Forum de FilmDeCulte

LOL

J'ai du mal avec Pynchon. Je sais pas si ça passera dans cette adaptation, j'espère!

Je trouve ça péteux et vide, mais je n'en ai lu qu'un seul. Mais aucune envie d'en essayer d'autres.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Lol cele doit être ça. et je te dis pas quand tu découvres The Master juste chez toi sans aucune histoire de rang. encore pire

Pareil lu un seul Pynchon (le plus court, Vol à la Criée 49), vaguement amusant mais dans l'ensemble je l'ai quasiment déjà tout oublié. Inherent Vice m'a définitivement vacciné je crois.

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CroqAnimement votre

Ah bon? J'en entends jamais parler.

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Je suis jamais déconcerté, je trouve jamais ça "bizarre" et je trouve souvent que PTA a recours à des effets faciles, justement. Que faire ?

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Assieds-toi au milieu, second rang.

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N'écoutez pas Film Freak

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Rien. Reste Zad.

Essaye Betrayal.

Edit : my bad, j'avais lu Pinter.

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There is no such thing in life as normal

Pynchon est le plus grand styliste de la littérature américaine vivant. Je te conseille de commencer par "Vente à la criée du lot 47", qui est assez accessible, et si tu vois que ça te plait, précipite-toi sur "V".

C'est vrai qu'il ferait mieux de faire de la mode.

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Nothing and no one can save you! Abandon hope now! Here's what you can do :
1. Admit you are a semi-evolved ape-thing mercifully ignorant of the sanity-blasting truths of the greater cosmos.
2. Die.
3. Rot.

De la confiture pour les cochons.

Je ne saurai trop quoi en dire.

Je n'en attendais vraiment rien du tout (j'accroche pas à PTA et j'ai l'impression que, même si le film a ses fans, ils sont peu nombreux en fin de compte) et je me suis surpris, passé un premier contact un peu déconcertant de par le rythme, à trouver ça relativement entraînant, notamment grâce à l'humour parfois improbable (la banane de Bigfoot, les mecs qui frappent ou bousculent Doc, chaque petit "hmm" différent de Phoenix, le "meet-cute" des Harlingen) et à cette non-enquête ludique dans son côté matriochka. Et tout ça, malgré la lenteur de mec foncedé qu'adoptent le récit et surtout la mise en scène, souvent en longs plan-séquences, parfois même fixes.

Malheureusement, cette longueur finit par rattraper le film et je décroche petit à petit, surtout après ce que j'ai pris initialement pour la fin du film.
Et surtout, je sors un peu du film en mode "what's the point?".
À l'instar d'Art Core, je peine à voir où ça va au-delà de l'expérience '70s, parfaitement reproduite au demeurant (vu en projection 70mm), qui, si elle ne me fut pas déplaisante, ne me suffit pas in fine. Je lis ça et là qu'il s'agit d'un film sur la fin d'une époque, sur l'opposition entre la culture hippie et le conservatisme du Los Angeles de cette période, sur la mémoire, mais je trouve que l'écriture se perd trop dans sa lecture presque post-moderne des intrigues à la Raymond Chandler pour véhiculer un tel propos de façon convaincante.

Donc voilà, c'était amusant mais la fumée s'est déjà dissipée là.

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