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MessagePosté: 17 Juil 2005, 22:26 
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Matou miteux
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Affreuse saleté qui se rêve noirissime parce qu'elle filme des taxis la nuit, des vieilles fêtes à coke (quelle scène cliché en plus) et des mines fermées, mais qui se crashe juste lamentablement dans son esthétique Siska (et c'est une facilité que j'aime habituellement pas ce genre de comparaison mais là...voilà quoi) et son rythme de momie, pas aidé par sa direction d'acteurs (Clive Owen néanderthalien, Jonathan Rhys Meyers à chier). Me suis barré au bout d'1h05, c'est assez rarissime, mais c'était vraiment du temps jeté dans la gueule du loup comme le dit notre bonne vieille expression. Je devrais sûrement ajouter 2 points pour le nom du réal m'enfin...c'est bien loin, La Loi du milieu (et Flash Gordon c'est plus près).

0/6 s'il faut noter, beuark si c'est insuffisant

Ca rejoint mon beau podium pourri de Marebito et 9 songs.

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MessagePosté: 17 Juil 2005, 22:30 
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Ouhla j'entends du très bon et du chef d'oeuvre et puis la plouf...Bon curieux je reste :shock:


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MessagePosté: 17 Juil 2005, 22:36 
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Matou miteux
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Jack Griffin a écrit:
Ouhla j'entends du très bon et du chef d'oeuvre et puis la plouf...Bon curieux je reste :shock:


J'ai entendu pareil...en tout cas on était trois et tous les trois d'accord pour fuir *quelle entente*

La revoyure de Charlie *youhou* avant ça remonte quand même le tout.

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MessagePosté: 17 Juil 2005, 22:50 
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Matou miteux
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Zad a écrit:
Intrigant petit polar, avec un Clive Owen exceptionnel (tiens, là, Bliss est pas d'accord)


Quand je vois la scène où il est face au médecin légiste...je me questionne vraiment. A part jouer le parpaing (je suis détruit = je suis barbu, j'ai le regard fixe)...c'est d'un épais. Et plus proche du Roi Arthur que de Closer ou Sin City.

Zad a écrit:
Voilà. Je sais pas trop quoi dire. Les acteurs sont bons (Rampling sous-exploitée, par contre), l'histoire prenante, la réal élégante et sobre (je penche pour un peu de fatigue de la part de Bliss...)...


J'étais frais comme un gardon hé. L'histoire prenante, bon tout ça est vraiment affaire de goût...la réal élégante? Tu penses à une séquence en particulier? Une idée? Une atmosphère? J'ai vraiment du mal à voir. Et je n'y allais pas perdant.

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MessagePosté: 17 Juil 2005, 23:10 
J'ai adoré ce film mais j'ai pas envie de me disputer avec Bliss.


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MessagePosté: 17 Juil 2005, 23:24 
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Spoiler?


L'histoire c'est quand même un mec qui se suicide parce qu'il s'est fait enculer...

Moi j'ai rien d'autre à dire, sinon que Clive qui épluche des carottes, qui taille du bois, ou qui jette un seau de pisse dans l'égout, me fait mettre 2/6, parce que Clive, je l'aime bien.

Sinon, la musique, quand elle n'est pas pompé sur la BO de The Game (qui était déjà pompée sur autre chose, mais j'ai oublié), est atroce, et le montage est insupportable de molesse. Le film se cherche sans arrêt et ne se trouve pas.

Maintenant, à moi aussi, il va ma manquer 30 minutes, mais je pense que voir Clive raser la barbe, mettre un costume et dérouiller Malcolm, à moins qu'il ne la lui mette dans le fion, c'est tout à fait ratable.


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MessagePosté: 17 Juil 2005, 23:36 
Ca y est, je suis un peu énervé maintenant. :lol:

Ma défense du film dans 15 minutes. :mrgreen:


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MessagePosté: 18 Juil 2005, 00:04 
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Bob Harris a écrit:
Ca y est, je suis un peu énervé maintenant. :lol:

Ma défense du film dans 15 minutes. :mrgreen:


Te fatigue pas, c'est de la merde ton film, on s'en fout.

