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MessagePosté: 13 Oct 2015, 01:46 
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D’un petit village du sud de l’Iran aux cités parisiennes, Kheiron nous raconte le destin hors du commun de ses parents Hibat et Fereshteh, éternels optimistes, dans une comédie aux airs de conte universel qui évoque l’amour familial, le don de soi et surtout l’idéal d’un vivre-ensemble.

Ce bref synopsis est à peu de choses près la note d'intention résumée de ce premier film réalisé par Kheiron, comique moins star que la plupart de ses contemporains et dont l'humour nous est donc moins connu, et c'est une belle surprise qu'il nous livre, née d'une démarche on ne peut plus personnelle dont la sincérité transpire par conséquent à chaque instant. Toutefois, ce n'est pas la seule force qui anime ce biopic d'inconnus.

Sans opter pour la fable à la Begnini style La Vie est belle, Nous trois ou rien reste traversé par une certaine légèreté qui sait trouver l'humour dans la tragédie sans jamais manquer de gravitas (voire de pathos) lorsque le récit le nécessite. Il y a quelques blagues faciles et quelques "montages" très premier degré illustrant les passages les plus dramatiques du parcours des héros, notamment dans la musique, mais l'authenticité du sentiment permet de faire passer la pilule. Et le metteur en scène sait se faire plus subtil et encore plus émouvant par moments (la scène du téléphone).

C'est le regard d'un fils sur l'incroyable destin de ses parents après tout et ce point de vue se retrouve autant dans l'iconisation du drame que dans la comédie (on est dans un film où le Shah Reza Pahlavi est interprété par Alexandre Astier) et ce jusque dans la direction d'acteur plutôt anachronique (les comparses du protagoniste sont interprétés par une ribambelle de jeunes comédiens encore peu vus au cinéma comme Jonathan Cohen et Sébastien Houbani et dont le phrasé est délibérément 2015) apportant beaucoup d'humour.

C'est un témoignage qui se transmet, à travers les yeux de Kheiron et la voix de son père, bien plus le récit d'une intégration que d'une révolution et davantage ouvert vers les autres que ne le sous-entend son titre. Au vu du cheminement des deux personnages et où ils aboutissent, et comme le soulignent même l'une des dernières répliques, il est impossible de ne pas relier le propos du film aux événements récents concernant le sort des réfugiés et de ne pas y voir un beau message pro-immigration. En cela, Nous trois ou rien est non seulement un film formellement soigné à la fois drôle et touchant mais aussi un film engagé. Pour un film populaire, ça change des exemples démagos style Bienvenue chez les ch'tis ou Qu'est-ce qu'on a fait au bon Dieu?

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MessagePosté: 13 Oct 2015, 09:21 
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tape dans ses mains sur La Compagnie créole
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Allez...! Bonne nouvelle.

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"


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MessagePosté: 13 Oct 2015, 10:07 
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C'était le seul qui me faisait marrer dans Bref.


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MessagePosté: 06 Déc 2015, 11:16 
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Pas du tout accroché a ce crowd pleaser tellement forcé que j'en vois en permanence les coutures. Les intentions sont évidemment louables et si la première partie en Iran est plutôt pas correct ça se dégonfle totalement à l'arrivée en France où le film se transforme en spot angélique United Color of Bennetton.

Au delà de ça je trouve le film constamment maladroit, mal écrit, ne parvenant pas à faire véritablement exister ses personnages trop occupés à raconter leur histoire, Kheiron oublie de nous les présenter. On ne comprendra jamais ce qui motive la conviction politique du personnage principal réduite à une ligne de voix-off (genre à la fac je découvre la politique... ok). Le personnage de Leïla Bekthi c'est pareil, on ne nous la présente pas, on ne sait pas qui c'est au delà d'être une femme de caractère mais est-elle motivée par la politique ou se contente-t-elle de suivre son mari ?
Et sans personnages difficile de s'investir dans un récit au final extrêmement schématique, sans aucune profondeur. Quelques gags fonctionnent, quelques scènes sont réussies (le coup de téléphone en Leïla Bekthi et son père) mais c'est globalement super moyen.

