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MessagePosté: 19 Oct 2025, 16:08 
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latique a écrit:
Où as-tu vu cette note de 2.7/5? Le film est bien noté par les spectateurs sur Allocine, Letterboxd, Imdb.

Dans le roman, Perfidia (qui s'appelle Frenesi) est bien pire, si j'en crois les lecteurs. Je n'ai jamais lu Pynchon, mais son roman le plus connu raconte quand même l'histoire d'un gars dont les érections prédisent le lieu d'impact des V2 nazis sur Londres. C'est pour ça aussi que je recommandais de prendre la dimension "réaliste" du film avec une certaine distance.
Ah ouais, non, c'est la moyenne des notes sur google.

Sinon, merci pour la recommandation, mais il aurait fallu la faire à PTA.
Pour ça que j'imaginais des Coen ou Gilliam sur ce genre de matériau.


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MessagePosté: 19 Oct 2025, 16:14 
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Bêtcépouhr Lahvi a écrit:
spécial LOL sur la remarque comme quoi elle pourrait être en exil soit à Cuba, soit à Alger. Je sais que la petite actualité française a ravivé des temps mythifiés mais est-ce que vraiment Alger au XXIe siècle est une option de repli pour des opposants politiques US ? Est-ce qu'elle l'a jamais été d'ailleurs ?
Oui, entre 1962 et 1974 (ce qui n'est pas cohérent avec la chronologie du film, qui ne l'est pas de toute façon). On en avait parlé sur un autre topic. Elaine Mokhtefi, compagnon de route des Black Panthers en exil là-bas, a écrit un bouquin à ce sujet: "Alger capitale de la révolution".


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MessagePosté: 19 Oct 2025, 16:36 
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Ambigubd'ailleurs le rôle de la Bataille d'Alger dans le film


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MessagePosté: 19 Oct 2025, 16:45 
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latique a écrit:
Bêtcépouhr Lahvi a écrit:
spécial LOL sur la remarque comme quoi elle pourrait être en exil soit à Cuba, soit à Alger. Je sais que la petite actualité française a ravivé des temps mythifiés mais est-ce que vraiment Alger au XXIe siècle est une option de repli pour des opposants politiques US ? Est-ce qu'elle l'a jamais été d'ailleurs ?
Oui, entre 1962 et 1974 (ce qui n'est pas cohérent avec la chronologie du film, qui ne l'est pas de toute façon). On en avait parlé sur un autre topic. Elaine Mokhtefi, compagnon de route des Black Panthers en exil là-bas, a écrit un bouquin à ce sujet: "Alger capitale de la révolution".
Encore un effort d'indulgence demandé au spectateur (pour la chrono).

Et oui, je m'en souviens, suite au tweet de Rima Hassan.

Je n'ai pas plus creusé le sujet au point de lire ce livre d'une militante (mariée à un membre du FLN, donc relativisons les conditions d'exil) et certainement pas avec une objectivité scientifique à attendre, mais disons qu'il ne suffit pas d'une requête google ou chatGPT pour crouler sous les exemples et sources.
Militante passée par Paris au préalable d'ailleurs.
Et livre récent. Donc probablement corpus de PTA. Plus l'extrait de "La bataille d'Alger", ça doit faire son petit effet autour d'un zinfandel.


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MessagePosté: 19 Oct 2025, 17:49 
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Film qui couvrait le coup d'état de Boumedienne et la reprise rnain du régime par les généraux


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MessagePosté: 20 Oct 2025, 22:54 
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Enfin revu le film et avec la chance de le faire à Londres, dans l'une des quatre salles au monde le diffusant dans son format d'origine, en VistaVision et projeté en pellicule - d'ailleurs, avant de changer discrètement de place au bout de 20 minutes pour troquer mon siège à 21£50 (!) éloigné, en hauteur, à l'inclinaison faussement confortable et devant des marches lumineuses pour une place au premier rang du balcon avec dossier et repose-pied électroniquement commandés (à 36£50 normalement), je pouvais entendre la bobine défiler dans le projecteur lors des passages silencieux - et c'est intéressant comme ça influe sensiblement sur certains aspects du film.

