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 Sujet du message: Re: TOP 2011 - Définitif
MessagePosté: 03 Jan 2012, 16:43 
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Z a écrit:
Si je te dis que t'as oublié Shame, tu te suicides ?

T'inquiète il sera numéro 1 de 2012. (merci de m'avoir LU :wink: )

Arnotte a écrit:
Voilà mon top 2011 de Belge (Shame et A Dangerous Method sont de 2012 ici).

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"


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 Sujet du message: Re: TOP 2011 - Définitif
MessagePosté: 03 Jan 2012, 16:46 
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J'ai tout lu sauf la première ligne, je te jure !

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 Sujet du message: Re: TOP 2011 - Définitif
MessagePosté: 03 Jan 2012, 17:18 
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Léo a écrit:
Je découvre que Drive c'est un roman...


Pas terrible d'ailleurs.

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 Sujet du message: Re: TOP 2011 - Définitif
MessagePosté: 03 Jan 2012, 18:40 
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Billy Budd a écrit:
Léo a écrit:
Je découvre que Drive c'est un roman...


Pas terrible d'ailleurs.


Surtout très intéressant par rapport au film et ce que le réal en a fait.

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 Sujet du message: Re: TOP 2011 - Définitif
MessagePosté: 05 Jan 2012, 17:03 
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Inscription: 03 Jan 2012, 14:08
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J'ai bien lu vos conseils: éviter le topic de présentation.
Résultat, je ne passe pas par la case départ et propose direct' mon top 2011 :twisted:

1- Tree Of Life
2- Melancholia
3-Drive
4-Une Séparation
5-Polisse
6-Habemus Papam
7-J'ai Rencontré le diable
8-Les Aventures de Tintin
9-Black Swan
10-The Artist

Acessit: Avant l'aube.

Par contre, si quelqu'un peut m'expliquer comment est-ce que l'on insère des images, ce sera pas de refus !


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 Sujet du message: Re: TOP 2011 - Définitif
MessagePosté: 05 Jan 2012, 17:07 
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C'est la fête, cette semaine !

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 Sujet du message: Re: TOP 2011 - Définitif
MessagePosté: 05 Jan 2012, 17:18 
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Yeah ! :roll:


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 Sujet du message: Re: TOP 2011 - Définitif
MessagePosté: 05 Jan 2012, 17:20 
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En tout cas, quelqu'un qui place Tree of Life en premier ne peut pas être une mauvaise personne.

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 Sujet du message: Re: TOP 2011 - Définitif
MessagePosté: 05 Jan 2012, 17:22 
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Quezak a écrit:
Par contre, si quelqu'un peut m'expliquer comment est-ce que l'on insère des images, ce sera pas de refus !

Puisque je partage avec toi 8 films sur 10 dans mon top, je vais t'expliquer:

Tu copies/colles dans ton message l'adresse d'une image (ça se termine souvent par blablabla.jpg, .png, etc.), puis tu mets la balise "Img", et c'est réglé.

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 Sujet du message: Re: TOP 2011 - Définitif
MessagePosté: 05 Jan 2012, 17:24 
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:)

Juste en question, en revanche.

J'ai l'impression qu'Avant l'aube est pas trop aimé par ici ? Ou alors laisse complètement indifférent ?

Pourquoi donc ?


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 Sujet du message: Re: TOP 2011 - Définitif
MessagePosté: 05 Jan 2012, 17:25 
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Ils sont genre deux à l'avoir vu, par ici.

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 Sujet du message: Re: TOP 2011 - Définitif
MessagePosté: 05 Jan 2012, 17:27 
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Ouais, ça aide pas.


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 Sujet du message: Re: TOP 2011 - Définitif
MessagePosté: 05 Jan 2012, 17:45 
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Quezak a écrit:
J'ai bien lu vos conseils: éviter le topic de présentation


T'as bien fait, de toute façon on sait déjà comment qué té appellario.


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 Sujet du message: Re: TOP 2011 - Définitif
MessagePosté: 05 Jan 2012, 18:04 
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Marlo a écrit:
T'as bien fait, de toute façon on sait déjà comment qué té appellario.

loooooool

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 Sujet du message: Re: TOP 2011 - Définitif
MessagePosté: 06 Jan 2012, 12:45 
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1 - Le Cheval de Turin de Bela Tarr
Une expérience de cinéma unique et d'une force peu commune. Voilà un film qui redéfinit pour moi l'activité cinéphile, qui révolutionne mon regard et qui me traverse comme une bourrasque, comme cette tempête qui rugit dehors et qui annonce la fin du monde. Chef-d'oeuvre absolu.

