Forum de FilmDeCulte

Comme dit Jericho, le filme tente en effet de pas mal surfer sur les trucs à la 24... Moi ça me plaît, j'aime bien parfois les films qui recherchent la satisfaction du spectateur au détriment de la morale, et patati et patata.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Il parlait de "petit lait" que tu as écrit "petit laid".

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

Ah lol okay... bien vu.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

En fait, Besson, c'est simple (ouais ouais).

Dans les scénarios qu'il écrit pour les autres, les produits finis les plus potables sont ceux pour lesquels le réalisateur dépasse le scénariste.
Autrement dit, ceux où la mise en scène parvient à sauver quelques-uns des meubles (genre un canapé, deux chaises, une table mais la commode avec l'argenterie est niquée).

Je pense notamment aux films de Leterrier ou de Nahon qui surnagent un peu au-dessus de la masse de Krawczyk...

Et Banlieue 13 nous avait déjà montré à quel point Morel n'excellait en rien.

Donc on a une fois de plus un scénar des plus BATEAUX (mais bateau-mouche là...comme celui à la fin, avec le Cheik, super tosgra ça), où la vulgarité apparaît dès le PREMIER PLAN (ça quand Besson -et ses réals- essaient de faire dans l'émotion/dramatique/sérieux, c'est même pas la peine), avec quelques bonnes choses (les fameux "talents" de Neeson vantés dans la bande-annonce) mais surtout beaucoup de facilités (la piste la plus facile à remonter depuis...depuis la fois où après avoir arrêté de croire au Père Noël, j'ai cherché mes cadeaux dans toute la maison, ça a pas duré longtemps) et des trucs juste débiles (tout le délire avec la chanteuse) mais surtout, SURTOUT, encore une fois, on a droit à un ensemble globalement pompé ailleurs (24 n'a pas inventé le genre non plus mais là...jveux dire, le mec s'en cache même pas, la fille du perso A LE MÊME PRENOM QUE LA FILLE DE BAUER...ça va, Luc? Tu t'es pas trop fait chier là? Et après avoir plagié Harry Potter, Chérie j'ai rétréci les gosses, ou n'importe quel autre film pour enfants, tu vas râcler quels fonds de tiroir pour tes prochains films?).

Je passerai sur les trucs qu'on pardonne même pas aux films américains et que Besson fait ici (où comment tu peux trouver 10 putes sur 5m de trottoir dans Paris...un peu comme le Londres de Benjamin Gates 2 où TOUS les anglais disent au moins une fois "Oï!").

Le film est regardable principalement pour son côté bourrain avec ses tatannes violentes, ses tortures sympatoches et ses morts expéditives, avec un Liam Neeson cachetonnant mais toujours meilleur qu'un Cyril Raffaelli quoi...

Et Maggie Grace passe son temps à joeur et surtout courir comme une gogol, c'est assez drôle.

D'ailleurs, ça faisait longtemps que j'avais pas vu une salle se foutre si ouvertement de la gueule d'un film...et pas juste en riant tout le temps mais en se moquant à haute voix contre l'écran...(déplacé, franchement, j'ai vu biiiiiiiiiien plus ridicule comme film).

Heureusement c'est court.

Mais c'est dommage...des trucs qui paraissent ridicules ici (genre tout ce qui tourne autour du "Good Luck"), en l'écrivant et en le mettant en scène un peu mieux, ça tuerait...là, comme pour beaucoup des affronts dans le film, y a quasiment pas de mise en place, très peu de build-up...c'est amateuresque en fait...juste le strict minimum.

Après, visiblement, certains spectateurs peu exigeants "adorent".



Enfin bref...

1/6

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Le 'Good Luck' du gangster qui pense à juste titre ne rien craindre de qui que ce soit ou presque, j'ai trouvé que ça fonctionne bien. C'est le meilleur moment du film, pour moi.


Tout pareil.

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Tennis de Table Bordeaux

Ouai bon, comme promis, ma copine m'y a trainé de force. Réactions à la sortie :
Elle : c'est violent quand meme !
Moi : Ahah ouai il leur a bien tatané la gueule hein !

Bref, c'est con. En gros c'est un mélange de 24 (héros taré, fille bonne et conne à sauver), Bourne (Je suis très intelligent quand je me file) et Miami Vice (Des plans crados plein de grain de nuit et la scène du "je t'explose la cervelle au moment ou tu tu t'y attends le moins").

Tout (enfin le peu de) ce qui tourne autour du "good luck" est vraiment pas mal. Mais ca finit sur un truc puant :


Sinon, côté action, c'est ni mieux ni moins bien filmé que la plupart des productions ricaines actuelles : ça bouge dans tous les sens, c'est parfois illisible, la moyenne quoi. Par contre, côté rythme et monté en puissance des scènes d'action, c'est inégal, voire inexistant.

A voir en Divx.

Mon dieu que c'est con... Le scenario pue de la gueule ou tout s enchaine comme par enchantement, les scenes d action tremblote a la Bourne sans coherence...


allez, 1 sur 6 par indulgence pour Liam. L'autre doit plus jamais me parler d'indulgence

Hihi. Il est mignon ce film...

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Découvert en DVD prêté. Donc film con,cliché, bourrin et bas du front, mais ça se laisse regarder comme des milliers de films des 80's et 90's, franchement.

Si tout est définitivement très con dans ce film (je ne vais pas répéter en détail ce que vous avez déjà souligné : les 50 putes au m², l'enquête la plus facile depuis que les enquêtes existent, les flics pourris, les femmes putes/connes/débiles...), j'ai bien aimé le côté vraiment badass (Liam teint en noir, habillé en noir, souvent dans l'ombre), le côté gratuit (quand il tire dans le bras de la bonne femme TOTALEMENT INNOCENTE, j'ai joui), et la violence et la lisibilité des combats. Par contre, la poursuite en voiture à contre sens est dramatique de nullité. En fait, dès que le film s'éloigne du personnage principal, de ce qu'il ressent et de ses coups de tatanne, il s'écroule. Sans Liam Neeson y a pas de film.
3/6

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vivement la suite moi je dis!

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Lol, j'irai pas jusque là !!!!

Par contre, Morel me semble (du moins avec ce film, car je conserve un très mauvais souvenir de B13) un cinéaste relativement posé, par rapport aux autres de l'écurie Besson. Je suis curieux de voir son From Paris with love, même si Travolta y semble insupportable.

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Il est pas allé le chercher loin ça le père Luc, il a vu un épisode de 24 et c'était bon.

Pas du tout posé ce FROM PARIS WITH LOVE... les scènes d'action sont illisibles!

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Possible, je n'ai jamais vu un épisode de 24. Ce n'est pas l'idée en elle même que j'adore mais le fait que ça existe dans un film de ce genre.

Par contre, un autre truc auquel je pensais et qui me faisait marrer (jaune) : la copine blonde qui se fait enlever, elle n'existe pas un seul instant. Tout le monde s'en fout qu'elle soit enlevée (on ne prévient même pas les parents) et tout le monde s'en fout qu'elle meure (là aussi, les parents on les prévient pas).

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