Forum de FilmDeCulte

L'explication est juste au-dessus.

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Doll, it's a heartbreaking affair

Bon ben j'ai pas aimé. Et j'ai pas grand chose à en dire. Je trouve déjà qu'il y a un fossé de géant entre The Hours et celui-ci, s'il est pertinent trois secondes de les comparer (je sais même pas). Ils sont certes différents mais jouent dans la même cour mélo, jouent sur la temporalité (enfin plus dans The Hours qu'ici, là ça n'est pas vraiment le moteur), abordent certains thèmes voisins (la littérature, l'impact des mots, de l'art, sur l'humain, pour schématiser), et puis c'est le même réal le même scénariste presque la même actrice vu que Kidman devait en être (je retire tout ce que j'ai dit: je ne suis pas sûr que ça aurait été une bonne idée pour elle de jouer ce rôle, Winslet par ailleurs s'en sort très bien). Je ne retrouve jamais l'urgence qui s'installe dès les premiers gros plans où Woolf boutonne son manteau pour se foutre à l'eau, ici j'attends sans cesse le décollage mais même la partie passion physique m'apparaît grisatre. Je trouve que les ressorts intuitifs de The Hours, les échos entre époques et personnages organisés en réseaux souterrains tournent ici à l'explicatif, cf la scène avec Lena Olin qui tourne à la mauvaise parlote stabylo. Je trouve qu'on se fout du gamin, un peu, et encore plus de Ralph Fiennes (acteur qui n'éveillera probablement jamais un début d'émotion chez moi). Le personnage d'Hanna est évidemment plus passionnant mais j'aurais aimé qu'elle prenne plus de place, certains aspects restent un peu en surface... je repense, dans un autre type de perso-victime en fuite à celui de Julianne Moore, à la force d'un plan comme celui, dont j'ai déjà parlé ici, où elle est filmée de loin, comme une conne devant sa valise, avec tout le temps passé qui semble peser dedans. Là, je ne suis jamais aussi ému. Je repense aussi à la voix off sublime qui conclue le film, et ici, à Fiennes qui



Ben si.

Après le sujet est fort, Winslet tient bien ce qu'elle tient, mais je suis déçu tout le temps. Bon j'aurais pas été inspiré pour la critique, celle de Marie Duval est très bien et plus intéressante que tout ce que j'ai mis au-dessus.

2.5/6

Billy Elliot: 5/6
The Hours: 666/6

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Doll, it's a heartbreaking affair

La vérité tu me rassures, Bliss!

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Ed Wood:"What do you know? Haven't you heard of suspension of disbelief?"

Le film au sujet fort mais qui tombe complètement à plat à force d'être superficiel et calibré pour les Oscars. Berk.

1/6

Faudrait peut-être changer le titre du fil non ? (failli ne pas le trouver)


Avis relativement mitigé sur le film...
Une histoire intéressante mais pas forcément racontée avec les flashbacks autour du personnage hyper fade de Ralph Fiennes.
Beaucoup de points sont totalement torchés, comme par exemple l'histoire avec le prof (on a l'impression que les cours se limitent aux extraits vus dans le film, et qu'il ne se passe rien en dehors)

Grosse faute de goût lors du procès

Aspect assez désagréable aussi, l'impression qu'on est devant un film fait pour les oscars, avec maquillages et compagnie...

Ceci dit, malgré tous ses (gros) défauts, le film réussit quand même à être par moments assez émouvant, du coup je n'ai pas non plus envie de le descendre et je mets 3.5/6.

J'ai trouvé ça chiant, mou, long, j'ai pas compris où ça voulait en venir, la musique est insupportable, j'ai trouvé la dernière scène nulle. 1.5/6

lol

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Netflix les gars, Netflix.

Zad school of writing !

Nan Tom, si ça avait été ça j'aurais dit : "Film puant de capitalisme. 0/6."

Pas mieux...
Le pire, c'est qu'on se dit qu'il va au moins se passer quelque chose autour du thème de la lecture, j'étais même partant pour un truc foireux sur l'absolution par la culture, mais non, tout ça pour ça, tout ça pour justifier un micro-twist qu'on voit venir à cent bornes, tout ça pour élucider un point secondaire dont même le chien de Colombo se foutrait royalement, le film ne fait absolument rien de son thème principal...
1,5/6

Pas grand intérêt à réveiller ce fil, mais je viens de voir le liseur et j'ai comme vous des problèmes avec ce film.
Le bouquin m'avait bien baladé, l'histoire est prenante et même poignante, et la relation (sexuelle!) entre les protagonistes est sexy et animale dans mes souvenirs.
Dans le film, les scènes de cul sont sexy comme des autopsies, les acteurs sont falots, bref ça fait pas terriblement bander, même du cerveau.
Effectivement Zaphod, les flashbacks hollywoodiens, c'était vraiment pas la peine.
Et aussi, pourquoi le tourner en anglais ce putain de film? C'était un livre sur la langue, sur la littérature et la poésie, et donc sur la langue parlée, bordel! Fallait le faire en schleu bien sûr. **ici votre blague xénophobe sur les sonorités de la langue allemande**

Je suis pas encore étalonné pour donner des notes, mais disons 2/6 pour être sympa, je me suis quand même pas trop ennuyé et je suis pas totalement sorti du film.
Moralité: lisez le livre, évitez le film.

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-I failed.
-Good. Now go fail again.