:twisted:


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MessagePosté: 18 Juil 2005, 00:14 
C'est drôle mais dans d'autres forums, on a aussi des avis très radicaux, preuve que ce film n'a rien de consensuel et tant mieux ! :twisted:

D'abord, il faut situer le film dans son contexte, Mike Hodges cherche à déconstruire le mythe Get Carter, qui avait marqué les esprits pour la virilité jusqu'au-boutiste de Michael Caine: souvenons-nous de cette scène où il sort d'une maison à poil avec un fusil à la main. Et la référence à la plage est loin d'être anodine.

GROS SPOILERS



Ici, le machisme est carrément maltraité, on se suicide parce qu'on s'est fait violer, on viole parce qu'on n'assume pas son vrai penchant sexuel : brillante idée qui peut paraître stupide mais qui trouve toute sa logique ici. Le genre devient désincarné et mortifère, d'où cette impression de rêve éveillé, de film neurasthénique avec ses cadavres ambulants, ses plans nocturnes qui filment les voitures de dos (comme dans un certain Kubrick). I'll sleep when I'm dead est avant tout un film d'atmosphère, dont le sublime désespoir pourrait fasciner ou rebuter. Reconnaissons lui l'audace de n'appartenir à aucune mode. C'est justement la réponse cinglante du maître aux petits roublards du néo-polar 90's type Snatch et compagnie. La scène de la révélation avec le médecin-légiste est très forte, d'une ironie implacable....

Depuis Get Carter, les choses ont changé, et c'est un regard complètement désabusé que Mike Hodges livre sur le genre, baignant son film dans une tristesse radicale. Il filme des personnages énigmatiques en laissant un certain mystère sur leur passé pour mieux cerner le sens de leur existence. Il joue avec les clichés du revenge-movie pour mieux déjouer les attentes du spectateur. L'intrigue est simple, épurée, mais il s'agit d'un film crépusculaire. Même la violence inhérente à ce genre de film est évacuée... Le final est énorme. La vengeance ne se passe pas tout à fait comme prévu mais se clôt magnifiquement dans une fatalité inéluctable. 8)


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MessagePosté: 18 Juil 2005, 02:18 
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Citation:
C'est drôle mais dans d'autres forums, on a aussi des avis très radicaux, preuve que ce film n'a rien de consensuel et tant mieux ! :twisted:


ok, mais en même temps, ça change rien :twisted: :twisted:

Citation:
D'abord, il faut situer le film dans son contexte, Mike Hodges cherche à déconstruire le mythe Get Carter, qui avait marqué les esprits pour la virilité jusqu'au-boutiste de Michael Caine: souvenons-nous de cette scène où il sort d'une maison à poil avec un fusil à la main. Et la référence à la plage est loin d'être anodine.


Bien évidemment, et c'est aussi ce que je lui reproche. C'est un impression peut-être fausse, mais on sent quand même le réal qui marche sur ses succès. Mais je ne connais pas bien la carrière de Hodge donc, je ne suis pas à même de juger.

Citation:
Ici, le machisme est carrément maltraité, on se suicide parce qu'on s'est fait violer, on viole parce qu'on n'assume pas son vrai penchant sexuel : brillante idée qui peut paraître stupide


Le Machisme n'est pas maltraité, il exulte. Un mec qui se suicide parce qu'il prend une bite dans le cul, c'est le summum du machisme.

Citation:
mais qui trouve toute sa logique ici. Le genre devient désincarné et mortifère, d'où cette impression de rêve éveillé, de film neurasthénique avec ses cadavres ambulants, ses plans nocturnes qui filment les voitures de dos (comme dans un certain Kubrick).


Laisse Stanley dans sa tombe...

Citation:
I'll sleep when I'm dead est avant tout un film d'atmosphère, dont le sublime désespoir pourrait fasciner ou rebuter. Reconnaissons lui l'audace de n'appartenir à aucune mode.