Avec un ratio proche (1.50) de la verticalité de l'IMAX (1.43), les gros plans englobent désormais l'intégralité des visages plutôt que de les enfermer, et dramatisant l'humanité de récit, au même titre que les plans larges gagnent en ampleur, accentuant la nature opératique et immersive du film.

Et quel film, toujours aussi incroyable dans son rythme ad hoc, toujours aussi drôle dans sa satire socio-politique, mais surtout, toujours aussi touchant dans son portrait de la parentalité. J'avais déjà été frappé la première fois par cette réplique de Bob quand il dit qu'il n'a jamais su coiffer sa fille. Quand on sait qu'Anderson est lui-même le père de filles métisses, on se dit que ça sent le vécu, et en même temps, cette simple remarque cristallise toute la problématique explorée par le cinéaste dans le film : cette incapacité pour une génération (et un blanc) à gérer la suivante. Anderson parle de darons depuis son premier film mais son dernier m'apparaît vraiment comme son plus personnel, animé par cette inquiétude et cet optimisme d'un parent vis-à-vis de ses enfants et du monde qu'il leur lègue.

Le "WHO ARE YOUUUU?!" déchirant de Willa à la fin m'a mis les larmes cette fois.

Que fait-on à nos enfants...

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MessagePosté: 21 Oct 2025, 07:38 
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Film Freak a écrit:
J'avais déjà été frappé la première fois par cette réplique de Bob quand il dit qu'il n'a jamais su coiffer sa fille. Quand on sait qu'Anderson est lui-même le père de filles métisses, on se dit que ça sent le vécu


bien vu. y a une petite histoire encore plus subtile (et touchante) que ça : les stans ont retrouvé une vieille interview de maya rudolph où elle raconte qu'elle est métisse (mère noire, père blanc juif), que sa mère est morte quand elle était petite, et qu'elle n'a jamais eu de problème identitaire ou quoi mais qu'il y avait la question des cheveux. et de ce que j'ai pu observer chez mes nièces les cheveux des filles metisses c'est spectaculaire mais c'est vraiment absolument infernal. bref. son père était blanc, il l'élevait seule, et elle a du apprendre à se coiffer et se coiffer toute seule et que c'étaient les moments où elle était face à elle-même pour lui rappeler la situation. et bien des années plus tard, son père lui avait dit qu'il avait fait de son mieux mais que ça avait été évidemment compliqué, mais par exemple il aurait aimer pu lui apprendre à se coiffer.

et plus anecdotique mais mignon : au générique la mère de perfidia est "grandma minnie", soit le nom de la mère de maya rudolph.


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MessagePosté: 21 Oct 2025, 13:51 
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Au moins le film a-t-il le mérite de produire du discours (vous) ou Lordon (pas lu encore).


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MessagePosté: 21 Oct 2025, 15:08 
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Le papier de Lordon dit quand même beaucoup de choses pour juste exprimer qu'il aurait bien aimé que ce soit un autre film.

Le film de PTA n'est pas "un film sur Trump" ni sur "l'ère trumpienne". Au contraire, il dit que le pays est fondé là dessus et ça a toujours été comme ça, ce qui le rend intemporel dans le cadre d'une Amérique à peine fantasmée (mais fantasmée quand même car c'est un film de fiction) (d'ailleurs, je ne vois pas les papiers qui lui sont tombés dessus car il a pas vraiment parlé de la dianétique dans The Master comme ici on lui tombe dessus parce qu'il ne parle pas vraiment des Black Panthers).

C'est un film sur des gens qui galèrent au milieu de tout ça, c'est Big Lebowski en thriller politique, c'est un film qui te dit que les immigrés n'ont pas attendu la montée des extrêmes pour s'organiser.

Ca brasse un tas de trucs mais in fine parle de l'humain perdu dans ça. Qu'il soit bourgeois ou pas, c'est pas grave, parce qu'il n 'a pas l'intention d'être un brulôt politique et ne l'est pas. C'est un constat et quelque chose d'intéressant sur ce qu'on accepte de partager de la lutte avec sa filiation.

C'est hyper dommage d'avoir des personnes que je peux trouver brillantes parler d'un film avec des généralités creuses, son bouquin d'histoire sur les genoux et en parlant de la critique en face plutôt que du film lui même.