A l'image de ces quelques idées nulles comme le montage alterné avec la police qui arrive dans une réunion secrète mais en fait non c'est pas au bon endroit, cette ligne de dialogues géniales en voix-off on avait caché les papiers dans le pantalon du petit, scène suivante, la police prend le petit pour le fouiller... ou le frère blessé qui meurt (scène de larmes bien pathos) mais qui revit (sourire, gag, tout le monde est content). Et Kheiron, acteur médiocre à ranger direct dans la catégorie des réalisateurs qui n'auraient jamais dû jouer dans leur film.

Bon ma copine a adoré et la salle a applaudi donc c'est sans doute moi qui suis un cinéphile aigri. Mais dans tous les cas je vois pas beaucoup de cinéma dans ce film à la facture très télé et un peu trop plein d'autosatisfaction béate (ce générique finale insupportable avec bien évidemment les vraies photos, ce moment où Kheiron évoque la création de son pseudo genre on a a quelque chose à foutre).

2/6

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CroqAnimement votre


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MessagePosté: 06 Déc 2015, 17:37 
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Robot in Disguise
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Vu il y a quelques semaines et je voulais quand même écrire deux mots dessus.

Pendant le film, je me suis rendu compte à quel point je voyais quelque chose de rare en France: un film où le français se substitue à une autre langue. Ca a l'air de rien comme ça (les américains le font tout le temps), mais en France c'est quasiment unique. De tête, je recense ARTEMISIA et LES SOEURS BRONTË. D'autres exemples ?
Bref, tout ça pour dire que le simple fait de faire un film en français qui se situe en Iran avec des iraniens - et en plus que ce soit une comédie - apporte quand même un sacré vent d'air frais. Cette volonté de parler d'autre chose que notre petit nombril, tout en voulant parler au plus grand nombre, fait plaisir.
Les personnages sont ultra-contemporains dans leur manière d'être - on a le droit de leur reprocher - mais ça a le mérite de retranscrire pour un "large public familial" la galère des opposants au Shah et à Khomeini. On peut sans peine imaginer la même histoire racontée sous forme de vieux film d'auteur grisâtre avec Golshifteh Farahani qu'on aurait eu l'impression d'avoir déjà vu 1000 fois, et Kheiron choisit au contraire un parti-pris assez unique en France.

Malheureusement, ça ne fait pas un film. Car tout englué qu'il est dans l'histoire vraie de ses parents, Kheiron n'arrive pas à créer un vrai récit. La petite famille arrive en France et là il manque clairement une charnière émotionnelle. Le scénario essaie de s'en sortir avec la petite phrase sympa "Ils se disputent mais au moins ils se parlent", mais on ne voit pas vraiment en quoi CE personnage-là, en ayant vécu CES évènements-là, allait tenir CE rôle dans la deuxième partie du film. Ca manque d'un "arc", pour parler vulgairement, ou juste d'une nécessité dramaturgique. Pourtant il y a "une belle promesse" (comme on dit) de voir ce dissident venir panser les plaies des mecs de banlieue... Mais malheureusement ça ne prend pas, ce n'est pas organique. On sent qu'on est juste devant un récit de la vraie vie - "Je raconte le truc comment ça s'est passé" - et du coup la deuxième partie paraît dispersée, ça devient une collection de vignettes. Dommage.

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Liam Engle: réalisateur et scénariste
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MessagePosté: 08 Mai 2016, 14:55 
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J'aime bien le film mais je trouve clairement que Kheiron se plante dans sa seconde moitié et j'ai des gros doutes sur sa capacité à raconter autre chose que des histoires biographiques vu les ratés narratifs de la seconde partie.