S'il se définit au sein d'un genre, il fontionne forcément sur des codes, et ces codes sont ceux du polar des années 70, jusque dans la photo. et c'est justement pour celà qu'il sonne aussi mal selon moi. On est pas dans un néo-polar, mais dans un recyclage fatigué, qui tente de rêgler des comptes avec son passé. En celà, la tentative est noble, mais ne me plait pas.

Citation:
C'est justement la réponse cinglante du maître aux petits roublards du néo-polar 90's type Snatch et compagnie. La scène de la révélation avec le médecin-légiste est très forte, d'une ironie implacable....


Justement, ironie, je l'ai cherché sur la scène, elle faisait tellement premier degré. C'est ça qui m'a géné plus que tout, une scène pareille se doit d'être ironique, et Clive Owen est affreusement monolythique.

Citation:
Depuis Get Carter, les choses ont changé, et c'est un regard complètement désabusé que Mike Hodges livre sur le genre, baignant son film dans une tristesse radicale. Il filme des personnages énigmatiques en laissant un certain mystère sur leur passé pour mieux cerner le sens de leur existence.


Comme dans Get Carter, non?

Citation:
Il joue avec les clichés du revenge-movie pour mieux déjouer les attentes du spectateur. L'intrigue est simple, épurée, mais il s'agit d'un film crépusculaire. Même la violence inhérente à ce genre de film est évacuée... Le final est énorme. La vengeance ne se passe pas tout à fait comme prévu mais se clôt magnifiquement dans une fatalité inéluctable. 8)


Tu peux raconter la fin (je le reverrai pas)?


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MessagePosté: 18 Juil 2005, 10:20 
Le Pingouin Susceptible a écrit:
Bien évidemment, et c'est aussi ce que je lui reproche. C'est un impression peut-être fausse, mais on sent quand même le réal qui marche sur ses succès. Mais je ne connais pas bien la carrière de Hodges donc, je ne suis pas à même de juger.

Non, il ne fait pas Get Carter 2, mais il en offre une nouvelle variation trente ans après. Sinon, il faut aussi découvrir Croupier, le film qui a révélé le très sexe Clive Owen, j'ai aussi des bons échos de L'Irlandais (Mickey Rourke + IRA).

(bon, y a aussi Flash Gordon, lol...) :mrgreen:

Citation:
Le Machisme n'est pas maltraité, il exulte. Un mec qui se suicide parce qu'il prend une bite dans le cul, c'est le summum du machisme.

Non, le summum du machisme, c'était Michael Caine. Et puis tu oublies une précision importante dans le dialogue du médecin-légiste, c'est que "Dawey aurait éjaculé". :idea:

Citation:
S'il se définit au sein d'un genre, il fontionne forcément sur des codes, et ces codes sont ceux du polar des années 70, jusque dans la photo. et c'est justement pour celà qu'il sonne aussi mal selon moi. On est pas dans un néo-polar, mais dans un recyclage fatigué, qui tente de rêgler des comptes avec son passé. En celà, la tentative est noble, mais ne me plait pas.

Je comprends que ce film ne fasse aucun effort pour séduire le spectateur non initié au genre. Ici, tout repose sur le non-dit qui devient aussitôt une évidence. Et quand le dialogue se met en place, il devient rapidement oppressant (comme dans cette scène de bar avec les trois loubards), j'ai rarement vu ça dans un film de genre, c'est clairement un film de fantômes, à l'intérieur d'un genre devenu lui-même fantôme. Tous les acteurs s'amusent à jouer de leur "présence" (ou de leur "non-présence", c'est selon). La prestation de Clive Owen est géniale de bout en bout, je comprends que son air monolithique puisse énerver, mais elle a toute sa complexité ici.

Si j'avais un reproche à faire à ce film, c'est que le relation entre Owen et Rampling aurait pu être mieux étoffée, mais bon...