Bien sûr que beaucoup de gens n'ont pas l'acuité politique que peuvent avoir d'autres, notamment les jeunes, et ils reconnaissent pas toujours la politique là où elle est, mais au final, est ce que c'est vraiment si intéressant de se dire meilleur que ces personnes? Je ne suis pas certain.

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MessagePosté: 21 Oct 2025, 15:57 
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Assez d'accord avec Puck, j'aime bien Lordon mais il tape à côté. Bien sûr, le film n'est pas un petit précis de marxisme contemporain, mais il n'en est pas moins intéressant sur ce qui fait l'Amérique et les gens qui tentent de la changer.
Certes il y a plusieurs passages assez moqueurs sur des révolutionnaires de pacotille mais justement il pointe leur côté "héros" ou "agents secrets" ( la première demi heure et les opérations ressemblent un peu à du James Bond) qui n'ont pas grand chose avec un processus révolutionnaire.


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MessagePosté: 21 Oct 2025, 16:06 
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après, c'est un trope bien établi de la critique française d'accorder des points bonus de manière un peu disproportionnée au sous-texte politique des films américains, quitte à réduire à ça des films qui ont d'autres facettes. en l’occurrence ici le film se caractérise par le fait qu'il mélange plein de choses, c'est sa spécificité, son identité et sa splendeur, donc vouloir absolument que ce soit un film politique ça dit juste que le cerveau des gens est plus formaté que celui de l'auteur.


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MessagePosté: 21 Oct 2025, 16:29 
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Puck a écrit:
dans le cadre d'une Amérique à peine fantasmée (mais fantasmée quand même car c'est un film de fiction)
Puck a écrit:
c'est Big Lebowski en thriller politique
Alors on pourra me reprocher de ne pas apprécier le film parce qu'il n'est pas comme je voudrais qu'il soit mais il me semble qu'on accorde beaucoup plus d'indulgence de nos jours au flou entre les différents degrés de lecture, la réalité et la fiction, la lecture et l'interprétation, et que ce film tombe en plein dedans.
Une ou deux scènes en mode Big Lebowski clairement déconnectées, rappelant au spectateur, quitte à ce que ça passe pour un coup de coude, qu'on est bien dans une fiction m'aurait semblé bienvenue. Parce que si le grotesque est présent (la mère enceinte tirant à la mitrailleuse, quasi tout Jocklaw et bien d'autres touches), la réalité autour de ces sujets l'étant tout autant, je pense vraiment qu'on puisse le prendre au 1er degré.
Pour refaire le parallèle avec les derniers Tarantino, il accorde encore ces moments fondamentalement incroyable même dans le monde du cinéma (où on peut survivre d'une balle dans la tête et un carambolage).
Là, je ne vois rien de ça. Et vu le talent de PTA, je trouve ça petit malin
Pas lu le papier de Lordon, je ne sais pas si c'est du cinéma bourgeois (mais très certainement upper-class californian) et j'ai franchement directement pensé à l'anathème bobo. Entre autres, parce que le film est riche et provoque en effet des discours comme dit bnmtp, mais si un certain cinéma ou fiction en général voit une tolérance à brouiller les représentations comme on dit dans d'autres cas, ça me désole.
C'est certainement l'époque.
FingersCrossed a écrit:
après, c'est un trope bien établi de la critique française d'accorder des points bonus de manière un peu disproportionnée au sous-texte politique des films américains, quitte à réduire à ça des films qui ont d'autres facettes. en l’occurrence ici le film se caractérise par le fait qu'il mélange plein de choses, c'est sa spécificité, son identité et sa splendeur, donc vouloir absolument que ce soit un film politique ça dit juste que le cerveau des gens est plus formaté que celui de l'auteur.
Ouais, enfin quand tu vois un film où tous les personnages principaux sont des activistes politiques, c'est pas comme s'échiner à trouver un discours sur la lutte des classes dans Shakespeare in Love.
Et quand, aussi bien écrite qu'elle peut l'être, tu rajoutes une couche de papa célib / adolescente, tu donnes facilement l'impression de pas assumer.