L'humoriste, que je ne connaissais pas, réussit de très belles choses quand ça se focalise sur la lutte contre le pouvoir iranien et tout ce qui tourne autour de la résistance est ce qui est le plus réussi dans le film. L'acteur arrive très bien à mélanger un peu d'humour à ces événements graves et ça donne un film au ton attachant qui sait à la fois détendre et émouvoir. Et puis je trouve très bon le choix des comédiens. Alexandre Astier en chah, Darmon et Zabou en iraniens, sur les papier c'est pas du tout crédible mais à l'écran ça passe comme une lettre à la poste et donne un certain cachet BD au film. Je rejoins Liam sur ses remarques sur le choix du français dans le film.

Enfin bref, je trouve toute cette première partie excellente mais c'est clairement au niveau de la structure narrative que ça se gâte. Clairement même si c'est mignon, la partie sur l'intégration dans la cité est un tout autre film et j'aurais largement préféré que Kheiron reste sur le sujet de l'engagement et de la lutte contre le régime iranien. Surtout que je pense qu'il y aurait pu avoir matière à des scènes intéressantes en montrant la lutte à distance de ces hommes et le danger qui les rattrapent et j'aurais aussi bien pris 20 minutes de plus sur toute la partie qui se passe en Iran.

Malheureusement ce n'est pas le cas et avec cette partie sur l'intégration le résultat est décousu. Le pire c'est qu'il y a une vision et des choses à dire sur l'intégration qui auraient très bien pu tenir l'espace d'un second film intéressant. D'ailleurs, Kheiron est obligé de ne pas développer certains points qui auraient pu être intéressants comme le pourquoi de la légion d'honneur. Bref, peu de maitrise narrative et je trouve absurde de concentrer ses deux sujets sur un même film alors que deux aurait été idéal.

3,5/6


Dernière édition par Abyssin le 08 Mai 2016, 15:05, édité 2 fois.

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MessagePosté: 08 Mai 2016, 15:02 
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Art Core a écrit:
Bon ma copine a adoré et la salle a applaudi donc c'est sans doute moi qui suis un cinéphile aigri. Mais dans tous les cas je vois pas beaucoup de cinéma dans ce film à la facture très télé et un peu trop plein d'autosatisfaction béate (ce générique finale insupportable avec bien évidemment les vraies photos, ce moment où Kheiron évoque la création de son pseudo genre on a a quelque chose à foutre).

D'accord avec toi, on a rien foutre de Kheiron (l'enfant pas l'acteur) dans le film. Pour moi c'est un récit centré avant tout sur ses parents et c'est très maladroit quand il tire un peu l'attention sur lui : son surnom d'acteur, le titre totalement à la ramasse... Bon après c'est très peu fréquent dans le film mais vu que c'est totalement HS c'est involontairement narcissique.

Déçu car je trouve que le film a du potentiel et je ne peux m'empêcher de dire que ça aurait pu être excellent.


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MessagePosté: 08 Mai 2016, 18:23 
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Abyssin a écrit:
Malheureusement ce n'est pas le cas et avec cette partie sur l'intégration le résultat est décousu. Le pire c'est qu'il y a une vision et des choses à dire sur l'intégration qui auraient très bien pu tenir l'espace d'un second film intéressant. D'ailleurs, Kheiron est obligé de ne pas développer certains points qui auraient pu être intéressants comme le pourquoi de la légion d'honneur.

Bah il a la légion d'honneur pour tout ce qu'il a entrepris dans la seconde partie du film justement.

Citation:
Bref, peu de maitrise narrative et je trouve absurde de concentrer ses deux sujets sur un même film alors que deux aurait été idéal.

Ça n'aurait pas de sens de la séparer en 2 films vu que le propos du film c'est comment des militants immigrés ont pu reconvertir leur engagement après l'échec dans leur propre pays.

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MessagePosté: 08 Mai 2016, 19:51 
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Film Freak a écrit:
Ça n'aurait pas de sens de la séparer en 2 films vu que le propos du film c'est comment des militants immigrés ont pu reconvertir leur engagement après l'échec dans leur propre pays.

Je trouve que la structure en 2 films qu'Henri Verneuil avait adopté pour son autobiographie aurait ici très bien fonctionné. Et à mon avis il y a suffisamment de matière pour faire un seul film sur la lutte iranienne et un autre sur l'histoire en France.
C'est personnel, j'aurais bien repris 30 minutes de passages en Iran et la faible durée de l'histoire en France fait, comme l'a souligné Liam, que ça fait un peu trop vignettes.


