Forum de FilmDeCulte

Ils ont en moyenne 80 ans et réinterprètent Sonic Youth ou James Brown: voici l'improbable argument du doc Young@Heart, du nom de la chorale du Massachusetts que le Britannique Stephen Walker a suivie.

Young@Heart ne se limite pas à une bienveillante condescendance pour ses braves papies et mamies échappés d'un spot Evian, mais capte l'énergie vitale qui se joue de la vieillerie ou de la mort, Walker n'étant jamais aussi pertinent que lors de ces moments où s'expriment la spontanéité de ses héros, la foi chantante ou l'humour vif. Plus que lors des parenthèses mises en scène à la façon de clips, Young@Heart trouve sa raison d'être dans le regard d'un garçon qui, lors de la séquence en prison, observe la chorale d'un regard mi-amusé, mi-ému. C'est le pari relevé par Stephen Walker, passer littéralement du rire au larme, sans le côté brochure promo de l'expression, comme un instantané simple, euphorisant et volatil.

4/6

Et comme ça a gagné le prix du jury à Paris Ciné, t'auras plein plein d'affiches partout dans le métro un peu avant sa sortie ouais!

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Doll, it's a heartbreaking affair

Young@heart qui devient...

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=135623.html

peut-être pour ne pas le confondre avec le chef d'oeuvre de Gordon Douglas

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L'ennui est le mal suprême, le péché originel, l'avant-goût du néant déja sur les lèvres et dans les tripes.

Un musical S Club 7 du 24 qui sent bon les santons de vioques qui comptent leurs morts à la fin de leurs mini clips. Dignité boute-en-train, plaisir de donner, joie de recevoir, chair qui pend. Dis papy, je peux lécher la casserole?

3/6

Public français, n'oublie pas que tu es débile!

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Doll, it's a heartbreaking affair

Joli photoshopage de la guitare.

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