qui tourne avec Polanski...

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Bah non j’ai mis 0

ah oui pardon

Paradoxalement une séance pas désagréable à Cannes un samedi matin pour cet improbable nanar ridicule de bout en bout et dominé par les deux pires prestations d'actrices de l'année avec d'un côté Seignier en mode naïve gogol et de l'autre Eva Green, que pourtant j'adore, mais qui est absolument nullissime en pseudo femme fatale qui en fait des caisses (c'est aussi peut-être le fait qu'elle joue en français). Vraiment tout sonne affreusement faux, on dirait paradoxalement un film étudiant super cliché et maladroit avec des effets gros comme des maisons et des conneries de scénario improbablement comiques (Seignier qui se casse la gueule dans l'escalier). Le finale en mode Misery du pauvre finit d'achever cette bouse.
Souvenir aussi d'un immonde jump scare qui m'a littéralement fait éclater de rire tellement il est ridicule
C'est un peu l'équivalent du Passion de De Palma, excroissance grotesque d'un grand auteur fatigué et à sec qui se recycle difficilement (on est entre Le locataire et Ghost Writer là). Sauf que je trouve que Passion fnissait par fonctionner et par être sincèrement jouissif, là où celui-ci s'avère juste comiquement mauvais.

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CroqAnimement votre

Putain, si c'est pire que Passion...

Alors passons.

Oui et d’ailleurs ça m’a aussi fait repenser à Passion.

Art Core je ne me souviens pas de la scène dont tu parles par contre on voit bien le visage d’Eva Green apparaître soudainement à la fenêtre à un moment, un des nombreux passages du film qui font bien cheap.

Y a du cul?

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On te dit que non !



Ah oui c'est peut-être ça en fait et oui c'est bien cheap.

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CroqAnimement votre