Forum de FilmDeCulte

Genre c'est parce qu'il y a ce genre de représentations au cinéma que Duris a largué Bonamy pour Mackey.

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"Je vois ce que tu veux dire, mais..."
"Je me suis mal exprimé, pardon."

Oui d'autant que Marc Lavoine et Vincent Cassel ont fait exactement le même genre de sorties récemment sur leurs nouvelles copines deux fois plus jeunes qu'eux.

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CroqAnimement votre

Pas directement mais c'est cocasse comme turn of events. Le mec "coupable" du comportement que des wokes estiment encouragés par son film.

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Qu'est-ce que j'aurais aimé un film exclusivement sur le défi d'ingénierie, politique et humain de la conception et construction de la Tour Eiffel. Des scènes de ce film existent dans le Bourboulon et elles sont bonnes (Eiffel qui préfère faire le métro parce qu'il ne s'agira pas d'un monument démonté 20 ans mais un truc qui "vivra après nous", la Tour pensée pour accueillir haute société et plèbe) mais le récit est parasité par une romance hors sujet...


J'ai plutôt pensé à Shakespeare in Love dans l'idée d'une muse fantasmée qui inspire la plus grande création d'une personnalité réelle.


C'est surtout qu'à part l'impulsion initiale, super grossièrement amenée (tout le monde n'est pas Sorkin), la romance n'a plus rien à voir avec la Tour. Ça devient un triangle amoureux basique.

En fait, tout est basique dans l'écriture de la romance. Chaque rebondissement est élémentaire au point d'atteindre une relative artificialité, trahissant son côté inventé et plaqué.


C'est un peu poussif mais y a un minimum d'efforts (Duris sans barbe et de-aged un chouille, Mackey coiffée et maquillée différemment et surtout qui joue "la jeunesse" et la quadra différemment) pour que cela me suffisse à faire le saut de foi mais bon...


Oui alors que tout ce qui touche au système d'air comprimé qui empêche la Tour de s'enfoncer, c'est génial, tout comme la scène de la jonction du premier étage. Le film était là, surtout que Bourboulon le filme bien.

Esthétiquement, entre la caméra dynamique de Bourboulon et la photo charbonneuse de Boucard, c'est classe. Il y a un truc dans les scènes de conception et de construction, dans les bureaux et sur le chantier. La mise en scène rend ça assez vivant.

En tout cas, je suis vraiment curieux de voir ses Trois mousquetaires.

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C'est rigolo, je viens d'avoir un autre son de cloche, un gars ayant collaboré avec la production (mais n'en faisant pas partie), qui est pas tendre avec elle et qui donne un point de vue différent. On saura jamais la vérité, ça me fascine ce genre de truc.

Elle a l'air désagréable donc je veux bien le croire même si rien de ce qu'elle raconte ne m'étonne malheureusement.

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J'imagine bien les deux clans avoir chacun leurs raisons et leurs fautes inavouées. C'est ça qui est beau.