2 - Drive de Nicolas Winding Refn
Un certain idéal de cinéma. Du cinéma de série B qui sait se faire brillant grace à une mise-en-scène parfaite du premier au dernier plan. Un grand film qui parle de cinéma, de héros et de légende tout en étant bouleversant. Carey Mulligan qui se glisse une mèche devant son miroir est un des plans les plus beaux de l'année et pourtant d'une simplicité totale. Et la scène de l’ascenseur est à pleurer. Il y a peu de films comme ça où la musique, la mise-en-scène, la lumière, les acteurs s'amalgament parfaitement pour donner un résultat renversant. Grand, grand film.

3 - L'Apollonide, Souvenirs de la Maison Close de Bertrand Bonello
Je n'en attendais rien, n'aiment qu'assez moyennement ce que je connaissais de Bonello. C'est dire la claque que j'ai prise face à ce pure objet sensoriel et poétique. D'une beauté à couper le souffle le film est un enchantement visuel et sonore tout en racontant le quotidien terrible de ses prostituées de luxe qui côtoient le velours et les draperies et les chambres de bonnes nues et froides. Film presque uniquement pictural il n'est qu'une succession de tableaux magnifiques et bouleversant où se déploie une superbe poésie. Un ode aux femmes et à la beauté qui m'a totalement soufflé.

4 - Melancholia de Lars Von Trier
Lars Von Trier est définitivement un des plus grands réalisateur vivant. Il le prouve une nouvelle fois avec ce Melancholia presque tétanisant de maîtrise. Sa construction brillante en deux tableaux, ses visions oniriques picturales, ses actrices magnifiées et surtout, surtout ce lent et bouleversant crescendo vers ce plan final qui laisse sans voix et qui éteint tout. Du cinéma qui vient vous remuer au fond des tripes. Une merveille.

5 - Hors Satan de Bruno Dumont
Après un Hadewijch bavard, complexe et parisien, Dumont revient à une austérité totale dans son Nord natal pour nous offrir un conte morbide dominé par la figure d'un vagabond mystique. Pour peu que l'on se laisse emporter par le rythme lancinant du film et son drôle de romantisme cabossé, l'expérience est fabuleuse.

6 - Never Let Me Go de Mark Romanek
Une surprise totale. J'avais assez peu aimé Photo Obsession mais là j'ai été particulièrement touché par cette histoire terrible incarnée avec une extrême sensibilité par un trio d'acteurs au sommet. J'adore particulièrement cette ambiance mortifère et fataliste sur laquelle vogue le film. Cette magnifique mélancolie qui lui est propre. Et puis cet univers intemporel correspond tellement au film, à contre courant d'une tendance dominante du cinéma. Un vrai beau film que je suis content de retrouver dans quelques tops ici ou là.

7 - La BM du Seigneur de Jean-Charles Hue
Gros coup de coeur pour ce docu-fiction totalement unique plongeant brutalement dans la vie d'une famille de gitans Yéniches. C'est féroce, c'est violent mais c'est aussi mystique et poétique sans jamais juger les personnages à l'écran. Et puis il y a cette invention de langage chez ces gens là qui est extraordinaire et qui définit cette communauté. Une expérience de cinéma autre avec de magnifiques fulgurances. Un réalisateur que je vais suivre de très près.

8 - Les Aventures de Tintin, Le Secret de la Licorne de Steven Spielberg
Après avoir gravé dans le marbre l'archétype de l'aventurier il y a 30 ans avec Indiana Jones, Steven Spielberg se permet de revisiter le genre et de le réinventer totalement grâce aux évolutions technologiques. Son Tintin est un film incroyable définit par une constante, une obsession qui le parcourt du début à la fin : le mouvement. Le film ne se pose absolument jamais, le récit avance dans l'action et même plus se définit par l'action. C'est un tourbillon éreintant, pas facile à appréhender d'une traite, un drôle d'objet post-moderne mais aussi et surtout un grand film populaire. Le plan-séquence à Baghar est d'ores et déjà un plan culte absolument ahurissant.

