Le Cow-boy a écrit:
Faudrait être con pour lire un truc pareil dans des conditions idylliques oui
.
On parlait justement avec l’éditeur de la difficulté de promouvoir ce genre de livre sur les réseaux sociaux : impossible de mettre des photos du livre sur une plage, d’offrir des tot-bags, etc.
Le Cow-boy a écrit:
Sinon rien à dire de plus que mes camarades ici, j'ai trouvé ça très, très bien. Le rapport avec ta propre histoire, ton gamin et ton questionnement personnel ("pourquoi ce mec fait ça alors qu'au même âge, je ne pensais qu'à niquer ?") c'est vraiment ce qui fait le sel du bouquin, c'est hyper classe et c'est ce qui nous fait rentrer dedans, participer au truc, le comprendre, le justifier.
Il y a bien un moment (dans le premier tiers, je ne sais plus où) où j'ai failli décrocher, un trop plein de noms, de faits politiques qui s'enchaînent, mais tu retombes bien bien sur tes pattes, et à partir du "jour J" (ou des quelques heures avant en tout cas), on retombe dans l'humain. C'est haletant, efficace, jamais pompeux ni ennuyeux, et parfois très touchant.
Voilà, je ne saurai pas en parler mieux, mais ton talent se confirme, c'est super bien écrit et ça m'a vraiment beaucoup plu.
Merci beaucoup !!!
Et effectivement, il y a un déluge de noms, de dates et d’événements politiques sur une trentaines de pages. Mais il importait pour moi de plonger le lecteur dans cette période bouillonnante (pour reprendre un terme cher à QGJ), cette incroyable ambiance générale, de lui donner le contexte sans forcément qu’il cherche à tout comprendre et à tout retenir. Finalement, il y a deux ou trois noms en dehors de ceux de Jan : Libuse la mère, Jiri le frère, Helena la copine. Les autres sont les figurants de cette histoire.