Citation:
Justement, ironie, je l'ai cherché sur la scène, elle faisait tellement premier degré. C'est ça qui m'a géné plus que tout, une scène pareille se doit d'être ironique, et Clive Owen est affreusement monolythique.

Mais c'est une ironie à froid, parce que la réponse du médecin-légiste est tellement loin de ce que Clive Owen pouvait imaginer. Ce n'est pas du second degré facile. Hodges nous a montré dès le début ce qui s'est vraiment passé, et ne joue pas sur le suspense. Il y a aussi cette impression que le copain de Dawey pourrait lui aussi être un homo refoulé.

Citation:
Tu peux raconter la fin (je le reverrai pas)?

Clive Owen finit par choper Malcolm McDowell chez lui, celui-ci tente de se justifier en disant qu'il détestait plus que tout le machisme de son frère qui couchait avec toutes les femmes, et qu'il voulait lui infliger une leçon. C'est troublant car il a parfaitement cerné le personnage de Dawey. Owen lui répond qu'il ne le tuera pas tout de suite parce que "ce serait trop facile" justement, mais qu'il reviendra à un moment ou un autre, sans préciser quand. Mais une fois qu'il est sorti, il marche un peu, il s'arrête, se retourne et revient le buter. Fianlement, c'est cette hésitation qui prend beaucoup plus de sens que la vengeance elle-même. Je ne sais pas si je me suis bien expliqué, mais avec la mise en scène, c'est bien plus riche que ça.

Enfin, voilà quoi... Mais c'est pas grave si vous avez totalement décroché du film ! :wink:


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MessagePosté: 18 Juil 2005, 11:46 
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Citation:
Non, il ne fait pas Get Carter 2, mais il en offre une nouvelle variation trente ans après. Sinon, il faut aussi découvrir Croupier, le film qui a révélé le très sexe Clive Owen, j'ai aussi des bons échos de L'Irlandais (Mickey Rourke + IRA).


nouvelle variation, recyclage....

Citation:
Non, le summum du machisme, c'était Michael Caine. Et puis tu oublies une précision importante dans le dialogue du médecin-légiste, c'est que "Dawey aurait éjaculé". :idea:


Le fait qu'il se suicide après? C'est surtout le comble du n'importe quoi...

Citation:
Je comprends que ce film ne fasse aucun effort pour séduire le spectateur non initié au genre.


De quel "genre" tu parles? J'ai vu un gros paquet de polar, de films de vengeance...

Citation:
Ici, tout repose sur le non-dit qui devient aussitôt une évidence. Et quand le dialogue se met en place, il devient rapidement oppressant (comme dans cette scène de bar avec les trois loubards),


scène affreusement clichée, mais j'était peut-être conditionné...

Citation:
j'ai rarement vu ça dans un film de genre, c'est clairement un film de fantômes, à l'intérieur d'un genre devenu lui-même fantôme.


l'expression film de genre ne me plait pas. La notion de genre est hyper complexe, et l'opposition auteur/genre n'a clairement plus lieu d'être. De plus la notion de genre regroupe tant de ces mêmes genres, qu'il faudrait plutôt parler du type de film dont tu parles.

Citation:
Tous les acteurs s'amusent à jouer de leur "présence" (ou de leur "non-présence", c'est selon). La prestation de Clive Owen est géniale de bout en bout, je comprends que son air monolithique puisse énerver, mais elle a toute sa complexité ici.


Elle m'énerve pas, elle m'ennuie.

Citation:
Mais c'est une ironie à froid, parce que la réponse du médecin-légiste est tellement loin de ce que Clive Owen pouvait imaginer. Ce n'est pas du second degré facile. Hodges nous a montré dès le début ce qui s'est vraiment passé, et ne joue pas sur le suspense. Il y a aussi cette impression que le copain de Dawey pourrait lui aussi être un homo refoulé.


et c'est drôle?