9 - Two Gates of Sleep d'Alistair Banks Griffin
J'ai vu ce film au Festival de Cannes 2008, il y a donc 2 ans et demi. Je n'espérais plus le voir sortir sur les écrans français et pourtant un distributeur à eu le courage de faire découvrir cette petite merveille au plus grand nombre. Au croisement de Gus Van Sant période Gerry et du cinéma de Terrence Malick, c'est un voyage incroyablement beau que propose Griffin en suivant deux frères qui ont décidé d'aller enterrer leur mère au fin fond de la forêt. Probablement le plus beau cinémascope de l'année. Et un jeune réalisateur au talent inouï qu'il faudra suivre de très près. LE film que j'aurais adoré réaliser.

10 - I Saw the Devil de Kim-Jee Woon
Une belle petite claque ce film. J'avais quasiment détesté son précédent (western parodie/hommage ultra lourdingue à Leone) mais là je dois dire que le film m'a fait décrocher la mâchoire à plusieurs reprises. Quel film de fou quand même ! Cette espèce de course poursuite à la vengeance la plus horrible donne lieu à un crescendo violent et malsain ultra tendu. Mais les coréens ont cette faculté absolument unique de mettre de l'humour à l'endroit où il était le moins indiqué. Et ce qui pourrait paraître un manifeste d'auto-défense bien limite idéologiquement se transforme soudain en cartoon hardcore et en pur divertissemnt extrême. Une sacrée expérience de cinéma en tout cas.

11- I'm Still Here de Casey Affleck
Un drôle de film, vendu comme une comédie à la Sasha Baron Cohen où Joaquin Phoenix fait semblant d'arrêter sa carrière et de devenir rappeur. Ce qui frappe tout d'abord c'est l'étrangeté de ton. Le film n'est pas vraiment drôle, ne joue pas sur des gags mais distille plutôt une ambiance malaisante avec des personnages pathétiques se débattant dans des vies stériles et affreusement tristes. Et au final le film c'est ce regard sur la célébrité, sur cette déconnexion d'avec le monde et cette solitude terrible. Sur un sujet similaire je le trouve bien plus réussi que Somewhere. Et puis le film parvient malgré tout à être beau et poétique et à sauver ce qui peut l'être. Une fois de plus une expérience de cinéma assez fascinante.

12 - Une Séparation d'Asghar Farhadi
Immense scénario. Rarement un film ne m'aura semblé parvenir à évoquer aussi brillamment la société dans laquelle il est fabriqué avec l'histoire presque banale de ces quelques personnages. C'est un peu je trouve une certaine essence de cinéma que de réussir ce genre d'alchimie, de rendre interdépendante l'intime et la société, raconter l'un à travers l'autre et vice et versa. Et puis j'ai beaucoup aimé cet égalité de traitement entre les personnages où aucun n'est meilleur que l'autre mais tous sont profondément humains. Très beau film.

13 - Tomboy de Céline Sciamma
J'aimais déjà beaucoup Naissance des Pieuvres c'est donc la confirmation que Céline Sciamma est une réalisatrice avec laqueille il faudra désormais compter. Son Tomboy est une petite merveille de simplicité qui s'épanouit dans une sensibilité à fleur de peau avec un amour incommensurable dans le regard porté sur ces personnages. Vraiment un petit film tout simple, sans fioritures mais qui parvient à se faire très émouvant et c'est assez rare.

14 - Un Amour de Jeunesse de Mia Hansen-Love
Pour être honnête j'ai eu du mal avec certains acteurs que je trouve pas forcément très justes. Mais une fois passée cette barrière le film touche au coeur dans cette évocation magnifique d'un amour adolescent. J'ai particulièrement aimé cette hypersensibilité mélancolique, cette poétique de la tristesse qui rend le personnage principal si touchant. Lola Creton est une très belle révélation.

15 - La Piel que Habito de Pedro Almodovar
Almodovar revient à son meilleur en lâchant un peu son cinéma qui avait tendance à s'embourgeoiser depuis quelques films à se cristalliser dans son hommage redondant à Hitchcock et au cinéma classique. Et c'est en réalisant un "petit" thriller qu'il va retrouver la verve qui lui va si bien et la folie qui caractérise ses meilleurs films. Ça part dans tous les sens, c'est ultra charnel, toujours à la limite de la vulgarité mais en même temps étrangement beau, très poétique. J'aime que le film soit une espèce de croisement entre du cinéma bis des années 70 et un cinéma plus théorique finalement très moderne. Elena Anaya fait des merveilles dans le rôle principal. Probablement le plus grand oublié de Cannes 2011.

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CroqAnimement votre


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