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MessagePosté: 08 Mai 2016, 19:57 
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Abyssin a écrit:
Film Freak a écrit:
Ça n'aurait pas de sens de la séparer en 2 films vu que le propos du film c'est comment des militants immigrés ont pu reconvertir leur engagement après l'échec dans leur propre pays.

Je trouve que la structure en 2 films qu'Henri Verneuil avait adopté pour son autobiographie aurait ici très bien fonctionné. Et à mon avis il y a suffisamment de matière pour faire un seul film sur la lutte iranienne

Oui mais c'est pas le propos. C'est pas ce que le mec souhaite raconter.

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MessagePosté: 08 Mai 2016, 19:59 
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Et puis un mec qui fait son premier film et qui est quasi-inconnu du grand public, c'est clair qu'on va lui produire deux films d'un coup...

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Netflix les gars, Netflix.


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MessagePosté: 08 Mai 2016, 20:08 
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Le Cow-boy a écrit:
Et puis un mec qui fait son premier film et qui est quasi-inconnu du grand public, c'est clair qu'on va lui produire deux films d'un coup...

On est d'accord, au choix j'aurais aimé le film sur l'Iran.


Film Freak a écrit:
Abyssin a écrit:
Film Freak a écrit:
Ça n'aurait pas de sens de la séparer en 2 films vu que le propos du film c'est comment des militants immigrés ont pu reconvertir leur engagement après l'échec dans leur propre pays.

Je trouve que la structure en 2 films qu'Henri Verneuil avait adopté pour son autobiographie aurait ici très bien fonctionné. Et à mon avis il y a suffisamment de matière pour faire un seul film sur la lutte iranienne

Oui mais c'est pas le propos. C'est pas ce que le mec souhaite raconter.

Bon alors j'aurais aimé un film beaucoup plus long et que ce soit plus développé. Je trouve que ça va trop vite et je rejoins Liam sur "l'absence d'arc" et la "charnière émotionnelle".


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MessagePosté: 09 Mai 2016, 11:11 
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La première partie du film est clairement la plus réussie, grâce au décalage "humour sur fond de dictature". La deuxième est pleine de bons sentiments, on est vraiment dans une approche feel good, ce qui en fait la limite mais apporte un propos fort au film (l'implication d'étrangers dans la vie de leur nouveau pays). Disons que le film a pour et contre lui le label "inspiré d'une histoire vraie", qui mêle sincérité indéniable, amour des personnages et propos "tarte à la crème".


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MessagePosté: 26 Aoû 2016, 16:15 
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Je suis d'accord avec vous pour le déséquilibre entre la première et la deuxième partie, mais ce film réussit à m'émouvoir en traitant la chose tragique avec légèreté, un peu à la manière de Mustang mais en plus franchement rigolard. Ce dosage-là, en tout cas dans la première partie, est très bien réussi et m'a ému à chialer tout en me faisant marrer, alors que les purs mélos m'ennuient souvent. On parle quand même de gens qui manquent de bouffe, qui sont persécutés pour leurs opinions politiques, qui déménagent en 12 secondes dès qu'ils ont un doute, et tout ça se fait avec des éléments de comédie, au calme. Très fort le gros relou de Bref.
Ca m'a fait aussi un peu penser à l'Arabe du futur, la BD de Riad Sattouf, dans cette manière de toujours traiter le drame avec un angle, ou au moins une composante, comique, ou ironique. Ce genre de trucs marche très fort sur moi quand c'est bien foutu, parce que les situations tragi-comiques sont hyper chargées émotionnellement, comme dirait le Capitaine Evident.

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-I failed.
-Good. Now go fail again.


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MessagePosté: 26 Aoû 2016, 16:41 
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Slacker a écrit:
comme dirait le Capitaine Evident.

C'est qui?
#EssaipourrattraperRotary


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