Citation:
Clive Owen finit par choper Malcolm McDowell chez lui, celui-ci tente de se justifier en disant qu'il détestait plus que tout le machisme de son frère qui couchait avec toutes les femmes, et qu'il voulait lui infliger une leçon.


Oh làlà...Bon ben no regrets...


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MessagePosté: 18 Juil 2005, 12:21 
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Matou miteux
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Zad a écrit:
SPOILERS

Bah j'aime bcp les premières séquences jusqu'au viol, par exemple. Le parcours dans la rue est très astucieusement filmé en plan large, on sait que ses assaillants sont planqués dans la petite ruelle sombre, lui ne le sait pas, on le voit marcher tranquillement, on distingue les autres qui se préparent... Le tout dans un seul plan bleuté sulbime.


Oui je me souviens bien de ce plan. Après c'est là qu'on voit les différences de perception car, pour l'avoir vu hier soir, le plan est pas bleuté du tout mais juste noir sombre.

Zad a écrit:
Sinon, dans les plans qui me reviennent : Owen qui voit son petit frère "spectral" en train de danser dans une salle, qui s'y précipite, plus rien and then le coup de fil.


Là c'est juste que je vois plus :)

Zad a écrit:
Le sublime plan barbu/plus barbu.


Comme tu as fait l'effort de répondre (non c'est vrai), je serai pas cynique là-dessus, mais c'est vrai que je vois mal le sublime dans le plan barbu/plus barbu. C'est peut-être le jeu de Owen aussi qui bloque.

Zad a écrit:
Après je trouve que ça manque de qqch mais que 0/6 c'est vraiment, vraiment, vraaaaaiiiiment exagéré.


Ah bah si tu fais vraiment partie du club du support de ton idole disparue, va falloir t'habituer aux 0/6 par pluie hein! Moi c'est juste du crachin.

Zad a écrit:
C'est quoi,d 'ailleur,s le dernier film auquel tu aies mis 0/6 ?


Cette année je mets 0/6 à Marebito, 9 Songs, voire Elektra (sur 115 films c'est peu). En gros, des films qui (même si ça veut pas dire grand chose tout seul) n'ont pas de quoi faire un film (je mets pas zéro juste parce qu'un film est nul).

Marebito c'est le truc bâclé en une semaine, avec 3 idées jetées n'importe comment et plein de vide autour (celui qu'on essaie de faire passer pour du mystère...euh), une vraie arnaque filmée comme la mort (alors que Shimizu sait faire autre chose).

9 songs c'est là encore un vertige creux avec des scènes de cul filmées n'importe comment, sans aucune sensualité, sans rien, et des scènes de concert encore plus laides, avec ses plans de neige et sa voix off pompeuse. Et ça parvient quand même à être culcul-concon. Ca réhausserait presque Elektra et ce I'll sleep en fait.

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MessagePosté: 18 Juil 2005, 12:23 
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Blissfully a écrit:
Cette année je mets 0/6 à Marebito, 9 Songs, voire Elektra (sur 115 films c'est peu). En gros, des films qui (même si ça veut pas dire grand chose tout seul) n'ont pas de quoi faire un film (je mets pas zéro juste parce qu'un film est nul).

Marebito c'est le truc bâclé en une semaine, avec 3 idées jetées n'importe comment et plein de vide autour (celui qu'on essaie de faire passer pour du mystère...euh), une vraie arnaque filmée comme la mort (alors que Shimizu sait faire autre chose).

9 songs c'est là encore un vertige creux avec des scènes de cul filmées n'importe comment, sans aucune sensualité, sans rien, et des scènes de concert encore plus laides, avec ses plans de neige et sa voix off pompeuse. Et ça parvient quand même à être culcul-concon. Ca réhausserait presque Elektra et ce I'll sleep en fait.


Ah j'ai oublié Le Courage d'aimer! Bon celui-là j'en ai parlé il y a peu :)

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MessagePosté: 18 Juil 2005, 12:24 
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Blissfully a écrit:
Cette année je mets 0/6 à Marebito, 9 Songs, voire Elektra


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