Forum de FilmDeCulte

mdr y a une séquence ici où après un plan majestueux on coupe sur un bout de baston à la télé ? Ou alors les portes se referment et on verra rien?

Non. Merci. Au revoir.

Et d'ailleurs, j'échange aucune des scènes de ce film-ci, que ce soit le bateau, l'attaque de Ginza ou le climax contre toutes les scènes de ponts du Edwards avec ses MUTOs.

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J'avoue j'ai limite pouffé de rire quand elle se met à pleurer tellement c'est fake.

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CroqAnimement votre

Bingo : https://www.youtube.com/watch?v=pXpjCWnGYhA

Il est fou lui, le Edwards est juste une usine à icônes.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste

Cherche pas, sa mauvaise foi le tuera.

Et c'est pas de la frustration, c'est faire monter la pression au fur et à mesure du film. Mais dans un monde où tout est montré tout de suite, on a tendance à oublier le plaisir que ça procure...

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Netflix les gars, Netflix.

J'ai pas nié la majesté des plans chez Edwards (c'est même... littéralement dans mon message) mais ça fait pas monter la tension, ni ne produire de plaisir, ça frustre. Quand le T-Rex sort de son enclos, tu vois pas l'attaque de la Jeep via une caméra de surveillance pendant 10sec.

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Et encore une fois, il y a un film autour des scènes de Godzilla ici. Dans le Edwards, lol.

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Désolé pour toi, chez moi ça fonctionne.

Paye ton film sur-écrit et surjoué oui.

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Netflix les gars, Netflix.

SINON TU DIS DU MAL DE SAKURA ANDO !

Alors la coupure télé de Godzilla, je trouve ça absolument fabuleux.
Sinon en tout point d’accord sur les défauts soulignés par Cowboy, sauf que malgré tout je trouve que le film fonctionne bien. Il mériterait 20 bonnes minutes de moins (et effectivement je dégagerais la gamine) parce que certains dialogues sont interminables. Mais je trouve le film vraiment fort, aussi bien dans ce qu’il est que ce qu’il n’est pas.

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Que lire cet hiver ?
Bien sûr, nous eûmes des orages, 168 pages, 14.00€ (Commander)
La Vie brève de Jan Palach, 192 pages, 16.50€ (Commander)

Comment Godzilla peut il couler alors qu'il a visiblement pied?

Comment interpretez vous la tâche

Premier film Godzilla de l'ère Reiwa, le film annonce la couleur de son époque. Reiwa, c'est, de l'aveu du ministère qui a nommé l'époque -encore Abe, à ce moment là-, un retour au classiques (chinois, mais c'est pas l'important ici, l'inclusion exclusion de la Chine dans l'idéologie c'est à géométrie variable, surtout qu'on peut toujours la reprendre sous la sphère de coprospérité pacifique... Les bases, encore. Et classiques chinois parce que quand tout le monde s'est interrogé sur ce caractère Rei, c'est cette origine issue des classiques chinois qui a été donnée comme explication).
Alors on va reprendre les bases, plus qu'une seule musique, l'originale, remaniée bien entendu, l'histoire de gosse, le jeu de la petite échelle dans la grande...Et donc finis les développements de fin de Heisei, la modernisation du Japon, sa technologie (les trains de Shin Godzilla), on reprend aux bases : l'immédiat après-guerre, voire pire : pendant.
Finies aussi les négociations, les rapports avec le reste du monde, le monde, il est occupé ailleurs (en Russie, ce qui est assez drôle au vu de la situation du Japon par rapport à la Russie, mais ça encore, le film fait bien exprès de montrer qu'on sen fout) : on est tous seuls. Finie la politique, aussi, on n'est que des militaires et des "citoyens"... Le pur fantasme est là, d'un Japon lâché, livré à lui-même, qui va s'occuper de lui-même seul, avec ses militaires et son peuple.
Alors bien sûr, le moteur de ce retour aux classiques, c'est la culpabilité du kamikaze, qui va servir de fil conducteur à tout le film. Bien sûr, il s'ejecte, on va pas non plus lâcher la partie non-dite... Mais le retour aux classiques, ici, c'est pas vis-à-vis de la période Heisei, c'est même la fin de l'ère Showa et tout le travail pour déconditionner l'esprit et la culpabilité du kamikaze qu'on envoit valser... L'unique ressort dramatique du film consiste à revenir sur tout le travail fait dans le pays pour déconditionner le Kamikaze raté, lui purger sa culpabilité, effacer l'endoctrinement. Ici, donc, le seul enjeu, c'est comment il va finir sa guerre tout en ne faisant pas une orpheline. Voilà, on a résolu le problème des kamikaze. Fallait juste qu'ils s'éjectent...

Bref, un bon film de Nippon Kaigi (la grande réunion de Japon, l'association révisionniste semi occulte infiltrée dans les partis d'extrême droite et de droite japonaise, et même une partie du CDPJ... Impliquée dans la moitié des scandales de l'époque Abe- l'autre moitié étant la secte Moon).

Et au-delà de ça, c'est beaucoup plus chiant que Shin (l'apparition de Godzilla sur persecution of the masses, c'était quand même autre chose que cette première apparition sur des bonhommes qui courent sur une île deserte, la destruction de Ginza ici, c'est assez tape à l'oeil mais moins impressionnant quand on voit les dimensions prises par les déplacements de Godzilla précédemment -et c'est un truc que même les ère Showa faisaient mieux que celui-ci - pour ne citer que ces exemples).

Je sais plus si j'ai mis 0 ou 2 sur le site.

Godzilla Reiwa contre Godzilla Heisei, c'est : on arrête avec les trains, des politiciens, des relations internationales, on reprend des kamikaze, un gouvernement militaro-populiste, et de l'isolationnisme.
Reiwa, ça annonce vraiment de la merde, mais on s'en fout, le Japon est un pays fini.

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C'est moins la connerie que le côté attention-whore désoeuvrée plutôt pête-couilles et désagréable que l'on relève chez moi, dès lors que l'on me pratique un peu.

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