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MessagePosté: 21 Oct 2025, 16:46 
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D'accord globalement avec ce que tu dis jusqu'à un certain point, Bêtcépouhr Lahvi. Et je pense que ce point est justement mon appréciation du film et ce que j'y ai trouvé. Et c'est peut être pour ça que j'aime le PTA tardif plus que celui de Magnolia ou There Will be Blood. Je trouve qu'il navigue mieux dans le flou et ne s'embarrasse pas du dogme.

Le film n'a pas pensé pour moi, bien au contraire. Etant le fils d'un militant arménien dédié à la cause de la reconnaissance du génocide arménien à la fin des 70's et des 80's qui était plutôt un homme d'action, je ne peux m'empêcher de faire le transfert et voir que ce qui est décrit est juste.

Que ce soit les anecdotes, celles qu'il a choisi de me raconter en premier ou en dernier, cette nostalgie dans laquelle il m'a gardé après m'en avoir longtemps protégé et enfin avoir la sagacité de dire que tout ce qu'il a fait était pas ouf ou était fantasmé, tout y est.

Je trouve le film absolument brillant sur cet aspect.

Et ce qu'il me raconte a au moins autant de bouffonerie que dans le film. Parce que même la lutte, c'est parfois absurde.

Je pense que le politique est ici un contexte intemporel inspiré de plein de choses et qui réussit à résonner avec beaucoup d'époques et de luttes. Ca peut faire "vague" mais c'est pas grave, c'est PTA, pas le redac chef de Fakir, il cherche l'universalité et pas caresser la pureté militante d'un Lordon qui est passé de Droite à Gauche et se pense juge de tout ce qui prétendrait être sur ses plates bandes.

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MessagePosté: 21 Oct 2025, 16:58 
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Oui, oui, pour ça que je dis que la réalité peut être aussi grotesque. Entre un Biden sénile, la classe de Trump ou le ridicule achevé des costumes du KKK, juste pour se limiter aux US, ya déjà de quoi rire jaune.

Sinon juste pour dire que je lis l'article et je vais l'envoyer au pote avec qui je l'ai vu, parce qu'il ne l'a certainement pas lu mais m'a aussi dit qu'il avait pensé à Ulrike Meinhof. Et le film vieillit bien mieux chez lui que chez moi.
Et je suis plus ou moins d'accord avec le début de l'article mais finalement au contraire, je ne regrette pas des allusions directes aux Black Panthers mais finalement plus de folie.
Attendre un brûlot politique avec DiCaprio, encore excellent, en tête d'affiche, franchement...


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MessagePosté: 21 Oct 2025, 17:21 
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Sinon presque la même histoire, mais avec l'engagement politique et la contemporanéité imémdiats (en même temps qu'une légère forme de dystopie à la Punishment Park) : Ice de Robert Kramer, vu il y a déjà lontgtemps pour moi (cela s'efface) mais très singulier (et son contrechamp documentaire Milestone de 1975, déjà assez amer et marqué par une forme de critique des positions maximalistes, mais aussi à cause de déception plus "sociologique" que "politique", à vrai dire le film le plus important des deux- qui sont présents dans ce que PT Anderson reprend, en le caricaturant et le dénaturant en restant dans des représentations conventionnelles quand-même).

Chez Kramer on cerne bien que l'intérêt croissant sur les questions identitaires et raciales est directement le fait d'un reflux de l'utopie 68arde. Au moment de l'espoir d'une victoire, les deux n'étaient pas articulées en même temps, même depuis une commune perspective de lutte contre le raciste, quand le film d'Anderson les entremêle (ce qui en dénote la nature de spectacle fantasmant le passé) . La partie historique et collective de l'aliénation est un enjeu de mémoire (et de savoir) ainsi qu'une compensation de ce qui dans sa forme activiste, était plutôt articulé à l'échelle de l'individu ou de l'avant-garde révolutionnaire.

Maintenant je ne trouve ce que dit Lordon satisfaisant. "Critique bourgeoise". Mais à quoi oppose-t-il la bourgeoisie, au peuple ou à l'avant-garde ? Ne pas le préciser est-ce une manière de s'accaparer le prestige de la seconde, en en simulant la vitalité ? Faire le procès des gauches actuels à travers le film est aussi assez vain, mais c'est Lordon aussi.


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